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Anker commercialise une borne pour voitures électriques avec des fonctionnalités intéressantes

Nicolas Furno

lundi 17 novembre à 10:44

Mobilités

Anker a lancé dans le courant de l’été une borne de charge pour voitures électriques qui est disponible depuis quelques jours en France. La SOLIX V1 est vendue dans trois configurations différentes, à partir de 689 € hors promo pour une borne idéale pour les installations monophasées et avec des options pour les logements reliés en triphasé. Pour ce prix de base, on a une borne qui peut monter à 7,4 kW, qui est connectée et surtout qui s’intègre à l’écosystème SOLIX d’Anker, un point fort si vous êtes équipé en panneaux et batteries solaires.

Image Anker.

Point important à relever : la SOLIX V1 est uniquement vendue avec un câble T2 attaché, ce qui la rend incompatible avec nos normes françaises. Cela ne veut pas dire que le produit est illégal dans l’Hexagone et de manière plus importante encore, cela ne veut pas dire qu’il est dangereux. Il faut toutefois acheter en connaissance de cause, en sachant qu’un électricien pourra refuser de l’installer et qu’il sera impossible d’obtenir les aides à l’installation d’une borne pour cette même raison. Cela dit, Anker semble avoir prévu une variante avec le connecteur T2 à la place du câble, ce qui lui permettrait d’avoir une offre aux normes.

Si cela ne vous gêne pas, la SOLIX V1 est bien positionnée, surtout si vous avez déjà investi dans l’écosystème du constructeur. J’ai eu l’occasion de tester les produits Solarbank, des batteries domestiques qui emmagasinent l’énergie solaire en surplus pour la restituer par la suite, voire qui peuvent se charger depuis le réseau sur les heures creuses pour économiser de l’argent sur les heures pleines. La borne vient trouver place au sein de cet écosystème, elle est contrôlée par la même app et on peut tisser des liens entre les deux, typiquement pour recharger la voiture quand la production solaire est abondante.

La maison au soleil : test du système SOLIX d’Anker, le solaire avec batterie

La maison au soleil : test du système SOLIX d’Anker, le solaire avec batterie

La maison au soleil : la Solarbank 2 AC ajoute la charge depuis le réseau au système solaire d’Anker

La maison au soleil : la Solarbank 2 AC ajoute la charge depuis le réseau au système solaire d’Anker

La bonne nouvelle, c’est que la borne garde ces fonctionnalités intelligentes même si vous n’êtes pas équipé de batteries Anker. Elle communique avec un compteur connecté branché sur le tableau électrique du logement, que ce soit celui d’Anker ou un modèle tiers pris en charge, comme le Pro 3EM de Shelly, pour offrir plusieurs fonctionnalités avancées, comme du délestage dynamique ou encore la charge sur panneaux solaires. La première permet de charger la voiture à la vitesse maximale permise par l’abonnement, sans dépasser cette limite. La deuxième surveille quand de l’énergie est renvoyée vers le réseau et active automatiquement la charge le cas échéant.

Anker a prévu quelques fonctions supplémentaires, en faisant appel dans son marketing à l’intelligence artificielle puisque l’on est en 2025, même s’il s’agit en réalité d’algorithmes qui se basent sur les heures creuses ou encore les prévisions météo pour anticiper les meilleures plages horaires pour activer la charge. Malgré tout, ce sont des fonctionnalités pertinentes et qui sont encore très rares sur le marché des bornes traditionnelles. Si l’on pourra toujours obtenir des résultats similaires via la domotique, le fabricant propose ici un produit clés en main.

En combinant la borne SOLIX V1 aux batteries Anker, ici la SOLIX X1, on peut bénéficier d’une solution complète pour maximiser les économies sur la charge du véhicule. La batterie peut aussi servir à charger plus rapidement, sans autant tirer sur le réseau public. Image Anker.

