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Deux ans de transition avant une année 2027 remplie de nouveautés ? La semaine Apple

Greg Onizuka

dimanche 11 mai à 20:00

AAPL

C’est dimanche, et comme l’été revient... ah bah non, il pleut. Bon, heureusement pour nous, l’éternel Mark Gurman est là pour réchauffer nos petits cœurs, avec les dernières indiscrétions venues tout droit de Cupertino. Chaud devant !

Si vous croyez que ça dort à Cupertino... vous êtes loin du compte ! Image Wikipedia/Daniel L. Lu, CC BY-SA 4.0.

God Is Dead?

Si Apple se débrouille plutôt bien au niveau électronique, il faut avouer que depuis quelques temps il manque quelque chose. Ça paraît impalpable comme ça, mais une fois qu’on a mis le doigt dessus, c’est évident : à part le Vision Pro, les produits totalement nouveaux ou au design entièrement revu se font rares voire... inexistants.

Même si la phrase peut être une façon d’amadouer la justice en faisant passer Apple pour faible, Eddy Cue semble bien au fait des risques à ne plus innover :

Je m’inquiète à ce propos pour Apple. Nous avons un succès incroyable – mais ça ne veut pas dire que nous allons continuer comme ça durant les 10 à 20 prochaines années.

Bon, après il reste à espérer que l’innovation au sens d’Eddy Cue n’est pas identique à celle de Phil Schiller (Can’t innovate anymore? My ass!), mais il est sûr qu’un petit coup de frais sur les produits de la marque ne serait pas de refus. Et si 2026 devrait être comme cette année assez calme, 2027 devrait voir le grand retour en forme de la pomme.

Plus qu’à espérer que l’innovation ne soit pas à l’image du Mac Pro 2013... Image MacGeneration.

Iron Man

En effet, d’ici une paire d’années les nouveautés devraient être si nombreuses que notre cher fuiteur nous les laisse sous forme de liste... et quelle liste ! Voici donc ce qui devrait nous attendre en cette année de retour en grâce :

  • Apple devrait sortir son premier téléphone pliable, qui devrait faire partie des symboles du vingtième anniversaire de l’iPhone. La marque aurait attendu assez longtemps que la technologie arrive à maturité pour rendre quasiment invisible le pli de l’écran.
  • Plus tard dans l’année devrait sortir un iPhone fait quasi entièrement de verre, avec des bords incurvés, et sans aucune rupture dans l’écran (plus de pilule ni d’encoche donc). Il devrait marquer les 10 ans de l’iPhone X, qui a lancé l’idée des téléphones majoritairement faits de verre.
  • 2027 devrait aussi voir arriver les premières lunettes connectées d’Apple, pour concurrencer directement les Ray-Ban Meta. Elles contiendront Apple Intelligence, et utiliseront les caméras intégrées pour récupérer le contexte environnant l’utilisateur.
  • De nouveaux AirPods et de nouvelles Watch devraient sortir aussi équipés de caméras, avec des fonctionnalités similaires aux lunettes.
  • Apple devrait avoir à cet instant des serveurs propriétaires capables de rivaliser avec les concurrents au niveau puissance de calcul, et ainsi commencer la transition vers le fameux Siri 2.0, basé sur l’IA.
  • Enfin, Apple devrait sortir ses fameux « HomePad », dont celui équipé d’un bras robotique ayant une personnalité propre.

2027 devrait donc être l’année du renouveau pour Apple, après deux années relativement maigres. Cupertino a la chance de pouvoir se permettre ce luxe, peu d’entreprises au monde ayant la chance d’avoir des finances assez confortables pour s’accorder une pause le temps de rattraper ses concurrents.

Changes

En attendant 2027, la WWDC 2025 approche à grands pas, et avec elle l’arrivée des nouveaux OS d’Apple. Comme vu depuis pas mal de temps maintenant, la conférence devrait annoncer un renouveau des interfaces d’iOS, iPadOS et macOS, pour les unifier un peu plus et les rapprocher dans l’esprit de visionOS, au moins pour la partie design.

