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iPhone 17, Apple Watch Ultra 3, AirPods Pro 3… Tout ce qu’Apple pourrait dévoiler le 9 septembre

Stéphane Moussie

vendredi 05 septembre à 18:30

AAPL

Le mardi 9 septembre à 19 h (heure de Paris), Apple lèvera le voile sur ses nouveaux jouets. Comme d’habitude, Mark Gurman se fait un malin plaisir de révéler le menu de la conférence quelques jours avant sa tenue. Pas de nouvelles révélations dans les confidences du journaliste de Bloomberg, mais des confirmations… si tant est qu’il ne se trompe pas, ce qui n’est pas trop son genre.

Image Tim Cook (quel bon photographe)

iPhone 17, iPhone 17 Air, iPhone 17 Pro et iPhone 17 Pro Max

Depuis 2020, la gamme d’iPhone compte quatre modèles, et cette année encore Apple resterait fidèle à la formule. Mais changement de casting : pas de version Plus (ni de mini, snif), remplacée par un tout nouvel iPhone 17 Air. Sa particularité ? Une épaisseur record de seulement 5,5 mm, ce qui en ferait aussi l’iPhone le plus léger. Mais qui dit finesse dit concessions : il aurait une autonomie inférieure aux autres et pas de tiroir SIM.

Pour le reste, il embarquerait un écran 6,6” ProMotion, la puce A19 et un modem cellulaire C1, pour un tarif situé entre l’iPhone 17 classique et le Pro. Suffisant pour séduire ? C’est la grande question.

iPhone 17 Air : le point sur les rumeurs avant le keynote d

iPhone 17 Air : le point sur les rumeurs avant le keynote d'Apple

De son côté, l’iPhone 17 standard grandirait légèrement (6,3” contre 6,1”) et profiterait pour la première fois d’un écran ProMotion. On ignore néanmoins si toutes les fonctions avancées seront de la partie, notamment l’écran toujours allumé.

iPhone 17 : tout ce qu’il faut savoir avant le keynote

iPhone 17 : tout ce qu’il faut savoir avant le keynote

Quant aux iPhone 17 Pro et 17 Pro Max, vus de dos, ils seraient assez différents de leurs prédécesseurs. Leur bloc photo s’étendrait sur toute la largeur, à l’instar des Pixel. Si cela peut les rendre enfin stables quand ils sont posés sur une table, on prend.

Ils abandonneraient le titane au profit de l’aluminium, moins prestigieux, mais plus léger et meilleur pour dissiper la chaleur. Et puis, il y aurait une nouvelle couleur orange, histoire de se démarquer bien comme il faut. La plupart de leurs composants seraient aussi mis à niveau : puce A19 Pro, batterie plus grosse, téléobjectif 48 Mpx, objectif à ouverture variable…

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'iPhone 17 Pro et l'iPhone 17 Pro Max

Accessoires iPhone

Côté accessoires, Apple préparerait une remplaçante à la controversée coque FineWoven, un bumper pour l’iPhone 17 Air (mais si, souvenez-vous, un bumper) et même une bandoulière « haut de gamme et coûteuse », dixit Gurman. On n’ose pas imaginer le prix.

Apple Watch SE 3, Apple Watch Series 11 et Apple Watch Ultra 3

L’Apple Watch SE aurait droit à une mise à jour trois ans après la précédente. La montre d’entrée de gamme jouirait d’un écran légèrement plus grand et d’un processeur plus rapide. On espère également un écran toujours allumé, mais ce n’est pas gagné.

Après une Series 10 bien affinée, la Series 11 serait sans surprise très proche au niveau du design. Elle aurait essentiellement un écran plus lumineux et de nouveau coloris.

Le gros morceau, littéralement, sera de toute évidence l’Apple Watch Ultra 3. Elle aurait un écran encore plus grand — les poignets des clients sont-ils vraiment extensibles à ce point ? —, une connexion 5G et une connexion satellitaire en cas d’urgence.

Apple Watch Ultra 3 : le point complet sur les rumeurs avant le keynote

Apple Watch Ultra 3 : le point complet sur les rumeurs avant le keynote

AirPods Pro 3

Peut-on faire mieux que les AirPods Pro 2, excellents à leur lancement et encore meilleurs aujourd’hui grâce à de nombreuses améliorations logicielles ? Apple va apparemment relever le défi avec les AirPods Pro 3. Comme les Powerbeats Pro 2, les nouveaux écouteurs auraient un capteur de fréquence cardiaque. Ils auraient aussi un boitier significativement plus petit. Pas que l’actuel soit énorme, mais un peu de place gagnée dans la poche, ça ne se refuse pas.

