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Tim Cook va-t-il vraiment partir ? Le Financial Times et Gurman s’opposent

Christophe Laporte

mardi 25 novembre à 07:45

AAPL

Alors que c’était jusqu’ici un sujet qui paraissait lointain, le départ de Tim Cook est devenu, depuis les « révélations » du Financial Times, un thème central chez les observateurs d’Apple. Le successeur de Steve Jobs sera-t-il encore aux manettes dans un an ?

Tim Cook sur le départ ? Pourquoi les révélations du Financial Times doivent être prises au sérieux

Tim Cook sur le départ ? Pourquoi les révélations du Financial Times doivent être prises au sérieux

Le « scoop » du Financial Times fait débat

Le « scoop » du quotidien est très loin de faire l’unanimité. Parmi les plus sceptiques figure en première ligne Mark Gurman. Le journaliste de Bloomberg a affirmé qu’il serait « choqué » si Tim Cook démissionnait entre janvier et juin de l’année prochaine. Un calendrier qui n’a rien d’anodin, puisqu’il correspond à l’une des hypothèses avancées par le journal.

La fin du Mac Intel, un « 27 » type Snow Leopard et un départ un peu (trop) anticipé : la semaine Apple

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Sur la base de ce qu’il a appris ces dernières semaines, Mark Gurman ne croit pas du tout à un départ de Tim Cook d’ici le milieu de l’année prochaine. Dans sa newsletter Power On, il affirme même qu’il serait « très surpris » de voir le patron d’Apple quitter ses fonctions dans le calendrier évoqué par le Financial Times.

En interne, Gurman dit ne voir que « très peu de signes » allant dans le sens d’un prochain départ de Cook. Il juge ainsi l’article du FT non seulement « prématuré », mais carrément « faux ».

Des sources différentes ?

Voilà le Financial Times rhabillé pour l’hiver. La question, cependant, est de savoir si les deux médias ont accès aux mêmes sources. À tort peut-être, on n’imagine pas forcément Mark Gurman avoir un accès direct aux très grands décideurs d’Apple.

Car ce type de décision se prend dans un cercle extrêmement restreint. Sont dans la confidence uniquement les membres du conseil d’administration et, éventuellement, quelques dirigeants triés sur le volet. Pas plus.

Si cette décision est récente, il n’est alors pas étonnant que Mark Gurman ne perçoive pas encore de signaux d’un départ à court ou moyen terme. Ces signes deviendront plus visibles le jour où le plan de succession sera définitivement validé.

Tous les scénarios restent ouverts

Reste que tous les scénarios sont sur la table. La seule chose dont on est à peu près certain, c’est que Tim Cook ne se voyait pas terminer la décennie à la tête d’Apple. Mais entre partir d’ici un an et rester encore plusieurs années comme si de rien n’était, l’écart est immense.

Tim Cook pourrait quitter Apple dès 2026 !

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D’autres hypothèses circulent… Certains l’imaginent prendre le rôle de Chairman, le temps que John Ternus prenne pleinement ses marques. D’autres rêvent d’un partage des rôles, avec deux co-CEO : Tim Cook pour la gouvernance et les questions réglementaires, et John Ternus pour la stratégie produits. L’idée est séduisante sur le papier, mais le partage du pouvoir est un exercice qui n’a pas toujours réussi à Apple…

ChatGPT vous aide à choisir vos produits via un assistant shopping intégré

Félix Cattafesta

mardi 25 novembre à 07:45

Services

OpenAI continue d’enrichir ChatGPT et vient de dévoiler « shopping research », un assistant shopping. Celui-ci a été optimisé pour trouver le meilleur produit correspondant à une requête en langage naturel. L’entreprise a mis en ligne une vidéo sur X montrant comment tout cela fonctionne, en plus d’un billet de blog détaillé.

