Les PB 12" arrivent

Vincent Absous |
Présentés le 7 janvier dernier, à la fin de son keynote par Steve Jobs, les premiers PowerBook 12,1" arrivent dans les magasins américains. Un lecteur de MacNN confirme ainsi que l'Apple Store de Tysons Corner, près de Washington, en possède dans son stock, tandis que plusieurs témoignages tendent à montrer que certains clients de l'Apple Store en ligne ont reçu avis de l'envoi de leur machine. Pour ce qui est du continent européen, en revanche, les machines ne sont toujours pas arrivées.

Lire les commentaires →

WND : Mauvaises herbes

Vincent Absous |
Pour Russ McGuire, nul doute que le fait qu'Apple se focalise sur le développement de logiciels et de matériels lui fait perdre beaucoup. Le rédacteur en chef de Business Reform Magazine pense qu'Apple est revenu à ses anciens démons : avoir une longueur d'avance en matière de tehnologie et perdre alors de l'argent.

Lire les commentaires →

Des PowerPC dans des PDA

Christophe Laporte |
IBM a présenté lors du LinuxWorld à New York, un PowerPC spécialement conçu pour PDA. Le PowerPC 405LP sera disponible dès le mois de mars. Avec cette puce, Big Blue espère ainsi populariser les PDA sous Linux qui ont pour l'heure du mal à décoller face aux Palm et aux PocketPC. Reste que si Apple souhaite lancer un appareil du type TabletPC ou un SmartPhone, l'arrivée de ce processeur pourrait bien lui faciliter les choses.

De plus, un lecteur nous signale ce communiqué de presse paru sur le site d'IBM. Big Blue présente les nouveaux serveurs iSeries. Rien de bien excitant pour un utilisateur Macintosh sauf qu'il est question à un moment du processeur POWER4 et de ses dérivés. Selon cette page web, ces derniers sont employés par des serveurs, les consoles Nintendo et Apple. Les plus imaginatifs pourront alors se mettre à rêver d'une annonce avancée d'IBM qui fait hélas allusion simplement à ses gammes de PowerPC actuelles, comme le 750 ou le Gekko.

Lire les commentaires →

Labo de Keynote

Vincent Absous |
Jusqu'alors, le professionnel qui voulait réaliser des présentations sur son Mac n'avait guère le choix : PowerPoint de Microsoft dominait le marché, quand bien même d'autres solutions existaient. Depuis le 7 janvier, les choses pourraient avoir changé avec la sortie de Keynote, la réponse d'Apple à Microsoft. Nous avons testé ce logiciel surprise.

Lire les commentaires →

Keynote 1.0

Vincent Absous |
Sous Mac OS, jusqu'à il y a peu, il existait deux solutions principales, essentielles, pour réaliser des présentations assistées par ordinateur. D'un côté, un logiciel grand public, satisfaisant dans bien des cas mais insuffisant dans d'autres, AppleWorks donc, et, d'un autre côté, PowerPoint, un logiciel autrement plus évolué, élément constitutif d'une suite bureautique (Office), aux fonctionnalités avancées mais aussi, souvent, superfétatoires. Quant au prix, il n'est pas le même : si AppleWorks est souvent fourni avec les Mac de la gamme grand public (il vaut 106 euros par ailleurs), PowerPoint est pour sa part beaucoup plus cher et ne peut-être acheté séparément de la suite Office. Pourtant, depuis le 7 janvier, il existe une troisième solution : Keynote.


La présentation du logiciel a d'abord été pour Steve Jobs l'occasion de faire rire la salle. Le CEO d'Apple a présenté Keynote comme un programme réalisé à sa destination et l'on a bien senti un moment de doute, moment pendant lequel tout le monde se demandait si Steve Jobs plaisantait, présentait un joli "fake", histoire de montrer que sa firme, elle aussi, savait en produire. Pourtant, il a fallu se rendre à l'évidence : Keynote n'avait rien d'une plaisanterie ; il s'agissait bel et bien d'une nouvelle application destinée, à l'évidence, à concurrencer PowerPoint plutôt qu'AppleWorks.


