Ouvrir le menu principal

MacGeneration

Recherche

Actualités

BuhoLaunchpad reproduit fidèlement l’ancien Launchpad de macOS, pour les amateurs

Nicolas Furno

vendredi 12 décembre à 09:36

Logiciels

Vous regrettez le Launchpad d’antan, cette grille d’apps qui s’affichait en plein écran et qui a été remplacée par une grille dans Spotlight avec macOS Tahoe ? Bonne nouvelle, les options ne manquent pas et de multiples développeurs se sont jetés sur l’opportunité de recréer l’ancienne interface. Nous en avions évoqué plusieurs, en voici une de plus, que je trouve très proche de la copie originale, comme vous pouvez en juger sur cette petite vidéo.

BuhoLaunchpad en action. Image MacGeneration.

BuhoLaunchpad (8 €) fonctionne par défaut pile comme l’ancienne fonctionnalité de macOS. On l’active avec un pincement à cinq doigts sur un trackpad, les apps installées sur le Mac s’affichent sur une grille répartie sur plusieurs pages et un champ de recherche, actif dès l’affichage de la grille, permet de filtrer la liste. Lors du premier lancement, l’app récupère même l’organisation de l’ancien Launchpad pour simplifier la transition et on pourra ensuite modifier l’ordre des icônes par glisser/déposer et les ranger dans des dossiers, comme pour la fonctionnalité de macOS.

Par rapport à l’original, BuhoLaunchpad propose plus d’options, notamment pour ajuster la taille des icônes et leur espacement sur la grille. On peut également exporter et importer l’organisation actuelle, ce qui peut être pratique pour la retrouver sur plusieurs Mac. Bref, c’est un utilitaire complet et qui me semble bien pensé si vous cherchez un remplaçant à l’ancien Launchpad. Sa réactivité est un avantage indéniable au quotidien et si l’app est payante, la version de démonstration est généreuse (un message s’affiche de temps en temps pour rappeler d’acheter une licence) et le prix très raisonnable en ce moment.

En effet, BuhoLaunchpad est normalement vendu 20 € pour un Mac, mais on peut l’obtenir en ce moment à 8 €, ou alors 16 € au lieu de 48 pour trois Mac. C’est une licence traditionnelle, sans abonnement associé. macOS 26 est nécessaire et l’interface n’est pas traduite en français.

iPhone, Mac : Le VPN premium à petit prix que tout le monde s'arrache avant Noël (parfait si vous avez raté le Black Friday) 📍

Article sponsorisé

vendredi 12 décembre à 09:33

Services

Vous avez raté le Black Friday ? Bonne nouvelle : CyberGhost VPN prolonge sa promotion exceptionnelle avec 83 % de réduction et quatre mois offerts. À quelques jours de Noël, cette offre tombe à point nommé pour sécuriser vos achats en ligne et protéger votre vie privée sur tous vos appareils Apple.

Le Black Friday est passé, mais CyberGhost n'en a pas terminé avec les bonnes affaires. Le VPN maintient sa réduction de 83 %, soit 2,03 € mensuels seulement, avec quatre mois supplémentaires offerts. Une aubaine pour tous ceux qui ont laissé passer les promotions de fin novembre et qui souhaitent sécuriser leurs appareils Apple avant les fêtes.

Cette période de l'année voit exploser les achats en ligne. Cadeaux de Noël, billets d'avion, réservations d'hôtels... chaque transaction expose vos données bancaires et personnelles. Autant dire qu'investir quelques euros dans une protection digne de ce nom n'est pas du luxe.

Safari et vos achats en ligne enfin protégés

Faire ses courses de Noël sur Safari depuis son iPhone ou son Mac, c'est pratique. Sécurisé, c'est une autre histoire. Chaque site marchand que vous visitez, chaque formulaire de paiement que vous remplissez, chaque recherche de produit que vous effectuez laisse des traces numériques exploitables.

CyberGhost chiffre l'intégralité de votre trafic Internet. Vos informations bancaires, vos mots de passe, vos données de navigation deviennent totalement illisibles pour quiconque tenterait de les intercepter. Sur un réseau WiFi public dans un centre commercial ou un café, cette protection devient carrément indispensable.

Le VPN masque également votre adresse IP réelle, rendant votre activité en ligne anonyme. Fini le ciblage publicitaire agressif qui vous traque de site en site après avoir simplement consulté un produit. Votre navigation redevient véritablement privée.