La borne SOLIX V1 est certifiée IP65 pour une installation possible en extérieur. Elle est fournie avec son câble attaché de cinq mètres ainsi qu’un petit support mural pour maintenir le connecteur T2 en hauteur quand la voiture n’est pas branchée et avec une carte RFID qui pourra servir à activer la charge (qui sera bloquée par défaut si la borne est accessible depuis l’extérieur). Un accès au réseau Wi-Fi est nécessaire pour son bon fonctionnement et le fabricant promet une installation en 15 minutes… sans tenir compte de la partie électrique bien entendu.

La borne est vendue en trois variantes sur Amazon, à 689 € pour 7,4 kW (32 A monophasé), 789 € pour 11 kW (16 A triphasé) ou encore 819 € pour 22 kW (32 A triphasé) pour les rares véhicules qui gèrent cette puissance. La boutique d’Anker propose une promotion de lancement sur deux versions : 549 € pour 7,4 kW ou bien 649 € pour 22 kW (qui pourra être configurée à une puissance inférieure). La livraison est gratuite dans les deux cas.

Apple semble avoir tourné la page du Mac Pro

Christophe Laporte

lundi 17 novembre à 07:30

Mac

Mark Gurman ne mâche pas ses mots. Dans sa newsletter Power On, le journaliste de Bloomberg explique qu’Apple a « largement mis de côté » le Mac Pro. Selon ses informations, la machine ne serait plus vraiment au cœur des priorités de Cupertino, où l’on considère désormais que le Mac Studio représente l’avenir du desktop professionnel.

Le futur de l’iPhone, la mort du Mac Pro et l’iPod reste au musée : la semaine Apple

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Le Mac Studio : le nouveau Mac Pro ?

En interne, la tendance serait claire : le Mac Studio coche suffisamment de cases pour la plupart des usages pros, sans les compromis d’un Mac Pro beaucoup plus coûteux. Le succès du Mac Studio, combiné à ses performances, aurait progressivement rendu le Mac Pro redondant pour une majorité de clients. Le constat est encore plus vrai depuis la transition vers Apple Silicon.

Image : Apple

Une puce M5 Ultra, mais pas pour le Mac Pro

Apple planche actuellement sur une puce M5 Ultra — rien de surprenant au vu de son calendrier habituel — mais Gurman précise que l’objectif premier serait de l’intégrer dans un nouveau Mac Studio. À ce stade, il n’a rien entendu qui indiquerait que le Mac Pro pourrait en profiter. Il ne ferme pas totalement la porte à cette possibilité, mais tout indique que 2026 ne verrait pas de mise à jour significative du Mac Pro, si mise à jour il y a.

Un modèle devenu difficile à justifier

Le Mac Pro avait été conçu comme la machine la plus modulable du catalogue Apple, avec notamment ses emplacements PCIe. Mais l’écosystème Apple Silicon a profondément rebattu les cartes. Sans GPU tiers ni cartes spécialisées compatibles, la modularité perd une bonne partie de son intérêt. Pour beaucoup d’utilisateurs, le Mac Pro n’est plus qu’un Mac Studio « en plus gros et beaucoup plus cher ».

Image : MacGeneration

La dernière mise à jour du Mac Pro remonte à juin 2023 avec la puce M2 Ultra. Depuis, c’est silence radio. Les éléments rapportés par Gurman laissent penser qu’Apple elle-même s’interroge désormais sur la raison d’être de ce modèle — et peut-être même sur sa place future dans la gamme.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la disparition du Mac Pro est évoquée. Sa carrière est chaotique depuis 2012 : à l’époque déjà, on s’étonnait qu’Apple laisse deux ans sans mise à jour une station de travail censée être le fleuron de sa gamme. La suite n’a fait que confirmer cette impression d’abandon progressif. Il est peut-être temps pour Apple d’accepter l’évidence et de tourner la page.