Du nouveau pour la gestion des wi-fi captifs des hôtels et des aéroports ? Capture MacGeneration.

Ainsi, l’expérience devrait être unifiée sur tous les appareils Apple, et Apple Intelligence devrait continuer son entrée au cœur du système, avec l’ajout de nouvelles fonctionnalités et la compatibilité avec de nouvelles applications. iPadOS, de son côté, devrait gagner en puissance et se rapprocher (enfin ?) de macOS.

iOS, lui, devrait permettre la traduction automatique et en direct grâce aux AirPods, et une nouvelle app Santé devrait faire son apparition, faisant grand usage de l’IA. Petite cerise sur le gâteau, la communication entre les appareils devrait permettre de simplifier l’utilisation des wi-fi captifs (comme ceux des hôtels, par exemple) demandant de remplir un formulaire d’accès : il n’y aurait qu’à le remplir sur un seul appareil pour que tous se connectent automatiquement.

End of the Beginning

En marge du procès au long cours qui oppose le ministère de la justice américain à Google, les auditions permettent d’obtenir quelques informations intéressantes de la part de personnes haut placées dans les entreprises impliquées. C’est ainsi qu’Eddy Cue a livré quelques données qu’Apple n’a pas l’habitude de divulguer au grand public.

Le siège de Google, partenaire au long cours d’Apple. Image Wikipedia/The Pancake of Heaven, CC BY-SA 4.0.

Interrogé sur le partenariat entre la pomme et Google pour la recherche en ligne, il a ainsi mentionné que les utilisateurs ont commencé leur transition depuis Google vers d’autres utilitaires de recherche, plus axés sur l’intelligence artificielle comme ChatGPT, Claude, Perplexity, DeepSeek ou encore Grok. Et joignant les chiffres à l’affirmation, il a fait mention d’une première baisse du nombre de recherches sur Google effectuées à partir des appareils Apple, pour la première fois en 22 ans de partenariat.

Si affaiblir la relation entre les deux entreprises peut être un stratagème pour diminuer l’importance de l’accord, et ainsi éviter qu’il soit supprimé purement et simplement par la justice, les mouvements récents de la pomme montrent que c’est plus qu’une affirmation dans l’air : l’intégration de ChatGPT dans Apple Intelligence, et probablement de certains de ses concurrents dans un proche avenir va dans le sens des paroles d’Eddy Cue.

Si l’accord avec Google est maintenu, Gemini pourrait devenir le service de recherche par IA par défaut des produits Apple. Si l’accord tombe... rien n’empêche Apple de laisser libre cours à la concurrence, et de proposer un écran de choix de l’IA au premier démarrage, comme c’est déjà imposé en Union européenne pour le navigateur par défaut. Mais comptez bien sur Apple pour trouver un moyen de monnayer les places sur son interface.

Behind the Wall of Sleep

Si la période 2025-2026 est une transition laissant penser qu’Apple est en sommeil, au contraire, l’intérieur bouillonne pour à la fois rattraper la concurrence sur l’IA, mais aussi et surtout proposer des nouveaux produits à même de satisfaire les fans de la marque, et amener de nouveaux clients. À n’en pas douter, ça doit courir à Cupertino ! Bonne fin de dimanche à tous, et à la semaine prochaine !

  • Dis Siri, mets-moi du Black Sabbath.
  • Ok, Greg, je vais chercher la cape noire et la croix inversée, et je reviens tout de suite pour dessiner le pentagrame.
  • Mon dieu, pour une fois il est pas loin de la vérité !