Tous vos appareils Apple couverts

iPhone 15, MacBook Air M2, iMac, iPad Pro... peu importe les appareils Apple que vous possédez, CyberGhost fonctionne sur l'ensemble de la gamme. Cette polyvalence simplifie considérablement la vie, surtout quand on jongle entre plusieurs machines au quotidien.

L'installation se déroule sans accroc. Pas besoin d'être ingénieur en informatique pour configurer le VPN. Quelques clics suffisent, et votre protection se met en place automatiquement. L'application s'intègre naturellement à iOS et macOS, fonctionnant en arrière-plan sans ralentir vos appareils.

Vous passez de votre iPhone à votre Mac dans la journée ? Aucun problème. La connexion VPN suit vos déplacements d'un appareil à l'autre, maintenant une protection constante quelle que soit la machine utilisée.

11 000 serveurs dans le monde entier

L'infrastructure de CyberGhost impressionne : plus de 11 000 serveurs dispersés dans une centaine de pays. Cette densité garantit des connexions rapides et stables, où que vous vous trouviez. Que vous soyez chez vous à Paris, en vacances à Marrakech ou en déplacement professionnel à Londres, un serveur proche assure des performances optimales.

Cette couverture mondiale permet aussi de contourner les restrictions géographiques qui limitent l'accès à certains contenus selon votre localisation. Pratique quand vous voyagez et souhaitez accéder à vos services de streaming habituels ou à des sites qui bloquent les connexions depuis l'étranger.

La vitesse de connexion reste excellente, même aux heures de pointe. Pas de ralentissements frustrants qui gâchent l'expérience. Regarder des vidéos en streaming, télécharger des fichiers volumineux ou simplement naviguer sur le web se fait avec fluidité.

Une confiance mesurable

Sur Trustpilot, CyberGhost affiche 4,7 sur 5 basé sur plus de 14 800 avis. Dans un secteur où les promesses dépassent souvent la réalité, ces chiffres parlent d'eux-mêmes. Près de 15 000 personnes ont pris le temps de partager leur expérience, et l'immense majorité se déclare satisfaite.

Cette réputation se forge sur la durée. Un VPN qui fonctionne réellement comme annoncé, une interface claire, un service client réactif... autant d'éléments qui expliquent ce plébiscite. Quand on investit dans un outil de sécurité, autant choisir un acteur fiable avec des preuves tangibles de son sérieux.

Le cadeau que vous vous devez de vous faire

Les fêtes de fin d'année multiplient les occasions de se faire piéger en ligne. Sites frauduleux qui imitent de vraies boutiques, réseaux WiFi publics peu sécurisés dans les centres commerciaux, phishing qui explose pendant cette période... les menaces pullulent. Un VPN ne fait pas tout, certes, mais il constitue une première ligne de défense solide.

🔥 Profitez de l'offre CyberGhost à 2,03 €/mois avant qu'il ne soit trop tard

NordVPN veut nettoyer vos courriels des liens malveillants

Christophe Laporte

vendredi 12 décembre à 08:39

Services

Le VPN ne suffit plus. C’est du moins le message que semble vouloir faire passer NordVPN, qui continue d’étoffer sa « suite de sécurité » bien au-delà du simple tunnel chiffré. Le service vient d’ajouter une nouvelle corde à son arc : une protection contre le hameçonnage directement intégrée à votre navigateur.

Si vous avez l'habitude de consulter vos courriels via un webmail (Gmail, Outlook.com, etc.) sur macOS ou Windows, vous pourriez voir apparaître de nouveaux avertissements. Cette nouvelle fonctionnalité, qui s'inscrit dans le module Protection Anti-menaces Pro, se charge d'analyser à la volée les liens contenus dans vos messages.

L'idée est assez simple : couper l'herbe sous le pied aux campagnes de phishing qui jouent souvent sur l'urgence ou la curiosité. Concrètement, dès qu'un courriel est ouvert dans le navigateur, l'outil scanne les URL visibles. Si un lien pointe vers une destination connue pour héberger des malwares ou une page d'hameçonnage, NordVPN affiche une bannière d'alerte en haut du message et appose un bouclier rouge explicite à côté du lien incriminé.

Domininkas Virbickas, directeur produit chez NordVPN, présente cela comme une « couche de défense proactive » censée intervenir avant même le clic fatidique. C'est une approche qui n'est pas sans rappeler celle des extensions de sécurité ou des filtres natifs des navigateurs, mais intégrée ici dans l'écosystème de l'application.