Tim Cook sur le départ ? Pourquoi les révélations du Financial Times doivent être prises au sérieux

Christophe Laporte

lundi 17 novembre à 06:58

AAPL

Le Financial Times a lâché ce week-end une petite bombe : Tim Cook pourrait quitter son poste de CEO dès l’année prochaine. Pour un dirigeant dont chaque apparition publique fait l’objet d’un suivi minutieux, une telle annonce ne passe évidemment pas inaperçue. Reste à savoir si cette information doit être prise au sérieux.

Tim Cook pourrait quitter Apple dès 2026 !

Tim Cook pourrait quitter Apple dès 2026 !

Une indiscrétion qui ressemble à une opération parfaitement orchestrée

Si l’information a surpris jusqu’à des journalistes très bien informés comme Mark Gurman, son origine pose question. Car le Financial Times n’est pas n’importe quel journal : c’est l’un des médias les plus rigoureux sur les sujets économiques et financiers. S’il publie une telle révélation, ce n’est pas par légèreté.

Le timing en dit long. Le quotidien britannique a publié son article dans la nuit de vendredi à samedi, alors que les marchés étaient fermés pour le week-end. Exactement la fenêtre idéale pour laisser une annonce aussi sensible s’installer… puis se tasser. Résultat : à l’ouverture de Wall Street dans la journée, la nouvelle sera probablement digérée. A l’heure où nous écrivons ces lignes, elle ne fait pas la une des sites informations financières.

D’où une hypothèse crédible : cette fuite n’en est probablement pas une. Il est bien plus vraisemblable qu’elle ait été soufflée par un membre du conseil d’administration, avec la bénédiction de Tim Cook. L’objectif ? Préparer les esprits à une transition qui, pour éviter tout séisme boursier, devra se faire dans la plus grande douceur.

Tim Cook lors du lancement de l’iPhone 17 - image : Apple

Le poste de chairman, une porte de sortie idéale pour Tim Cook ?

D’abord, il y a un élément institutionnel à prendre en compte, et qui ouvre une vraie opportunité déjà évoquée dans un épisode de Sortie de veille : le poste de chairman du conseil d’administration, actuellement occupé par Arthur D. Levinson, sera bientôt disponible. L’homme vient de fêter ses 75 ans, ce qui correspond à l’âge limite pour occuper cette fonction.

Il devrait donc, en théorie, être remplacé en début d’année prochaine. Un glissement naturel serait alors d’imaginer Tim Cook prendre ce rôle, une sorte de semi-retraite où il continuerait à superviser quelques dossiers stratégiques — en particulier les relations gouvernementales — tout en laissant son successeur prendre ses marques.

Art Levinson, la clé ? Image Calico

Le calendrier joue également un rôle symbolique. Apple s’apprête à fêter son cinquantième anniversaire. C’est un moment charnière, presque une fin de cycle. Et Tim Cook n’a plus rien à prouver. Il est devenu l’an dernier le CEO ayant exercé le plus longtemps dans l’histoire de la société, dépassant même Steve Jobs. C’est probablement le meilleur moment pour tourner la page.

Tim Cook a été plus longtemps à la tête d

Tim Cook a été plus longtemps à la tête d'Apple que Steve Jobs

La fin d’une génération à Cupertino

Un autre élément entre en ligne de compte : plusieurs compagnons de route de Tim Cook ont pris leur retraite ces dernières années. Le directeur financier Luca Maestri, avec lequel il était très proche, est parti. Jeff Williams vient tout juste de quitter Cupertino. Une génération entière est en train de fermer la porte derrière elle.

Dans un contexte où Apple prépare une année 2026 riche en nouveautés — iPhone pliable, premier Mac tactile, lunettes connectées… — ce pourrait être le moment rêvé pour organiser une passation sans brutalité.