Tout savoir sur les rumeurs autour des AirPods Pro 3

Tout savoir sur les rumeurs autour des AirPods Pro 3

Dans les semaines suivantes…

Tous les produits ne seraient pas pour le 9 septembre, d’autres suivraient dans les semaines suivantes. Voici lesquels avec leurs améliorations principales :

  • AirTag 2 : puce sans fil plus précise et portée améliorée
  • iPad Pro : puce M5 dernier cri et seconde caméra en façade
  • Vision Pro : puce M4 ou M5 en remplacement de la M2
  • Apple TV : puce A17 Pro et modem réseau maison
  • HomePod mini : puce boostée, prête pour Apple Intelligence

On vous donne rendez-vous le mardi 9 septembre à 19 h sur LeKeynote.fr pour le suivi de la conférence en direct.

Conférence Apple du 9 septembre : quel produit attendez-vous le plus ?

Conférence Apple du 9 septembre : quel produit attendez-vous le plus ?

Pub en ligne : Bruxelles inflige à Google une amende de 3 milliards d'euros

Florian Innocente

vendredi 05 septembre à 17:15

Services

La Commission européenne sanctionne lourdement Google avec une amende de 2,95 milliards d'euros, pour pratiques abusives dans les technologies publicitaires en ligne.

Nouvelle tuile financière sur la tête de Google qui écope cette semaine d'une seconde amende de grande envergure. Cette fois c'est le toit qui lui tombe sur la tête. Après la CNIL qui l'a sanctionné en début de semaine à hauteur de 325 millions d’euros pour des manquements dans la gestion des données personnelles au sein de ses activités publicitaires, c'est Bruxelles qui frappe le groupe américain d'une amende retentissante de 2,95 milliards d'euros.

Source Commission de Bruxelles.

La Commission reproche à Google d’avoir favorisé ses propres services de publicité en ligne au détriment des prestataires concurrents, des annonceurs et des éditeurs en ligne, explique le communiqué. La Commission lui ordonne de mettre fin à ces pratiques d’autopréférence et d'engager des mesures pour supprimer ses conflits d’intérêts dans toute la chaîne de ses services publicitaires.

Google dispose de plusieurs services qui servent d'intermédiaires entre les annonceurs et les éditeurs pour afficher des publicités sur des sites web ou des applications mobiles. Il utilise deux outils d’achat d’espaces publicitaires – « Google Ads » et « DV360 » ; un serveur publicitaire pour éditeurs, « DoubleClick For Publishers » (ou DFP) ; et une place de marché publicitaire —, détaille la Commission.

L'enquête ouverte sur cette activité a révélé que depuis au moins 2014 et jusqu'à aujourd'hui, Google jouit d'une position dominante — ce qui n'est pas répréhensible en soi, rappelle Bruxelles — mais qu'il en abuse de deux manières :

  • En favorisant sa propre place de marché publicitaire, AdX, dans le processus de sélection des annonces de son serveur publicitaire DFP. Par exemple, en informant AdX, à l’avance, de la valeur de la meilleure enchère d’un concurrent afin de la dépasser pour remporter l’enchère ;
  • En favorisant sa place de marché AdX dans la manière dont ses outils d’achat Google Ads et DV360 soumettaient leurs offres sur les places de marché. Par exemple, Google Ads évitait de recourir aux places de marché concurrentes et concentrait principalement ses enchères sur AdX, le rendant ainsi plus attractif que ses rivaux.

« La Commission a conclu que ces comportements visaient délibérément à donner à AdX un avantage concurrentiel et ont pu évincer les places de marché rivales. Cela a renforcé le rôle central d’AdX dans la chaîne d’approvisionnement de l’adtech ainsi que la capacité de Google à prélever des frais élevés pour son service », résume le communiqué.

Google a contesté cette décision mais sans s'attarder sur les points problématiques qui ont été mis en évidence : « La décision de la Commission européenne concernant nos services de technologies publicitaires est erronée et nous allons faire appel. » a déclaré Lee-Anne Mulholland, vice-présidente, directrice mondiale des affaires réglementaires, ajoutant : « Elle impose une amende injustifiée et exige des changements qui vont nuire à des milliers d’entreprises européennes en rendant plus difficile leur capacité à gagner de l’argent. Il n’y a rien d’anticompétitif à fournir des services aux acheteurs et aux vendeurs de publicité, et il existe aujourd’hui plus d’alternatives à nos services que jamais auparavant ».

Google a 60 jours pour informer la Commission des changements qu'il entend mettre en place. Cette dernière souligne au passage que cette enquête révèle des agissements qui ont été constatés également aux États-Unis, où le Département de la Justice doit ouvrir un procès contre Google le 22 septembre prochain. Le groupe ne pourra guère plaider un harcèlement venu exclusivement de l'Europe.

