Comment reprendre le contrôle de nos données et de notre vie privée en ligne ? 📍

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La confidentialité en ligne existe-t-elle vraiment toujours en 2022, ou nos données sont-elles récoltées et revendues à la volée et dans l'ombre ? Que faire pour reprendre le contrôle de nos données privées ?

De nos jours, le mot « confidentialité » n'a plus tout à fait la même signification qu'il y a dix ans, surtout en ligne. Comme vous le savez déjà, nos données sont très largement exploitées sur Internet. À partir du moment où nous surfons en ligne et que nous acceptons des cookies ou utilisons des services gratuits (tels qu'Instagram, Facebook, WhatsApp et bien d'autres), nos données sont récoltées, puis revendues.

Pour s'en dégager, sachez qu'il existe un service bien pratique qui se nomme Incogni. On vous explique en quoi il consiste, mais avant, sachez que pour le Black Friday, le service — qui vous permet de retirer vos informations personnelles hors des listes de vente des courtiers en données — propose 60 % de réduction sur son abonnement. Utilisez le code INCOGNI60 à la caisse avant le 4 décembre 2022 et bénéficiez de cette remise spéciale tant que vous le pouvez.

Les données privées, cette nouvelle monnaie

Vous l'aurez compris, nos données sont désormais considérées comme une nouvelle monnaie et nous les donnons tous en acceptant, aveuglément, toutes ces conditions générales sur une tonne de services que nous utilisons jour après jour. Il suffit de se plonger trente secondes dans les politiques de confidentialité de toutes ces sociétés pour vite s'apercevoir que nos données sont vendues à divers tiers.

Ces données sont majoritairement revendues à des spécialistes en marketing, afin que nous soyons ciblés avec des publicités pertinentes. Les plus grands coupables sont toutes ces entreprises avec lesquelles nous interagissons toute la journée. Bien sûr, Google a une tonne d'applications que vous adorez, mais en fin de compte, ils tirent l'essentiel de leurs revenus de la publicité.

Le même constat peut être fait avec Facebook ou Instagram de Meta. Ces réseaux sont agréables à utiliser quand on s'ennuie, mais en revanche, ils ne se privent pas de récupérer une tonne d'informations sur nos habitudes de navigation, ce que nous aimons, ce que nous n'aimons pas, ce que nous arrêtons de regarder, ce que nous faisons défiler, etc. De la même manière, tous les sites que nous visitons installent des cookies sur notre navigateur et chaque clic que nous effectuons est enregistré quelque part.

Nos données, récoltées et revendues aux courtiers en données

Généralement, dès qu'elles vous demandent d'accepter leurs CGU ou leurs cookies, ces entreprises se vantent de vous faire bénéficier « d'une meilleure expérience ». Bien évidemment, vos informations sont utilisées pour vous proposer des annonces, des publicités, etc. C'est avantageux pour elles, mais ça l'est aussi pour l'utilisateur d'une certaine manière, car cela lui permet de découvrir des choses qui vont l'intéresser, plutôt que des produits aléatoires.

Le problème, c'est que d'autres entreprises vont ensuite récupérer, racheter, utiliser ou revendre vos données. Ces dernières sont appelées courtiers en données (« data brokers » en anglais). Ces courtiers (il en existe des milliers) récupèrent et revendent l'intégralité de vos informations personnelles : nom, prénom, numéro de téléphone, adresse, intérêts, bord politique, sexe, numéro de sécurité sociale, etc.

Travailler avec des données est une activité lucrative, il existe donc des tonnes de ces courtiers en données. Certaines de ces entreprises sont massives, comme Google, tandis que d'autres sont beaucoup plus petites. Ils regroupent tous des informations provenant de diverses sources, les traitent, les nettoient et les analysent avant de les revendre.

Il y a aussi le problème de savoir où et comment nos données sont utilisées. Certaines compagnies d'assurance sont suspectées d'augmenter les tarifs en fonction du profil de leurs clients. On craint également que les compagnies d'assurance maladie ne puissent utiliser les informations des courtiers en données pour augmenter leurs frais ou refuser la couverture, notamment aux États-Unis.

Les escrocs du Web peuvent, eux aussi, avoir accès à vos données. Il n'est pas rare que certains courtiers en données vendent volontairement vos données à certaines personnes malveillantes et en toute connaissance de cause. Bien sûr, ce n'est pas le cas pour tous, même s'il y a eu des poursuites concernant ce problème particulier aux États-Unis.

À cet instant, ce sont toutes vos informations personnelles qui peuvent être volées ou revendues. C'est à ce moment-là que vous pouvez être victime d'un vol d'identité, d'une arnaque, de harcèlement, de phishing, etc. Les escrocs découvriront qui vous êtes, ce que vous aimez, ce sur quoi vous êtes le plus susceptible de cliquer et n'hésiteront pas à vous envoyer des e-mails d'hameçonnage, par exemple. Une fois que vous cliquez dessus, ils ont accès à encore plus de vos données. Ils peuvent voler votre identité, siphonner de l'argent de votre compte bancaire, et plus encore.

Comment reprendre le contrôle de sa vie privée en ligne ?

L'une des meilleures solutions pour préserver votre vie privée dans cette situation est de demander aux courtiers en données de supprimer vos informations de leurs serveurs. Comme vous pouvez l'imaginer, cela peut prendre une éternité si vous le faites par vous-même, et il est presque certain que vous en manquerez au moins quelques-uns.

En revanche, si vous utilisez Incogni, sachez qu'ils peuvent faire le travail pour vous : contacter des centaines et des centaines courtiers en données et les forcer à retirer vos informations. Ils tirent parti du RGPD, du CCPA et d'autres lois sur la confidentialité, en votre nom. Le logiciel propose un tableau de bord pour suivre l'avancée des demandes en temps réel.

Ils vous informeront chaque semaine de leurs progrès, puis, une fois l'objectif atteint, continueront de demander à ces entreprises de supprimer toute nouvelle information qu'elles acquièrent sur vous. Habituellement, il faut entre 30 et 45 jours aux courtiers en données pour se conformer aux exigences, car ils essaient de traiter vos informations aussi longtemps que possible.

Le tableau de bord vous propose d'avoir accès au nom du courtier en données, à la sensibilité de vos données sur 10 (si un data broker possède votre numéro de sécurité sociale par exemple, le chiffre sera élevé), la catégorie du courtier (marketing, par exemple), le statut de la demande et une description.

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