Un job devenu plus éprouvant que jamais

Enfin, il ne faut pas sous-estimer l’usure du rôle. Tim Cook est CEO depuis 15 ans et n’a jamais dirigé Apple dans un environnement aussi complexe. Aux États-Unis, il doit composer avec une administration Trump imprévisible. En Europe, Apple est sous pression permanente du DMA et des régulateurs. En Chine, les autorités serrent progressivement la vis à chaque opportunité. Le défi géopolitique est toujours plus grand.

Diriger l’une des plus grandes entreprises du monde est déjà un défi colossal. Le faire au milieu d’une tempête permanente en est un autre. On peut comprendre qu’après 15 années à tenir la barre, Cook envisage de prendre une retraite bien méritée.

Sécurité : pourquoi un antivirus ou un VPN ne suffit plus en 2025 📍

Article sponsorisé

dimanche 16 novembre à 23:30

Logiciels

En matière de sécurité, 2025 aura été catastrophique à tous les niveaux : vols de données sur certains des plus grands sites de la toile, attaques toujours plus sophistiquées, campagnes d’hameçonnage quasi indiscernables des messages légitimes… Nous sommes tous des cibles. Plus que jamais, il faut sortir couvert !

Non, être sur Mac ne suffit plus

Il faut se rendre à l’évidence : se croire à l’abri parce qu’on est sur Mac est illusoire. Mail n’est quasiment d’aucune aide contre le hameçonnage, par exemple. Longtemps, on nous a présenté les antivirus comme l’outil miracle pour se protéger. Mais à l’heure d’Internet, cet outil est devenu trop restreint pour garantir votre sécurité en ligne.

Alors, comment retrouver un peu de quiétude sur Internet ? En se protégeant en amont et en aval, avec un ensemble cohérent d’outils. Ceux-ci doivent non seulement protéger votre ordinateur, mais également vos différents terminaux (tablettes, smartphones…). Et là, je vous vois déjà grimacer à l’idée de devoir souscrire trois ou quatre abonnements pour profiter paisiblement d’Internet.

Multiplier les protections sans multiplier les abonnements

Pas de panique : il existe des solutions complètes, comme Surfshark One, qui propose une suite de sécurité tout-en-un.

Pour surfer en toute sécurité, le VPN demeure un incontournable. Cela tombe bien, c’est avec cet outil que Surfshark a bâti sa notoriété. On parle d’un VPN complet, simple d’utilisation, qui vous permet de vous jouer des contraintes géographiques.

Vous commencez à reprendre le pouvoir, mais ce n’est que le début. Quel est l’un des vecteurs les plus répandus de propagation de virus ? La publicité bien sûr ! Surfshark Ad Blocker vient à la rescousse et vous permet de surfer beaucoup plus rapidement. Cette solution présente deux avantages : elle est compatible avec tous les appareils. D’autre part, ce sont les serveurs de Surfshark qui font le travail, pas votre ordinateur !

Puisque l’on parle de contenus en ligne, un autre point mérite d’être évoqué : le Web Content Blocker. On ne peut pas toujours être derrière ses enfants lorsqu’ils surfent. Cet outil permet simplement de fixer des limites en fonction de leurs âges. Rassurant !

Une deuxième ligne de défense pour combler les failles

Avec ces outils, vous disposez d’une belle ligne de défense. Mais, comme toujours, il peut y avoir des trous dans la raquette. C’est là qu’intervient la deuxième couche de protection de Surfshark. Parce qu’on n’est jamais trop prudent — et que votre employeur peut vous le réclamer — Surfshark met à votre disposition un antivirus. Ce dernier ne se limite pas à détecter des malwares et autres virus : il est capable de vous alerter lorsqu’un processus s’intéresse d’un peu trop près à votre webcam.

Le phishing est peut-être la plus grande menace du moment. Surfshark propose une réponse très efficace. Un doute sur un mail ? Email Scam Checker l’analyse et vous dit, grâce à son système d’intelligence artificielle, si vous pouvez avoir confiance ou non. Le tout sous la forme d’une extension Chrome, parfaitement intégrée à Gmail.