Installation et première découverte






L'installation en soi ne nécessite aucune réflexion particulière. L'installateur demandera, comme c'est très souvent le cas, le mot de passe administrateur. Une fois cette information fournie, l'installation suit les étapes habituelles.






L'interface est sobre, dépouillée de la robe de métal brossé qui habille les iApplications. On distingue facilement trois zones principales, comme dans iTunes, comme dans iPhoto, etc. La zone 1 est la barre d'outils, la zone 2, la barre de navigation qui affiche les vignettes des diapositives constitutives de la présentation (là où PowerPoint affiche des informations textuelles parfois confuses, Keynote opte pour un affichage visuel), la zone 3 affiche l'espace de travail où s'inscrit la diapositive sur laquelle travaille l'utilisateur. En bas de cette zone, un menu permet de choisir le facteur de zoom pour l'affichage de la diapositive.



D'emblée, au lancement, le logiciel demande à l'utilisateur de choisir un thème parmi douze propositions illustrées par une vignette représentative. Les thèmes proposés sont variés et s'adapteront, presque assurément, à tous les publics : scolaire (avec le tableau noir de "Blackboard", par exemple), familial ("Fun Theme"), amateur éclairé, commercial, etc. Douze thèmes dont on aura assez vite fait le tour mais qui s'avèrent suffisants dans un premier temps et dont on peut penser qu'Apple les complètera peut-être par d'autres à télécharger.














Douze thèmes au choix







L'utilisateur est également invité à faire le choix de la taille des diapositives. Deux propositions : 800 par 600 ou 1024 par 768. Dans les faits, la présentation étant destinée le plus souvent à être projetée grâce à un vidéo projecteur, ces deux résolutions sont, là aussi, suffisantes.





Keynote se démarque de son principal concurrent, PowerPoint, par le choix de la sobriété et de la simplicité. La barre d'outils du logiciel est assurément l'illustration de ce principe. Claire, elle offre un accès aisé aux principales fonctionnalités du programme. À noter qu'il est possible, comme avec les autres applications sorties des laboratoires de Cupertino, de la personnaliser. Par défaut, elle se divise en cinq zones. La première est composée de trois icônes. "New" permet de créer une nouvelle diapositive, "Delete" d'en effacer une et "Play" permet de lancer le diaporama.


La deuxième zone est elle aussi composée de trois icônes. L'icône "Themes" déploie, lorsqu'on appuie dessus, la fenêtre des thèmes qu'on a déjà vue. L'icône "View" permet de définir les options d'affichage de l'espace de travail. Au choix, le logiciel affichera une vignette de chaque diapositive ou le titre de la diapositive ; il est aussi possible de ne pas afficher la barre de navigation, d'afficher ou non les notes destinées à commenter la présentation. Enfin, une dernière option permet de diviser la zone en deux pour afficher dans une partie supérieure les vignettes des différents masters disonibles. Ces derniers sont également convocables grâce à la troisième partie de la barre d'icônes. L'utilisateur pourra choisir entre différents modèles de diapositive (titre, sommaire, photo, etc.).


La troisième partie de la barre d'outils offre quatre icônes, celles des quatre éléments qu'il est possible d'utiliser pour construire une vignette : Text, Shapes, Table et Chart. Cliquer sur l'icône "Text" provoque l'apparition d'un "objet" texte dans la vignette en cours. Il suffira alors de saisir le texte voulu et de jouer avec les dimensions de la zone créée. L'icône "Shapes" offre un choix de six formes géométriques classiques (trait, parallélépipède, cercle, triangle, équerre, flèche). L'icône "Table" crée un tableau de neuf cases dans la vignette et affiche la palette en rapport. Enfin, l'icône "Chart" (graphique) entraîne l'apparition de trois éléments : une feuille de calcul où l'on saisira les données, une palette "Chart" et le graphique lui-même dans la vignette. Pour chacun des éléments qui apparaissent dans la vignette, l'utilisateur ne manquera pas de remarquer immédiatement les poignées qui permettent de les redimensionner.


La quatrième zone de la barre d'outils permet d'organiser les éléments composant la vignette. C'est grâce aux quatre icônes la composant que l'utilisateur associera ou non les objets, fera passer l'un de ces derniers au premier ou à l'arrière-plan.


