« Trois mois offerts à SudVPN ! » « 75 % de réduction pour trois ans d’abonnement à SurfDolphin ! » « NeutronVPN à seulement 4,99 € par mois ! » Si les promesses des fournisseurs de VPN semblent trop belles pour être vraies, c’est parce qu’elles le sont. Ce n’est pas une fatalité : non seulement votre NAS peut faire office de serveur VPN, mais avec l’aide de quelques services abordables voire gratuits, il sera plus fiable et plus pratique que les services commerciaux. Et ce n’est pas une promesse en l’air.

Quels usages ?
Maintenant que vous avez constitué votre nuage personnel, vous voulez en profiter hors de votre réseau domestique. Les fabricants proposent des systèmes d’accès à distance configurables en deux clics, comme Synology QuickConnect et Qnap myQnapCloud, mais comme leurs serveurs d’aiguillages sont partagés entre plusieurs milliers d’utilisateurs, ils souffrent d’une lenteur exaspérante. Mieux vaut prendre le temps de configurer un serveur VPN pour :
- accéder au NAS à distance ;
- améliorer votre sécurité en filtrant les requêtes du réseau ;
- et pouvoir déterminer des « nœuds de sortie » dans des zones géographiques différentes.
Autrement dit, il s’agit de joindre l’utile à l’agréable en utilisant un VPN au sens le plus technique du terme (un réseau privé virtuel) tout en bénéficiant des fonctionnalités emblématiques des services commerciaux (la possibilité de déguiser son emplacement géographique), plus simplement que le premier et plus confidentiellement que le second.