Enfin un écran qui comprend le Mac : BenQ sort deux modèles taillés pour vous 📍

Article sponsorisé

vendredi 05 septembre à 17:00

Services

À la rentrée, tout le monde cherche l’outil qui va fluidifier le quotidien. Pour les utilisateurs de MacBook, la question d’un bon écran externe revient toujours : simple à brancher, fidèle à l’image, sans friction. BenQ répond avec deux gammes pensées pour macOS, et surtout, pour vous éviter de perdre du temps à « faire marcher les choses ».

Le marketing adore les superlatifs. Mais quand on parle d’écrans pour MacBook, on cherche rarement le superflu. On veut que ça fonctionne dès qu’on branche le câble. Que les couleurs soient cohérentes, et surtout, on veut éviter de transformer son bureau en arche USB-C !

BenQ l’a compris. Et plutôt que de viser une énième référence universelle, la marque propose deux approches complémentaires. La première, c’est la gamme MA, pensée pour ceux qui veulent un écran performant et intuitif. La seconde, la gamme PD, s’adresse aux métiers créatifs pour qui la colorimétrie n’est pas une option, mais un contrat.

Le point commun des deux gammes ? Une compatibilité réelle avec l’univers Apple. Pas un logo collé sur la boîte, mais une expérience pensée pour ceux qui bossent sur MacBook.

MA : la simplicité branchée, pensée pour le quotidien Apple

Dès le branchement, on comprend que la gamme MA a été conçue avec l’utilisateur Mac en tête. La dalle est calibrée pour coller aux couleurs macOS, avec une prise en charge native de l’espace P3, sans bidouille. L’alimentation du MacBook se fait par USB-C, jusqu’à 90 W — un seul câble suffit. Le volume et la luminosité peuvent se régler directement depuis le clavier Apple.

Le pied est réglable en hauteur, inclinaison et par rotation, la surface mate évite les reflets, et les traitements anti-lumière bleue permettent de travailler longtemps sans se bousiller les yeux. C’est un écran qui ne se fait pas remarquer, mais qui accompagne tout, l’écriture, la retouche, la visioconférence, la consultation d’un plan de montage Final Cut… Il est là, il fonctionne, et surtout, il ne demande rien.

Pensée comme une extension naturelle du MacBook, la gamme MA offre exactement ce que beaucoup attendent : un écran qui ne vous interrompt jamais, même quand vous jonglez entre mails, Lightroom et AirDrop.

Le détail qui fait la différence ? L’iPhone ou l’iPad posé à côté du clavier qui se recharge directement depuis le moniteur, via une prise USB-C 15W.

👉 Découvrez la gamme MA ici

PD : la rigueur créative au service des pros de l’image

Mais il y a des usages où « ça marche » ne suffit pas. Quand on est graphiste, quand on passe ses journées à régler un étalonnage vidéo, ou quand on travaille sur des visuels destinés à la presse, il faut pouvoir s’appuyer sur une précision sans faille.

C’est là qu’entre en jeu la gamme PD. Ici, tout est pensé pour la fiabilité visuelle. Le rendu est certifié AQCOLOR, validé par Pantone et Calman, et chaque écran sort de l’usine avec un rapport de calibration individuel. Pas pour faire joli, pour assurer que ce que vous voyez à l’écran correspond à ce que verra le client, ou le tirage final.

BenQ accompagne cette gamme de plusieurs outils maison. Display ColorTalk, par exemple, permet de synchroniser deux écrans (ou plus) pour une cohérence parfaite, même entre des modèles différents. Palette Master Ultimate, quant à lui, guide la calibration avancée avec les sondes X-Rite ou Datacolor. Une manière élégante de dire que vous pouvez maîtriser l’image jusqu’au dernier pixel, sans passer une demi-journée à fouiller Reddit.

Tout ça, évidemment, avec la même promesse que la gamme MA : un câble unique, une recharge intégrée, et une ergonomie pensée pour le confort, pas pour le marketing.

👉 Explorez la gamme BenQ PD ici

Deux publics, une même exigence : le respect de votre flux de travail

Ce qui distingue les bons écrans des autres, ce n’est pas la fiche technique. C’est le quotidien. C’est ce moment où vous vous rendez compte que vous n’avez plus besoin de retoucher vos exports Instagram sur l’écran du MacBook. Ou cette première fois où un BAT passe du premier coup, parce que les couleurs étaient justes dès le début.

La gamme MA vise ceux qui ne veulent pas se poser de questions. Elle accompagne le flux, elle ne le ralentit pas. Elle fait le travail, sans en rajouter. La gamme PD, elle, est une machine de guerre pour les professionnels. Elle offre non seulement de la précision, mais aussi de la cohérence. Elle évite les surprises, et c’est peut-être le plus grand luxe dans un univers créatif sous pression.