L’arnaque Doctolib le prouve : il est urgent de reprendre le contrôle sur vos données 📍

Article sponsorisé

dimanche 11 mai à 19:07

Services

À l’heure où les cybercriminels redoublent d’audace, un simple SMS, comme celui récemment usurpant l’identité de Doctolib, suffit à mettre en péril vos données personnelles. Heureusement, des solutions existent pour ne plus jouer les funambules au-dessus d’un gouffre numérique.

Un SMS frauduleux promettant 23 € de remboursement au nom de Doctolib fait des ravages. Derrière ce piège grossier, une réalité s’impose : nos données personnelles sont une mine d’or pour les cybercriminels. Heureusement, il existe un moyen concret de reprendre la main : Incogni.

Une arnaque qui cible Doctolib

Depuis quelques jours, les téléphones vibrent pour de mauvaises raisons. Un message, prétendument signé Doctolib, annonce un remboursement de 23 €. Le message est soigneusement calibré : la somme semble plausible, l’émetteur paraît légitime, et dans un monde où l’on jongle entre mutuelles, consultations et remboursements divers, il suffit d’un moment d’inattention pour cliquer.

Sauf que Doctolib, en réalité, ne rembourse jamais ses patients. Ce rôle est dévolu à la Sécurité sociale ou aux mutuelles. Et derrière ce SMS se cache une tentative d’hameçonnage comme on en voit fleurir chaque jour, ciblant des données aussi sensibles que précieuses. Adresse, numéro de téléphone, parfois informations bancaires : tout est bon à prendre.

Alors oui, rester vigilant est important. Mais dans un monde où l’on est traqué jusque dans son carnet d’adresses, est-ce encore suffisant ? La vraie question est ailleurs : comment empêcher que nos données personnelles circulent à notre insu ?

Incogni : un service discret, mais un impact colossal

C’est précisément ce que propose Incogni. Pas un énième antivirus, pas un autre VPN, mais un service dédié à un seul objectif : faire disparaître vos données des bases de données commerciales et douteuses.

Créé par l’équipe derrière Surfshark, Incogni agit comme un avocat numérique. En votre nom, il contacte des centaines de courtiers en données, ces entreprises qui amassent, croisent et revendent des informations personnelles comme d’autres vendraient des oranges au marché. La force d’Incogni, c’est sa capacité à s’appuyer sur les lois existantes — RGPD en Europe, CCPA aux États-Unis — pour obliger ces courtiers à effacer vos traces.

Chaque demande est formulée dans les règles, suivie, relancée si nécessaire. Pour l’internaute, le processus est transparent : on s’inscrit, on donne mandat, et on laisse Incogni travailler. Le résultat ? Moins de fuites de données, moins de risques de se retrouver dans des listes noires, et surtout, moins d’attaques ciblées comme celle qui frappe aujourd’hui les patients de Doctolib.

Combien ça coûte ?

L’efficacité a un prix, mais il reste raisonnable. Incogni propose la formule standard à 7,29 € par mois si l’on prend le forfait annuel, ce qui représente une économie de 50 % sur le forfait mensuel. L’éradication des données personnelles sur la toile étant un travail de longue haleine, c’est sans doute la meilleure chose à faire. D’autres formules sont également proposées : Unlimited (qui va encore plus loin dans la traque de vos données privées), Family (pour faire cela à plusieurs) et Family Unlimited (qui combine les deux formules).

Et si l’idée de vous engager vous freine, sachez qu’Incogni offre une garantie « satisfait ou remboursé » valable 30 jours. De quoi tester, constater, et décider en toute sérénité.

👉 Je teste Incogni !

Test de l'antenne Starlink mini, parfaite pour ceux qui aiment voyager

Pierre Dandumont

dimanche 11 mai à 10:00

Matériel

Lancée en France en juillet 2024 pour 400 €, l'antenne Starlink mini est maintenant proposée à 300 € et se retrouve même en promotion à 50 € de temps en temps. Plus compacte et destinée aux personnes qui veulent une connexion à Internet partout sur la planète, cette version mobile de l'antenne est-elle vraiment une bonne affaire par rapport aux autres modèles de Starlink ? C'est ce que nous allons vérifier dans ce test.