Comme évoqué plus haut, nous ne sommes pas responsables des failles d’Internet. Un serveur compromis sur lequel vous étiez inscrit, et vous pouvez rapidement être en danger. Alert est là pour vous aider à prendre les devants. Si l’une de vos données sensibles circule sur le net, vous êtes immédiatement averti. Mieux : Surfshark fait tourner son armée de bots pour vous retirer des fichiers des brokers qui exploitent ces fuites.

Enfin, pour lutter contre le spam par message et par téléphone, Surfshark a une arme redoutable. Au lieu de laisser votre numéro quand vous vous inscrivez à un service, Surfshark peut vous générer un numéro de téléphone virtuel. Diabolique !

Vous voilà sans doute convaincu, mais il reste un dernier détail qui vous inquiète. Bien évidemment, c’est le prix. Mais ça tombe bien, c’est le Black Friday et les offres sont juste imbattables.

Black Friday : une suite complète à prix cassé

L’offre Surfshark One comprend quasiment tous les services proposés. Son prix : 2,62 € par mois ! Il y a trois avantages supplémentaires. Vous avez une période d’essai de 30 jours pour changer éventuellement d’avis. Deuxième avantage : il s’agit d’un abonnement de deux ans. Si l’offre vous séduit, vous serez tranquille un bon moment et sans hausse de prix. Enfin, pour vous remercier de votre confiance, Surfshark vous offre trois mois supplémentaires. Autrement dit, vous pouvez sécuriser tout votre parc informatique jusqu’en février 2028 pour seulement 59,13 € HT, soit 70,96 € TTC.

Pour les retardataires : le magazine des 25 ans de MacG et son mug sont de nouveau en vente !

Christophe Laporte

dimanche 16 novembre à 19:44

MacGeneration

Suite à notre actualité du week-end dernier, vous avez été nombreux à nous demander s’il était encore possible de commander le magazine des 25 ans de MacGeneration. Nous avons décidé de le remettre en vente sur notre boutique. Alors, si vous voulez vous offrir un beau cadeau pour les fêtes de fin d’année — et nous soutenir en ces temps particulièrement difficiles — vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Et maintenant, c’est à vous ! Partagez vos impressions sur le magazine des 25 ans

Et maintenant, c’est à vous ! Partagez vos impressions sur le magazine des 25 ans

Dans ce magazine papier exceptionnel, vous découvrirez les coulisses de MacGeneration, de nos débuts en 1999 à notre position actuelle de média de référence sur l’univers Apple. Anecdotes inédites, moments forts, défis, réussites et révélations sur la vie d’une rédaction indépendante passionnée : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur votre site favori. Mais ce magazine ne se limite pas à notre propre histoire. Il revisite aussi 25 ans d’actualité Apple : le lancement de l’iPod en France, les premiers Apple Store, l’avènement de l’iPhone, les transitions majeures du Mac… Un vrai voyage dans le temps, entre souvenirs, analyses et clins d’œil aux grandes heures de la presse tech papier.

Nous avons préparé plusieurs formules : vous pouvez acheter le magazine seul ou accompagné de notre mug. Il est également possible d’acheter le mug séparément. Les prix indiqués incluent les frais de transport pour la France métropolitaine ; un surcoût s’applique pour les expéditions à l’étranger.

Nous ne prévoyions pas, initialement, de remettre ces produits en vente, mais la palette perdue par notre transporteur nous a contraints à revoir nos plans. Nous avions pourtant vu large et envisagé bien des scénarios — sauf celui-là. En dépit de ces soucis, la lecture de vos commentaires nous laisse penser que vous l’avez apprécié. Et c’est bien là le plus important !

Pour minimiser les risques, nous avons décidé de reprendre le contrôle sur les expéditions. Les nouveaux magazines doivent nous être livrés tout début décembre, et nous procéderons aux envois dans la foulée.

-> Mieux vaut tard que jamais, je commande le magazine des 25 ans de MacGeneration