Enfin, la cinquième série d'icônes provoque l'affichage des trois palettes auxquelles on peut avoir recours pendant le travail. L'icône "Inspector" affiche une palette sur laquelle nous reviendrons par ailleurs, les icônes "Colors" et "Fonts" entraînant l'apparition de deux outils qu'on connaît par ailleurs sous Mac OS X : la palette des couleurs et celle des polices, deux palettes qu'on peut afficher dans toute application Cocoa (Safari, iChat, Mail, etc.).


Réalisation d'un projet


Pour les besoins du test, nous allons réaliser une présentation simple, de quelques diapositives. Elle portera sur les derniers PowerBook.





Première étape : le choix du thème. On l'a dit, les douze thèmes proposés suffisent, dans un premier temps, à la réalisation de quelques présentations. Ils sont d'ailleurs suffisamment différents de ceux que propose PowerPoint pour offrir une vraie bouffée d'air frais aux spectateurs de notre "keynote". On remarquera également que les thèmes proposés sont plus sobres que ceux du concurrent. Le thème choisi (il peut être modifié à tout moment), il s'applique à toutes les diapositives.


Deuxième étape : le choix des formats de diapositives. Nous allons créer une présentation de cinq diapositives. Outre la diapositive de présentation créée par défaut par Keynote, nous créerons une diapositive "Sommaire", des diapositives "Vue d'ensemble", "Caractéristiques" et "Comparaison". Lorsqu'on demande à Keynote de créer des diapositives en appuyant sur le bouton "+", par défaut, le logiciel crée une diapositive au format "Title et Bullets", c'est-à-dire comportant une zone de titre en haut et une zone de texte initié par des puces en bas. En fonction de notre projet, nous allons tout d'abord appliquer le format voulu aux nouvelles vignettes. La deuxième vignette, consacrée donc au sommaire, conservera le format par défaut. La troisième sélectionnée, nous lui appliquons le format "Title, Bullets & Photo" qui nous permettra, plus tard, d'insérer une rapide présentation des nouveaux portables accompagnée d'une photo. La quatrième diapositive nous permettra, elle, d'insérer un tableau, celui des caractéristiques des machines : nous appliquons le format "Title Top" qui crée une zone de titre au sommet de la diapositive mais laisse le reste de l'espace vierge, ce qui nous permettra d'insérer les éléments nécessaires ensuite. Un graphique complétera le dispositif sur une cinquième diapositive. Une remarque : si l'ordre des diapositives ne convient finalement pas, il suffit de le réorganiser dans le navigateur latéral en utilisant la souris.


La diapositive "Sommaire" est rapidement réalisée.


















Sommaire de la présentation




Outre le titre "Sommaire" (dans la zone supérieure), nous n'avons à saisir que trois lignes de texte dans la zone inférieure (les noms des trois diapositives suivantes). En fonction du thème et du format de vignette retenus, les caractéristiques du texte et des paragraphes varient. Pour personnaliser ces éléments, il faut jouer des trois palettes évoquées plus haut. La palette "Text" permet ici de définir la couleur du texte, la justification du paragraphe, sa position verticale dans le bloc de texte, l'espace entre les caractères, les lignes et les puces et le texte, le format des puces ou des nombres, etc. Les palettes Fonts et Colors permettront de modifier les attributs du texte.



















