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Résultats Apple : quand l'iPhone va, tout va (ou presque...)

Christophe Laporte

jeudi 31 octobre à 22:05

AAPL

Un chiffre d’affaires en progression de 6 % ! C’est la meilleure croissance trimestrielle d’Apple depuis deux ans. Son chiffre d’affaires sur la période s’établit à 94,9 milliards de dollars, ce qui est très légèrement en dessus des attentes des analystes.

Ce n’était pas gagné d’avance ! Les premiers échos autour de l’iPhone 16, parlaient d’un démarrage correct, mais sans l’engouement non plus des grandes années. Toutefois, en période de lancement, ce qui compte pour Apple, c’est d’être en mesure de produire et de livrer le plus d’iPhone possibles avant la fin septembre. Et manifestement, elle y est arrivée, sa division a écoulé pour 46,222 milliards de dollars de smartphone, un chiffre en progression de 5,52 %. C’est un très bon début qui devra cependant être confirmé pendant la cruciale période des fêtes de fin d’année.

Chine : Apple sur le point d’inverser la tendance ?

Et puisqu’une bonne nouvelle ne vient jamais seule, Apple est semble-t-il, sur le point d’inverser la tendance en Chine. Sur la période, la firme de Cupertino a réalisé un chiffre d’affaires de 15,033 milliards de dollars. C’est une petite baisse de 0,34 % par rapport à la même période l’année dernière, mais on est loin des -6% ou des -8% enregistrés lors des précédents trimestres. Toutefois, cela pourrait peser à court terme sur l’action Apple. Les analystes tablaient sur une légère croissance.

Tim Cook a beau être fâché avec l’Europe au point de s’en plaindre auprès de Donald Trump, ses ventes y sont au beau fixe. Son chiffre d’affaires atteint sur le Vieux-Continent quasiment 25 milliards de dollars en hausse de près de 11 %. Notez toutefois que ce qu’Apple appelle Europe correspond en fait à la zone EMEA qui comprend l’Afrique, le Moyen-Orient et une partie de l’Asie. Dans le cas d’Apple, cela comprend également l’Inde qui a enregistré une forte croissance tout comme la Turquie et plusieurs pays du Moyen-Orient. Reste qu’Apple a insisté sur le fait qu’elle avait eu de bons résultats en Europe de l’Ouest. La seule région à enregistrer une croissance supérieure, c’est l’Asie-Pacifique (+16 %).

Si l’iPhone se redresse, les autres moteurs d’Apple connaissent toutefois des fortunes diverses. La division iPad poursuit son redressement avec un chiffre d’affaires de 6,950 milliards de dollars en progression de 7,8 %. Toutefois, cette croissance nettement plus faible qu’au trimestre précédent (+23 %) laisse à penser que le coup de boost provoqué par la sortie des nouveaux iPad Pro n’est que temporaire. Ne comptez pas sur le nouvel iPad mini pour remettre de l’essence dans le moteur.

Le Mac, pour sa part, continue sa lente progression avec des ventes en progression de 1,7% à 7,744 milliards de dollars. Avec un taux de croissance oscillant en 0,5 % et 4 %, le Mac boucle un exercice 2024 très calme comparée aux montagnes russes des dernières années provoquées par la commercialisation des premiers Mac Apple Silicon et la COVID-19. L’enjeu pour Apple est maintenant de savoir si la nouvelle gamme présentée cette semaine sera susceptible de relancer un nouveau cycle.

Nouveaux Mac M4 : retour sur la semaine de 3 jours d

Nouveaux Mac M4 : retour sur la semaine de 3 jours d'Apple

Plus décevante, la division « Wearables, Home et Accessories » n’a pas bénéficié de la sortie de l’Apple Watch Series 10 et des AirPods 4. Cet été, Apple vendu pour 9,042 milliards de dollars d’accessoires, de HomePod, d’AirPods et d’Apple Watch. Aura-t-on un sursaut pour les fêtes de fin d’année ? En attendant, cette division vient d’enregistrer son cinquième trimestre successif dans le rouge.