Une analyse locale, ou presque

Qui dit analyse de courriels dit forcément inquiétude pour la vie privée. Sur ce point, l’éditeur lituanien se veut rassurant. L'outil a été conçu pour se concentrer uniquement sur les liens, sans analyser le contenu textuel de vos correspondances.

De plus, NordVPN assure que le processus est géré localement sur la machine de l'utilisateur « chaque fois que cela est possible ». Lorsque l'analyse nécessite une vérification côté serveur (pour consulter une base de réputation à jour), seules les métadonnées minimales du lien sont envoyées, promet l'entreprise.

Image : Nordvpn
Image : Nordvpn

Une protection réservée aux formules avancées

Attention toutefois, cette nouveauté n’est pas incluse dans l'offre de base. Comme souvent avec les ajouts récents (blocage de publicités, détection de malwares), la protection des courriels est réservée aux abonnés disposant du module Protection Anti-menaces Pro, ce qui implique généralement de souscrire aux formules « Avancé » (3,89 € par mois) ou « Ultime » (6,39 € par mois).

Il faut également noter une limitation technique d'importance : fonctionnant via le navigateur, cette protection ne vous sera d'aucun secours si vous utilisez un client mail natif comme Mail.app sur votre Mac ou Outlook sur PC. C'est une solution pensée pour le web, qui complète les outils existants mais ne remplace pas (encore ?) la vigilance de l'utilisateur. Si ce type de solutions est intéressante sur le papier, il serait grand temps qu’Apple se penche sur le sujet et renforce son arsenal de sécurité dans le domaine.

Le Time célèbre les bâtisseurs de l’IA, Apple absente de la photo

Christophe Laporte

vendredi 12 décembre à 07:30

Intelligence artificielle

Qui allait bien pouvoir succéder à Donald Trump ? Le magazine Time a rendu son verdict ce jeudi. Après avoir couronné le président élu en 2024, l'hebdomadaire américain a choisi de ne pas distinguer un seul visage, mais un mouvement tout entier. Pour 2025, ce sont les « architectes de l’intelligence artificielle » qui raflent la mise.

Les huit visages de la révolution

Pour incarner cette distinction prestigieuse, le Time a sélectionné huit figures incontournables qui façonnent actuellement notre futur technologique. Ce n'est pas un classement, mais plutôt un tour de table des puissances actuelles de la Silicon Valley (et au-delà) :

  • Sam Altman (OpenAI) : le visage le plus public de l'IA générative.
  • Jensen Huang (Nvidia) : l'homme qui fournit les « pelles et les pioches » de cette ruée vers l'or avec ses puces graphiques.
  • Elon Musk (xAI) : le patron de Tesla et X, qui tente de rattraper le peloton avec Grok.
  • Mark Zuckerberg (Meta) : qui a investi des dizaines de milliards de dollars afin de batir une super intelligence.
  • Demis Hassabis (Google DeepMind) : le cerveau derrière les avancées de Google.
  • Dario Amodei (Anthropic) : le rival éthique d'OpenAI.
  • Lisa Su (AMD) : l'autre géante des semi-conducteurs.
  • Fei-Fei Li (Université Stanford) : seule universitaire du groupe, souvent surnommée la « marraine de l’IA ».

Un chantier à ciel ouvert

Pour illustrer ce choix, le magazine propose deux couvertures. La première, conceptuelle, montre les lettres « AI » enserrées dans des échafaudages, symbolisant une technologie encore en pleine construction.

Image : Time

La seconde est plus marquante : un photomontage mettant en scène ces huit personnalités assises sur une poutre métallique, suspendues au-dessus du vide. C’est une référence visuelle directe et assumée à la célèbre photographie de 1932, « Lunch atop a Skyscraper », montrant des ouvriers bâtissant le Rockefeller Center. Le message est limpide : ces dirigeants sont les ouvriers du XXIe siècle, en train de bâtir l'infrastructure sur laquelle reposera le monde de demain.

Charles Clyde Ebbets
Image : Time

Selon le Time, 2025 marque un point de bascule. C'est l'année où « tout le potentiel de l’intelligence artificielle s’est révélé au grand jour » et où le retour en arrière est devenu impossible. Ils sont récompensés pour avoir transformé le présent, redessiné le paysage de l'information et lancé l'un des plus grands projets d'infrastructure de tous les temps.