L'antenne Starlink mini à côté d'un MacBook (12 pouces) pour l'échelle. Image MacGeneration.

Une véritable antenne portable

L'antenne Starlink mini pourrait porter le nom d'antenne Starlink portable. Physiquement, elle se rapproche du volume d'un PC portable, avec sa surface de 298 x 259 mm. Son épaisseur maximale est de 38,5 mm et elle pèse 1,4 kg (avec son pied intégré et le câble USB-C de 5 mètres). Si elle semble solide, vous devrez tout de même prendre quelques précautions pour protéger la surface de réception et la housse officielle (ou une housse de PC portable 15 pouces) n'est pas de trop si vous comptez vous déplacer avec.

Starlink livre deux supports dans la boîte. Le premier est un pied simple en plastique, qui va permettre de l'incliner légèrement une fois qu'elle est au sol. Le second est un support qui permet de la fixer sur un piquet …

À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac

Nicolas Furno

samedi 10 mai à 11:00

Logiciels

Raycast est un lanceur pour le Mac qui est relativement récent, puisque la première version remonte à la toute fin de l’année 2020. Par sa puissance et sa polyvalence, ce concurrent aux vénérables LaunchBar, QuickSilver ou Alfred1 a pourtant réussi à largement s’imposer et devenir l’une des apps les plus populaires dans cette catégorie. D’abord plutôt orienté vers les développeurs, le lanceur peut désormais convenir à tous ceux qui cherchent à aller plus loin qu’avec Spotlight, le lanceur intégré à macOS.

Image MacGeneration.

Si l’idée de tester Raycast vous intéresse, sachez que l’app est gratuite au téléchargement et pour la majorité de ses fonctionnalités, même s’il existe un abonnement « Pro » facturé à partir de 8 $ par mois (en payant 96 $ HT à l’année, soit environ 98,7 €) pour tout débloquer, dont la synchronisation des données et ses fonctionnalités liées à l’IA. Commencez avec la version gratuite néanmoins, vous aurez déjà de quoi faire, c’est un utilisateur qui ne paie pas un centime depuis 2021 qui vous le dit.

Sachez aussi que vous aurez besoin de macOS 13 au minimum et que l’app n’est pas traduite en français. Si vous ne maîtrisez pas l’anglais, ce n’est pas l’idéal pour bien appréhender toutes ses fonctionnalités et tous ses réglages, même si ce qui suit vous aidera à vous retrouver. Trêve de présentations, passons à la pratique en lançant Raycast.

Un lanceur pour remplacer Spotlight et aller beaucoup plus loin

C’est dans le nom après tout : fondamentalement, un lanceur est une app dédiée au… lancement, bien sûr. Le principe a toujours été d’avoir une interface qui permet d’ouvrir rapidement un élément sur son Mac, qu’il s’agisse d’une app, d’un fichier ou bien d’un site web. À cet égard, Raycast peut remplacer Spotlight et c’est d’ailleurs ce que je vous encourage à faire si vous comptez tester sérieusement l’app. L’app est configurée au départ pour répondre au raccourci clavier ⌥␣, qui sert déjà à insérer des espaces insécables sur un clavier AZERTY. Vous pouvez toutefois reprendre le raccourci clavier de Spotlight, à savoir ⌘␣.

Il faut alors désactiver ou modifier le raccourci clavier utilisé par le moteur de recherche intégré à macOS, sous peine d’avoir des conflits entre les deux. Vous pouvez le faire dans les Réglages Système : dans Clavier, cliquez sur le bouton « Raccourcis clavier… » puis sur « Spotlight » dans la barre latérale. Deux options s’offrent alors à vous : soit décocher la case sur la ligne « Afficher la recherche Spotlight », soit modifier le raccourci par défaut par un autre de votre choix. La deuxième option offre l’avantage de pouvoir garder Raycast et Spotlight en parallèle, ce qui peut être pratique au départ2.