Le tube d’Apple, c’est les services, mais la croissance a comme prévu décéléré. Cette activité a tout de même généré un chiffre d’affaires de 24,972 milliards de dollars en hausse de près de 12 %. Là aussi, c’est légèrement en dessous des attentes des milieux financiers.

Un bénéfice net plombé par les déboires européens d’Apple

Apple aurait pu enregistrer un bénéfice record, si elle n’avait pas été condamnée à rembourser la rondelette somme de 13 milliards d’euros à l’Irlande. Résultat, son bénéfice net s’élève à 14,7 milliards de dollars en baisse de 36 % sur un an. Sans cela, son bénéfice par action aurait atteint 1,64 $, ce qui est légèrement mieux que les attentes des analystes. Pour le trimestre en cours, Apple s’attend à une légère croissance inférieure à 5 %. C’est en dessous des attentes des analystes qui espéraient une croissance de l’ordre de 6,8 %. Elle prévoit d’autre part une marge brute comprise entre 46 % et 47 %. A titre de comparaison, elle s’établissait à 46,2 % lors du dernier trimestre.

La dernière conférence de Lucas Maestri

Lors de la conférence téléphonique avec les analystes, Tim Cook a pris un peu de temps pour remercier son directeur financier Lucas Maestri. Comme annoncé cet été, après plus de dix ans de bons et loyaux services, il sera remplacé à son poste par Kevan Parekh.

Apple promeut Kevan Parekh comme nouveau directeur financier

Apple promeut Kevan Parekh comme nouveau directeur financier

Lors des résultats trimestriels, Tim Cook a lourdement insisté sur Apple Intelligence. Il a notamment indiqué que la prochaine étape interviendrait au mois de décembre avec la sortie d’une nouvelle mise à jour qui apporterait l’intégration avec ChatGPT et Visual Intelligence. Le patron d’Apple se veut optimiste sur le potentiel d’Apple Intelligence. Preuve s’il en faut, il a affirmé que le taux d’adoption d’iOS 18.1 était deux fois plus important qu’iOS 17.1 durant les trois premiers jours de leurs sorties respectives.

Découverte de Visual Intelligence, bien aidé par ChatGPT dans la première bêta d’iOS 18.2

Découverte de Visual Intelligence, bien aidé par ChatGPT dans la première bêta d’iOS 18.2

iOS 18.2 : coup d’œil sur l’intégration de ChatGPT au nouveau Siri

iOS 18.2 : coup d’œil sur l’intégration de ChatGPT au nouveau Siri

Hors séance, suite à ces annonces, l’action Apple reculait de 2,2 %.

OpenAI lance ChatGPT Search

Greg Onizuka

jeudi 31 octobre à 21:00

Ailleurs

Alors qu’Apple vient tout juste d’ouvrir la porte à ChatGPT dans la bêta d’iOS/iPadOS 18.2, OpenAI présente une nouvelle fonction de son intelligence artificielle : ChatGPT Search.

L’intégration de la recherche avec le langage naturel, de quoi faire peur à Google ? Image OpenAI.

Jusqu’à maintenant, il était certes possible d’effectuer une recherche sur Internet à partir de ChatGPT, mais ce n’était pas sa fonction première. Avec ce nouvel outil dérivé du LLM (Large Language Model, ou grand modèle de langage) d’OpenAI, l’utilisateur peut maintenant recevoir des réponses précises et actualisées de la part de l’intelligence artificielle, grâce notamment à des partenaires dans le domaine de l’actualité, mais aussi la météo, le sport, la bourse ou encore les plans.

La réponse, plutôt qu’une simple liste de liens, pourra contenir des images, des textes qui seront résumés selon la demande de l’utilisateur, simplifiant ainsi la recherche d’informations sur Internet. On peut s’attendre à retrouver ChatGPT Search dans l’intégration faite avec Siri, mais l’outil est d’ores et déjà utilisable via le site de l’IA pour les utilisateurs payants et inscrits sur la liste d’attente. Comme souvent avec OpenAI, la fonction finira par être mise à disposition de tous d’ici quelques mois.