Une vue d'ensemble




La troisième diapositive doit nous permettre de présenter rapidement les nouvelles machines. Sur la droite, un espace, vierge pour le moment, est prêt à accueillir une photographie. Sur la gauche, une zone de texte permettra de saisir les principales caractéristiques des produits. Enfin, en haut, un bandeau recevra le titre. Si l'organisation des blocs sur la diapositive ne convient pas, il suffit de les déplacer. Alors, et c'est une très bonne idée, apparaissent des guides qui permettent l'alignement des objets. L'Inspecteur, là encore, s'avère utile. La palette "Slide" permet de modifier, là aussi, le format de la vignette, de choisir une autre image de fond ou un autre motif, de spécifier ici la transition vers la diapositive suivante.Une autre palette, "Graphic", permet de définir les attributs de l'objet, ou des objets, sélectionné(s). Pour un bloc de texte, par exemple, il est possible de spécifier la couleur, le dégradé ou l'image de fond, le liserai du cadre. Arrêtons-nous quelques instants sur la rubrique "shadow" (ombre). Grâce aux performances graphiques de Mac OS X, il est possible de définir des effets d'ombre, non pas du seul cadre dans lequel s'inscrit le texte, mais bien au texte lui-même. Les paramètres de cet ombrage sont très faciles à saisir et s'avèrent riches. Une molette permet de préciser l'angle de l'ombré par rapport au texte. Enfin, Keynote met encore à contribution Quartz et permet de définir un degré de transparence de l'élément sélectionné (texte ou image). Tout simplement redoutable ! Pour compléter notre travail, il nous reste à placer une image dans l'emplacement prévu à cet effet. Le plus simple pour importer un fichier est de cliquer droit (ou d'appuyer sur ctrl en même temps qu'on appuie sur le bouton de la souris) et d'indiquer à Keynote l'emplacement du fichier. Cela fait, notre photo de des deux portables apparaît ; il faut maintenant la placer au bon endroit et donner au spectateur l'impression qu'elle est encadrée. S'il est tout à fait possible de placer l'image grâce au glisser-déposer, une méthode plus exacte consistera à saisir les valeurs X et Y dans les zones prévues de l'Inspecteur, la palette "Metrics". Outre qu'elle affiche, le cas échéant, le nom du fichier importé, la fenêtre permet donc de définir un emplacement très précis de l'élément ainsi que sa taille (on peut contraindre le redimenssionnement) ; enfin, une nouvelle molette permet d'appliquer une rotation tandis que deux boutons autorisent le renversement horizontal ou vertical de l'objet. Notre image correctement placée dans le cadre virtuel dessiné par le thème retenu, il nous faut la placer à l'arrière-plan. Un clic, dans la barre d'outil, sur le bouton "Back" suffit, voilà l'AluBook encadré.


















Des données tabulaires pour comparer les nouveaux PowerBook




Notre présentation s'achèvera sur des données tabulaires et sur un graphique. La quatrième diapositive, lors de la création du chemin de fer initial, s'est vue dotée d'un seul bloc destiné à recevoir le titre. La plus grande partie la diapositive est vierge et permet de placer le tableau. Pour créer un tableau, nous l'avons déjà dit, il suffit de cliquer sur le bouton idoine dans la barre d'outils. Immédiatement, neuf cellules viennent occuper tout l'espace vierge. Le tableau et ses cellules redimensionnés, nous saisissons les informations nécessaires. La palette "Table" ne présente rien de bien original mais permet de définir facilement le nombre de colonnes et de lignes du tableau, de scinder celles-ci ou, au contraire, de fusionner les cellules. C'est ici qu'on spécifiera l'alignement du texte dans la cellule (à l'horizontale et à la verticale), qu'on précisera la couleur et l'épaisseur du filet entourant la cellule ou le tableau, qu'on indiquera enfin ce qu'on veut voir en fond de ces derniers. Par ailleurs, une palette "Build" permet de définir pour les objets présents sur une diapositive la façon dont ils apparaissent et celle dont ils disparaissent. Différents effets sont proposés et une fenêtre de prévisualisation au sommet de la palette permet de les tester immédiatement. Tout bloc est susceptible d'être ainsi manipulé. On fera juste attention à n'en pas abuser de crainte de donner le mal de mer à ses spectateurs. On fera néanmoins apparaître notre tableau colonne par colonne et disparaître ligne par ligne. Il est évidemment possible de définir un odre de préséance disant que tel élément de la diapositive doit apparaître avant tel autre.


















Un joli graphique...