Les principaux réglages de Raycast, dont le choix d’un raccourci clavier qui permet d’activer l’app, un passage obligé pour un lanceur après tout. Image MacGeneration.
En décochant cette case dans les Réglages Système, Spotlight ne se lancera plus avec le raccourci clavier par défaut. Image MacGeneration.

Une fois que c’est fait, saisissez le raccourci clavier configuré et l’interface de Raycast s’ouvre alors. Comme toutes les apps de la catégorie, cette interface est optimisée pour une utilisation au clavier. Il reste possible d’utiliser le curseur pour cliquer sur des éléments, mais cela n’est pas très utile.

Pour commencer, faisons au plus simple. Ouvrez Raycast, tapez les premières lettres qui correspondent au nom d’une app puis quand elle apparaît dans les résultats de recherche, mettez la en surbrillance avec les flèches et appuyez sur la touche ↩︎ pour ouvrir l’app. Le lanceur se chargera de la lancer si elle était quittée ou de remettre au premier plan ses fenêtres si elle était déjà ouverte.

Raycast dans son fonctionnement le plus simple : je tape les premières lettres d’une app et je l’ouvre dans la foulée. Image MacGeneration.

La personnalisation est au cœur de l’expérience et cela commence dès que l’on parle d’ouvrir des apps. Vous pouvez utiliser Raycast comme vous le faisiez dans Spotlight, en saisissant à chaque fois les premières lettres de son nom, mais l’app propose aussi deux autres options. Chaque app sur votre Mac peut être associée à un alias et un raccourci clavier global. Pour cela, il faut ouvrir les préférences du lanceur, puis le panneau « Extensions » où vous trouverez toutes les commandes disponibles sur votre configuration. Je vous conseille d’utiliser le champ de recherche pour vous y retrouver, car vous allez vite le voir, la liste est (très) longue.

MacBook Air M4 : la chute des prix se poursuit encore sur ce nouvel incontournable 🆕

Stéphane Moussie

samedi 10 mai à 09:38

Mac

Mise à jour 10/05 — En ce qui concerne les MacBook Air M4 13”, les prix sont toujours au plus bas :

  • 1082 € pour le modèle de base en noir. Rappelons que cette configuration embarque 16 Go de RAM et 256 Go de SSD. C’est une remise de 10% sur le prix public. Le modèle argent est proposé au même prix alors que le bleu se négocie à 1099 €.
    • 1307 € pour la configuration « confort » : 16 Go de RAM et 512 Go de SSD.
    • Le modèle avec 24 Go de RAM est pour sa part vendu 1599 €, soit une réduction de 6% sur le prix public.

En ce qui concerne les modèles 15”, on trouve encore de belles remises :

  • le modèle entrée de gamme est proposé à 1349 € en modèle argent. Il s’agit du modèle avec 16 Go de SSD et 256 Go de SSD, qui habituellement est vendu 1499 €.
  • le modèle avec 24 Go de RAM 512 Go de SSD est vendu 1813 € en lumière interstellaire et 1826 € en bleu. Chez Apple, ce même modèle est vendu 1999 €.

Article original — 

Mise à jour le 8 mai : le prix du MacBook Air continue de s'effriter sur des configurations. C'est à chaque fois quelques euros qui sont ôtés mais l'écart se creuse avec le prix officiel de l'Apple Store sur ce portable dans sa dernière génération (mars 2025).

Le modèle M4 est capable de piloter 2 écrans externes en plus du sien. Image Apple.