L’IA intègre maintenant les liens vers les sources utilisées. Image OpenAI.

Si la nouvelle fonction paraît de prime abord anodine, elle pourrait cependant devenir le premier concurrent sérieux au moteur de recherche Google au fur et à mesure de sa montée en puissance, et remettre en question son hégémonie pour la première fois depuis maintenant plus de 15 ans, comme le fait remarquer 9to5Mac.

Cyberattaque chez Free, SFR... Protégez vos données dérobées avec Incogni 📍

Article sponsorisé

jeudi 31 octobre à 19:30

Services

Les récentes cyberattaques contre Free (et SFR) révèlent à quel point nos données personnelles et bancaires sont vulnérables. Quand des millions de clients découvrent que leurs informations – nom, adresse, IBAN – sont exposées, les questions se multiplient : que peut-on faire pour se protéger ? Quels sont les risques réels ?

Dans ce contexte, des services comme Incogni, qui aident les utilisateurs à contrôler la diffusion de leurs données, prennent tout leur sens. On fait rapidement le point sur les fuites chez Free et SFR, les dangers qui en découlent et comment Incogni peut limiter les dégâts.

Fuite de données chez Free : ce qui a été exposé

Le 28 octobre, Free a confirmé une attaque massive sur les données de ses abonnés Freebox et Free Mobile. Au début, l’opérateur semblait minimiser l’ampleur des dommages, expliquant que seuls les noms, prénoms, adresses, emails et quelques informations contractuelles avaient été compromis. Mais il s’est vite avéré que la fuite touchait également les informations bancaires de certains clients.

Après des jours de spéculations, Free a admis que les informations volées comprenaient aussi les IBAN de certains abonnés Freebox. Bien que l’opérateur refuse de donner des chiffres exacts « pour des raisons de sécurité », un groupe de hackers avait déjà revendiqué le piratage et prétendait avoir en sa possession les informations de 19,2 millions d’abonnés Free (Freebox et Free Mobile confondus) ainsi que les identifiants bancaires de plus de 5 millions d’abonnés Freebox. C’est une faille massive qui inquiète profondément les abonnés et les experts en cybersécurité.

Chez SFR, un scénario similaire

Free n’est pas le seul opérateur à faire face à une cyberattaque de cette ampleur : fin septembre, SFR a également subi une fuite de données personnelles touchant ses abonnés, avec une portée d'attaque similaire : noms, prénoms, numéros de téléphone et adresses, mais aussi, plus grave, les IBAN et numéros de terminaux et de cartes SIM. L'incident prouve une tendance : les opérateurs télécoms sont des cibles de choix pour les hackers.

À quoi s'attendre suite à fuite de données ?

Un IBAN seul ne donne pas un accès direct aux fonds d’un compte bancaire, mais cela ne signifie pas pour autant que sa divulgation soit anodine. Bien au contraire, lorsqu’il est couplé à d’autres informations personnelles comme le nom et l’adresse, il devient une mine d’or pour les cybercriminels qui savent exploiter ces informations pour réaliser des actes frauduleux.

Les premières attaques auxquelles les abonnés de Free et SFR sont exposés concernent les prélèvements frauduleux. Les escrocs peuvent utiliser l’IBAN de la victime en y ajoutant d’autres détails, puis émettre de faux mandats de prélèvement. Ces mandats sont ensuite envoyés aux banques, et sans vérification accrue, ces dernières procèdent souvent aux prélèvements en croyant que la demande est légitime. Une fois que le montant est débité, la victime se retrouve à devoir prouver la fraude pour espérer récupérer son argent.