Reste alors une dernière diapositive. Elle offrira un graphique aux couleurs chatoyantes (mais aux données sans réel intérêt ici). Cette fois, c'est la palette "Chart" qui nous sera utile. Depuis la palette, il est possible de choisir le type de graphique désiré (neuf formes sont possibles, des colonnes au fromage). C'est également depuis cette palette que l'utilisateur spécifiera les étiquettes à donner aux axes du graphique, le format des données numériques, le format des éléments du graphique, etc. Une autre fenêtre a fait son apparition qui permet de saisir les données constitutives du graphique. On regrettera d'ailleurs à ce sujet que Keynote ne sache pas reprendre automatiquement les données du tableau de notre quatrième vignette. Si un tableau et un graphique sont créés, le second illustrant le premier, il faut rentrer à nouveau les données du premier dans la fenêtre "Chart Data Editor". Le graphique créé, il est possible, comme pour n'importe quel objet, de modifier ses caractéristiques dans la palette "Graphic" et de jouer notamment de la transparence et des ombres. Pour être franc, il vaut mieux, dans le cadre de toute manipulation, être équipé d'une carte graphique bien dotée, faute de quoi des ralentissements se feront vite sentir. Sur notre Cube, dont la carte est équipée de 16 Mo, la moindre modification des éléments du graphique, pourtant léger et sans données complexes, a provoqué un temps, minime certes, de latence.



Notre présentation est achevée. Il nous reste à définir les transitions entre les diapositives et à réfléchir à son exportation. Les transitions peuvent être individualisées (chaque diapositive apparaît selon une transition spécifique) ou générales (ils suffit de sélectionner les diapositives dans le navigateur latéral). Le choix des transitions s'effectue, on l'a vu plus haut, dans la palette "Slide". Là encore, on abusera pas des effets multiples.



Un dernier travail est à effectuer : l'exportation du document de façon à le rendre visible sur tout ordinateur, Mac ou PC, sans Keynote. Le menu Export (dans le menu Fichier) propose trois solutions. La présentation peut faire l'objet d'un film QuickTime, d'un fichier PowerPoint ou PDF. Dans les trois cas, l'opération est une réussite. Rappelons d'ailleurs que PowerPoint, d'une version Mac à une version PC, et inversement, ne sait parfois pas reconnaître une même présentation. Apple a donc réussi sur ce point un beau travail.





La première option, appelle quelques remarques. Il est possible de laisser le déroulement de la présentation se faire de soi-même ou de la mener comme si l'on était sous Keynote. La qualité d'image est également configurable, de façon à l'adapter au support (CD par exemple ou Internet).





Un regret pour finir : PowerPoint permet d'exporter une présentation au format HTML. Ce n'est pas une solution très orthodoxe et le résultat n'est pas exactement compatible avec tous les navigateurs. Elle a pour elle pourtant d'être simple et rapide. Keynote ne le permet pas. Peutt-être dans une version future.


Conclusion


La question qui vient à l'esprit de beaucoup de gens est : "Keynote vaut-il PowerPoint ?". Assurément, la réponse est oui. Oui parce que l'écart de prix fait qu'on passera sur l'absence de certaines fonctionnalités (le confort de la correction automatique de l'orthographe, la possibilité d'exporter au format HTML, etc.). Incontestablement, avec ce logiciel, Apple a surpris son monde. Certes, on murmure depuis un certain temps que la Pomme travaillerait à sa propre suite bureautique, destinée à concurrencer, logiciel par logiciel, l'Office de Microsoft. Si l'information se vérifiait, nul doute qu'avec Keynote, Apple a posé une belle première pierre.

Lire les commentaires →

AUG S : Un PDA PowerPC !

Vincent Absous |
Alors que les rumeurs d'un nouveau PDA Apple existent depuis l'arrêt du Newton, c'est finalement IBM qui sort un PDA à base de PowerPC, et sous Linux. A quand une version Apple sous MacOS X ?

Lire les commentaires →

iDoor surveille la maison

Vincent Absous |
Sébastien Sobczyk attire notre attention sur un logiciel qui n'intéressera pas tout le monde, c'est certain, mais qui ne manque pourtant pas d'impressionner. iDoor n'est pas une nouvelle iApplication d'Apple. Non, iDoor permet notamment de surveiller, depuis son Mac, les abords de son chez soi en affichant, par exemple (pour l'aspect spectaculaire), sur l'écran de l'ordinateur l'image de l'entrée. L'utilisateur, en pilotant avec le Mac le système extérieur d'accès, définit pour chacun les droits d'accès. Le système fonctionne à travers un réseau local mais aussi à travers Internet. Pour plus de renseignements, une visite au site du développeur, Amazing Control, s'impose.

Lire les commentaires →

Pages