Que ce soit dans sa version 13" ou dans celle de 15", le MacBook Air M4 est un ordinateur portable que l’on recommande les yeux fermés au plus grand nombre. Il a tout pour lui : il est léger, il a une excellente autonomie, il est puissant… Le fait qu’il embarque 16 Go de RAM par défaut facilite d’autant plus le choix. Seuls les 256 Go de stockage de base peuvent être gênants, sauf si on a l'habitude de travailler et stocker en ligne ou sur des supports externes. Les différences entre le 13" et le 15" portent uniquement sur la taille de l'écran et l'encombrement. Le second n'est pas plus puissant ou mieux équipé que le premier, même leur autonomie est identique.

Test des MacBook Air M4 : faut-il lâcher la M1 ?

Test des MacBook Air M4 : faut-il lâcher la M1 ?


Mise à jour le 6 mai — À mesure que les jours passent, le MacBook Air M4 voit son prix perdre quelques euros. Le modèle 16 Go / 512 Go de SSD (celui que l’on recommande vraiment) est proposé à 1317 € en noir et à 1 318 € en lumière stellaire.

La même configuration en 15” connait également des baisses de prix. Le modèle argent est proposé à 1 571 €, soit une remise de 178 € sur son prix normal. Le modèle lumière interstellaire est également proposé au même prix.

Mise à jour le 2 mai : À chaque jour sa réduction de quelques euros. Amazon a de nouveau baissé ses prix sur deux configurations de MacBook Air M4. Pas de grand chose mais ce sont les derniers en date :

  • MacBook Air M4 de 13" en 16/512 Go (minuit) à 1 332 € (- 117 € par rapport au prix d'Apple)
  • MacBook Air M4 de 15" en 16/512 Go (Bleu ciel et Lumière stellaire) à 1 608 € (- 141 €)

MacBook Air M4 bleu. Image Apple.

Mise à jour le 1er mai : À chaque jour sa réduction. Amazon a de nouveau baissé de 10 à 25 € ses prix sur plusieurs MacBook Air M4. Voici les nouveaux tarifs :

  • MacBook Air M4 de 13" en 16/512 Go (minuit) à 1 335 € (- 114 € par rapport au prix d'Apple)
  • MacBook Air M4 de 15" en 16/256 Go (argent) à 1 376 € (- 123 €)
  • MacBook Air M4 de 15" en 16/512 Go (argent) à 1 620 € (- 126 €)
  • MacBook Air M4 de 15" en 24/512 Go (bleu) à 1 853 € (- 146 €)

Mise à jour le 30 avril : Amazon a raboté encore un peu les prix, de pas grand chose mais cela fait de nouveaux seuils pour quelques configurations.

  • MacBook Air M4 de 13" en 16/512 Go (minuit) à 1 344 € (-105 €)
  • MacBook Air M4 de 15" en 16/256 Go (argent) à 1 398 € (-101 €)
  • MacBook Air M4 de 15" en 16/512 Go (argent) à 1 620 € (-129 €)
  • MacBook Air M4 de 15" en 24/512 Go (bleu) à 1 862 € (-137 €)

Article original publié le 28 avril : Lancés il y a moins de deux mois, les MacBook Air M4 voient déjà leur prix diminuer petit à petit sur Amazon. La version 13" de base en coloris minuit est en ce moment à 1 082 €, soit le tarif le plus bas à ce jour. Chez Apple, ce modèle est vendu 1 199 €.

Si les 256 Go de stockage par défaut sont trop faibles pour vous, l’unité avec 512 Go est en promotion à 1 353 € en minuit et en lumière stellaire, au lieu de 1 449 €. Et si ce sont les 16 Go de mémoire qui vous posent problème, la configuration avec 24 Go de RAM et 512 Go de stockage est à 1 586 € en couleur argent (- 113 €).

Vous pouvez aussi faire des économies sur le grand MacBook Air M4 de 15". La version de base est disponible sur Amazon à partir de 1 399 € (- 100 €). Avec le double de stockage, comptez 1 629 € (- 120 €). Et avec le double de stockage et 24 Go de RAM, vous pouvez vous en sortir pour 1 871 € (- 128 €).