Quand un écran disparaît, c’est qu’il fait bien son travail

On l’a tous vécu : ce moment où un moniteur devient une source de problèmes au lieu d’être un outil. Câbles en trop, profils colorimétriques incohérents, réglages abscons… Le bon écran, au contraire, s’efface. Il vous laisse bosser. Il est là pour servir votre créativité, pas pour vous faire douter du rendu.

BenQ réussit ici un équilibre rare : proposer deux gammes qui ne sont pas des compromis, mais des réponses claires à deux types d’usages. L’utilisateur Mac n’a plus besoin de choisir entre performance et simplicité. Il peut choisir selon son métier, son style de travail, et son niveau d’exigence.

Et ça, franchement, c’est rafraîchissant.

👉 Découvrez la gamme BenQ MA pour MacBook : voir les modèles

👉 Explorez la gamme BenQ PD pour les professionnels de l’image : voir les modèles

Firefox 115 restera mis à jour pour les macOS de 2016 à 2018

Florian Innocente

vendredi 05 septembre à 16:30

Logiciels

Les utilisateurs de vieilles versions de macOS peuvent toujours compter sur Firefox qui va continuer de recevoir des mises à jour de sécurité.

macOS Sierra, High Sierra et Morave, sortis entre 2016 et 2018, peuvent toujours recourir à Safari, Chrome ou Firefox si ce n'est que les deux premiers ont cessé de recevoir des mises à jour de sécurité sur ces systèmes. Apple en a encore distribué cette année, mais pour le Safari 18 utilisable dans Ventura (macOS 13, 2022) tandis que Chrome peut descendre jusqu'à Monterey (macOS 12, 2021).

Image Mozilla.

À l'inverse, Firefox version 115 (la dernière en date est la 142) qui fonctionne sur les trois systèmes cités en introduction a vu son bail prolongé. Il s'agit d'une version dite "ESR" pour "Extended Support Release". Initialement, la fondation Mozilla avait prévu d'arrêter de fournir des patchs de sécurité pour ce Firefox en septembre 2024. Puis la date limite avait été repoussée à 2025.

Elle l'est de nouveau avec une échéance cette fois en mars 2026. Et ce ne sera pas forcément la fin de l'histoire, une évaluation est prévue en février pour décider de la suite (on peut supposer que Mozilla fera le compte à ce moment-là des instances de ce Firefox détectées sur le web).

Dans le même temps, Mozilla recommande tout de même de passer autant que possible sur des systèmes plus récents et capables de faire fonctionner des versions plus robustes du navigateur. Sans parler de sites web qui ne sont pas toujours accessibles à des navigateurs trop anciens.

Cette extension du délai vaut également pour Firefox 115 sur Windows 7, 8 et 8.1.

Backdrop 2 anime l'écran verrouillé du Mac avec vos vidéos

Florian Innocente

vendredi 05 septembre à 15:46

Logiciels

La seconde version de Backdrop propose d'afficher une vidéo comme illustration de fond pour l'écran verrouillé de macOS. Le système propose déjà quelque chose de similaire, mais Backdrop 2 est plus souple. On peut piocher des animations et vidéos dans une ample collection intégrée au logiciel ou sélectionner des vidéos parmi son propre stock et la version 2 étend son action à l'écran verrouillé du Mac.

La galerie intégrée dans Backdrop. Image MacGeneration.

Les clips choisis peuvent être en 4K, on dispose d'un petit outil d'édition pour sélectionner une partie dans une vidéo trop longue. Il permet d'incruster un texte et de choisir une autre vitesse de lecture, plus lente ou accélérée (mais pas dans la version démo).

L'éditeur pour préparer sa vidéo. Image MacGeneration.

L'interface est soignée — mais on aurait aimé pouvoir choisir une vidéo dans Photos directement depuis le logiciel au lieu de devoir l'exporter — et le résultat est conforme aux attentes. Si vous utilisez plusieurs écrans, ils pourront chacun avoir une vidéo différente. Pour l'avoir essayé sur un MacBook Air M3 branché à un écran externe 4K, il n'y a pas de ralentissement perceptible lors de l'utilisation d'autres logiciels en parallèle.

L'éditeur explique que son shareware s'attache à utiliser tout ce qui peut fluidifier son fonctionnement (accélération par le GPU, adaptation en fonction de la charge du système, mise en pause lorsqu'on a une app affichée en plein écran, etc.). On a noté un petit bug — à moins que ce ne soit une limitation — avec les widgets sur le bureau. Ils sont transparents avec Liquid Glass dans macOS 26, mais on ne voit pas la vidéo passer en dessous, le fond de ces modules reste figé, à l'inverse du fond transparent du Dock qui laisse voir ce qui passe en dessous.

Le logiciel peut être testé pendant quelques jours ensuite il passe sur un abonnement (1,99 $/mois, 14,99 $/an) ou sur une licence perpétuelle (29,99 $)