Une autre technique, encore plus insidieuse, consiste pour les fraudeurs à modifier l’IBAN d’une victime auprès d’une entreprise ou d’un employeur, prétendant à tort que l’individu a changé de compte bancaire. Ce stratagème vise à détourner des virements directs, tels qu’un salaire ou le paiement d’une facture, vers un compte frauduleux contrôlé par les escrocs. Les sommes détournées ainsi peuvent être très difficiles à récupérer, surtout si elles ont déjà été réparties sur plusieurs comptes intermédiaires.

Outre ces risques financiers, une fuite de données bancaires ouvre aussi la voie à des campagnes de phishing et d’usurpation d’identité. Les cybercriminels utilisent souvent les informations comme l’IBAN, le nom et l’adresse pour envoyer des emails, des SMS ou même des appels téléphoniques ciblés, se faisant passer pour un service de confiance, par exemple la banque de la victime. En se basant sur des informations que la victime croit confidentielles, ils construisent des messages convaincants qui poussent souvent l’individu à divulguer des données supplémentaires, créant ainsi une porte d’entrée pour d’autres types d’escroqueries.

Enfin, il existe un risque très sérieux lié aux attaques dites de « SIM Swap ». En disposant de suffisamment d’informations personnelles, les hackers peuvent usurper l’identité du titulaire d’un numéro de téléphone pour en obtenir la portabilité sur une nouvelle carte SIM. Cette technique permet aux fraudeurs de détourner les codes de vérification qui servent à sécuriser l’accès aux comptes bancaires en ligne ou à d’autres services. Une fois cette étape franchie, le fraudeur peut se connecter aux services bancaires de la victime, contourner les mesures de double authentification (2FA) et, en quelques étapes, compromettre les comptes et accéder aux fonds.

Incogni, essentiel pour réduire l'exposition de vos données

Dans un contexte où les informations personnelles circulent si facilement, Incogni se distingue en aidant les internautes à reprendre le contrôle sur leur empreinte numérique.

Concrètement, en s’abonnant à Incogni, l’utilisateur autorise le service à contacter des dizaines de ces entreprises pour demander la suppression de ses données. Plutôt que de faire ces démarches manuellement, qui prennent un temps considérable et exigent une connaissance des lois sur la protection des données, Incogni simplifie le processus. Il suit chaque demande, documente les réponses et s’assure que les données soient bien supprimées.

En quelques mots, c'est en réduisant la présence de nos données sur les bases de courtiers en donnée qu'Incogni permet de limiter les possibilités d’exploitation. Cela ne supprime pas complètement le risque, mais cela réduit l’exposition aux attaques.

Par exemple, en demandant la suppression des informations de leurs utilisateurs chez des dizaines de courtiers de données, Incogni limite la probabilité qu’un individu ciblé par une fuite comme celle de Free ou SFR soit ensuite victime d’arnaques.

Sachez qu'Incogni offre une garantie satisfait ou remboursé de 30 jours, permettant de tester le service sans risque. Pour 101,49 € TTC par an (réduction de 50 % incluse), il aide à réduire le démarchage et les spams en supprimant vos données de nombreux courtiers. Jusqu'à 3 adresses e-mail peuvent être protégées simultanément, offrant une solution efficace et abordable pour préserver votre tranquillité d'esprit.

👉 Protéger vos informations personnelles doit être une priorité : optez pour Incogni à - 50 % !

Inondations en Espagne : Apple va faire un don aux services de secours

Félix Cattafesta

jeudi 31 octobre à 18:45

AAPL

Alors que le bilan des inondations en Espagne s’alourdit, Apple vient d’annoncer qu’elle allait faire un don pour contribuer aux efforts des secours. Le dernier bilan évoque 158 morts pour cette catastrophe qui ravage le sud et l’est de l’Espagne. On ne sait pas encore exactement combien de personnes sont portées disparues.