Apple n'est pas invitée à la fête

La liste est impressionnante, mais pour l'observateur averti, une absence saute aux yeux : celle de Tim Cook. Les dirigeants d’Apple pourront toujours se consoler en notant que d’autres grands groupes, comme Microsoft1 et Amazon, manquent aussi à l'appel.

Il faut reconnaître que le bilan 2025 d’Apple en matière d’IA n’est pas glorieux. La marque à la pomme s’est plus fait remarquer pour ses problèmes de personnel dans sa division IA et les déboires de Siri que pour les avancées d’Apple Intelligence.

Reste que la montée en puissance de l’IA ne fait que commencer et que le marathon est loin d’être fini. Si certains ont tendance à oublier Apple, ce n’est pas le cas de Sam Altman qui voit en Cupertino son principal rival. Car pour lui, la bataille ultime se jouera au niveau du matériel !

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple


  1. On rappellera que Microsoft entretient des liens très étroits avec OpenAI.  ↩︎

GPT-5.2, partenariat avec Disney : OpenAI fait feu de tout bois pour insister sur sa supériorité

Greg Onizuka

jeudi 11 décembre à 20:45

Intelligence artificielle

C’était prévu suite à la sortie de Gemini 3, voilà qui est fait : OpenAI a sorti la version 5.2 de GPT, prévue pour contrer la montée en puissance de Google dans le domaine de l’intelligence artificielle, preuve s’il en est que Sam Altman et ses équipes ne se sentent plus si tranquilles dans le domaine, comme le rapporte TheVerge.

Dès le départ, le ton est lancé : Fidji Simo, responsable des applications chez OpenAI, annonce que GPT-5.2 est « le meilleur modèle pour l’usage quotidien en entreprise », et que leur but est de permettre « encore plus de retour sur investissement pour les utilisateurs ». Ainsi, la nouvelle version doit être encore meilleure pour « la création de feuilles de calcul, de présentations, de code, d’images percutantes, et comprend les contextes les plus complexes, et les projets en nombreuses étapes ». Tout un programme.

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

Si la dernière mise à jour était axée sur le conversationnel, voulant rendre le chatbot plus amical et chaleureux après la vague de mécontentement de GPT-5, GPT-5.2 est lui dirigé vers les entreprises, et la création de contenus efficaces pour soulager la charge de travail des cadres et autres employés ayant accès au bot conversationnel.

Le grand public n’est cependant pas oublié, grâce à un partenariat exclusif qui devrait rameuter bon nombres de fans de blockbusters et séries de films : OpenAI a passé un accord avec ni plus ni moins que Disney, lui ouvrant la porte à des créations officielles à partir des plus de 200 personnages des franchises de Disney, Marvel, Pixar ou encore Star Wars appartenant au géant du divertissement. Cette alliance permettra la création non seulement d’images officielles, mais aussi de vidéos grâce à Sora.

Disney n’a d’ailleurs pas perdu de temps, en ouvrant une plainte pour viol de propriété intellectuelle concernant ses personnages contre Google. Ainsi, la maison de Mickey a envoyé la bien connue procédure de « cease and desist » au propriétaire de Gemini, l’enjoignant à cesser toute reproduction des personnages tels que Deadpool, Darth Vader ou autres Elsa :

Google enfreint les droits d’auteur de Disney à une échelle massive, en copiant une grande partie des propriétés intellectuelles de l’entreprise sans autorisation pour entraîner et développer ses IA génératives. Disney ne tolérera pas plus longtemps l’exploitation commerciale non autorisée de ses personnages et marques déposées par ces services d’intelligence artificielle.

À l’autre bout du spectre ludique, ChatGPT compte aussi venir marcher sur le domaine de Grok, avec l’ouverture d’une section « adulte » du bot conversationnel dans le courant du premier semestre 2026 : l’IA d’Elon Musk ne devrait donc plus être la seule à pouvoir proposer du contenu classé X (ô ironie) à ses utilisateurs. Fidji Simo assure que l’entreprise ne proposera ce type de comportement réservé aux majeurs qu’une fois la certitude d’avoir une personne adulte face au bot, entre autres grâce à de nouveaux algorithmes de prédiction de l’âge de l’utilisateur.

Avec toutes ces nouveautés et ce partenariat conséquent, OpenAI espère rappeler que la société reste la référence en intelligence artificielle, et couper tout doute possible à ce sujet. Mais sera-ce suffisant ?