« Nous pensons à tous ceux qui ont été touchés par les inondations soudaines et dévastatrices dans la région de Valence, en Espagne », a tweeté Tim Cook avant d’ajouter qu’Apple fera « un don pour contribuer aux efforts de secours sur le terrain ». Cupertino fait souvent des dons en cas de catastrophe naturelle aux États-Unis ou dans le monde : elle l’a par exemple fait après un séisme à Haïti, après des inondations en Belgique et en Allemagne ou plus récemment suite à l’ouragan Milton, qui a ravagé une partie de la Floride. Le montant des dons effectués n’est jamais communiqué.

La plupart des victimes des inondations se trouvent dans la région de Valence, bien que les régions voisines de Castille-La Manche et l'Andalousie soient également touchées. Le 29 octobre, Valence a reçu l’équivalent d’un an de pluie en 8 heures. De quoi transformer les rues en rivières et détruire de nombreuses habitations. Des dizaines de milliers de foyers restent privés d’accès à Internet ou au téléphone fixe.

Source : Accroche : Pixabay

Nouveaux Mac M4 : retour sur la semaine de 3 jours d'Apple

Florian Innocente

jeudi 31 octobre à 17:32

Mac

« Hello », « Hello » et « Hello »… à trois reprises, ce début de semaine, Apple a envoyé un nouveau Mac frapper contre la lucarne. Tous ont en commun d'utiliser un processeur M4 ou l'une de ses variantes. Mais ce n'était le seul changement. On revient sur ces trois jours d'annonces pour ceux qui ont raté des épisodes.

John Ternus décoiffé par le MacBook Pro M4. Image Apple/MacGeneration.

Pour lever le voile sur ses Mac de dernière génération, Apple a repris un dispositif de 2019 : un jour, un produit. Cela permet de mettre toute la lumière sur une gamme à la fois et de s'assurer une longue exposition médiatique.

De lundi à mercredi, à coup de communiqués et de vidéos YouTube publiés à 16h tapante, il n'y en a eu que pour le Mac (et ses accessoires). On a eu droit à une mise à jour de l'iMac et des MacBook Pro ainsi qu'à une remise à plat du Mac mini. Même les clients du MacBook Air — dont le tour n'est pas encore venu pour un changement de processeur — ont eu droit à une petite attention.

Car ces MacBook Air M2 & M3, de même que le nouvel iMac et le nouveau MacBook Pro 14" — toutes ces machines qui étaient jusque-là vendues avec un minimum de 8 Go de RAM — sont désormais dotées de 16 Go de base. Merci Apple Intelligence d'être passé par là… Ça n'a même pas eu d'incidence sur les prix des MacBook Air qui sont restés de marbre. On peut maintenant concentrer tout notre courroux sur les MacBook Air et un Mac mini qu'Apple équipe toujours de seulement 256 Go de stockage.

Tous les Mac ont désormais 16 Go de RAM minimum

Tous les Mac ont désormais 16 Go de RAM minimum

Les MacBook Pro et autres Mac M4 ne sont pas Wi-Fi 7

Les MacBook Pro et autres Mac M4 ne sont pas Wi-Fi 7

Autre uniformisation, l'USB-C qui a pris la place du Lightning sur les claviers, souris et trackpad. Un seul modèle de clavier fait de la résistance, il est filaire en plus d'être Lightning. Apple n'en a pas profité pour imaginer une nouvelle forme de souris, mais sur les claviers elle a changé le rôle d'une touche.

Il y avait un fil conducteur à ces annonces : le premier lot de fonctions Apple Intelligence tout juste rendues disponibles en bêta pour les utilisateurs anglophones (ce sera pour avril 2025 en France). Les versions 18.1 d'iOS/iPadOS et 15.1 de macOS sont arrivées de concert avec ces annonces matérielles.

L'ordre d'apparition des machines a suivi une première logique : du plus grand public au plus professionnel. De laquelle a découlé une seconde logique : une présentation des processeurs allant crescendo : le M4 le premier jour, le M4 Pro le second et le troisième fut pour le M4 Max. Chaque fois les performances annoncées allaient en augmentant au point qu'Apple a glissé entre deux mots l'annonce du portage en cours de Cyberpunk 2077 sur Mac, un monument sur consoles et PC.