On peut y voir quelqu’un faire une recherche pour la « meilleure TV pour une pièce lumineuse ». ChatGPT répond de manière habituelle avant de laisser apparaître un nouveau bouton. L’utilisateur est alors invité à donner quelques détails sur ses envies, comme son budget, ses usages ou les fonctions qui l’intéressent.

Une fois cela fait, l’assistant remonte différents produits adaptés dans une sorte de guide d’achat personnalisé. On pourra papoter avec le bot afin de creuser le sujet et les caractéristiques de certains produits. Un bouton permet de masquer un résultat, ou au contraire de se voir suggérer d’autres objets similaires. Les résultats peuvent tenir compte des échanges précédents si la mémoire de ChatGPT est activée.

Cet assistant est disponible sur le web et sur smartphone. Image OpenAI

OpenAI affirme que la nouveauté « est particulièrement efficace pour les achats techniques ou complexes ». Elle cite l’électronique, la beauté, ce qui touche à la maison et au jardin, à la cuisine, à l’électroménager, au sport… Elle devrait être fonctionnelle dès aujourd’hui pour les utilisateurs gratuits comme payant avec « une utilisation quasiment illimitée pendant les fêtes ».

Les produits proposés peuvent être achetés sur les sites web des revendeurs, mais OpenAI explique prévoir de lancer une fonction permettant d'effectuer des achats directement dans ChatGPT auprès des commerçants participants. Le système se base sur une version de GPT-5 mini optimisée pour les achats, avec des recommandations de produits provenant de « sources fiables et à jour ».

Apple supprime des dizaines de postes dans ses équipes commerciales

Félix Cattafesta

mardi 25 novembre à 06:30

AAPL

Une vague de licenciements a eu lieu au sein de l’organisation commerciale d’Apple. Bloomberg rapporte aujourd’hui que le constructeur a supprimé plusieurs dizaines de postes au sein des équipes chargées de vendre ses produits aux entreprises, aux établissements scolaires et aux administrations.

Image MacGeneration

Les emplois supprimés concernent des responsables de comptes dédiés aux grands clients publics et privés (entreprises, écoles, administrations), ainsi que le personnel des « centres de briefing », ces espaces où Apple reçoit les clients institutionnels pour des démonstrations produits et des réunions stratégiques.

En interne, la direction présente cette réorganisation comme une manière de simplifier sa force de vente et de supprimer les doublons. Plusieurs employés y voient une réorientation vers les revendeurs tiers auxquels une partie des ventes pourrait être confiée. Certaines organisations préfèrent travailler avec ces revendeurs indirects, et ce changement aide Apple à réduire ses coûts internes, notamment les salaires.

Cupertino évoque de son côté un simple ajustement de l’équipe commerciale.« Afin d'atteindre encore plus de clients, nous apportons quelques changements à notre équipe commerciale qui concernent un petit nombre de postes », a déclaré un porte-parole à Bloomberg. « Nous continuons à recruter et ces employés peuvent postuler à de nouveaux postes ». Les personnes concernées ont jusqu’au 20 janvier pour retrouver un poste dans le groupe avant d’être définitivement licenciées.

Une première salve de licenciement a eu lieu il y a quelques semaines dans les équipes commerciales en Australie et en Nouvelle-Zélande : une vingtaine de postes ont été supprimés. Ce type de licenciements restent rares chez Apple, qui ne s’est jamais lancée dans des plans sociaux massifs, comme chez Amazon ou Meta.

Il y a forcément un écran qui vous correspond : les meilleures offres BenQ du Black Friday 📍

Article sponsorisé

lundi 24 novembre à 23:55

Services

À l'approche du Black Friday 2025, BenQ déploie une gamme d'offres substantielles sur ses moniteurs professionnels, avec des réductions oscillant entre 7 % et 30 %. Que vous soyez créatif indépendant, photographe exigeant ou simple amateur de belles images, cette sélection mérite un détour attentif.

Fini, l'époque où il fallait choisir entre précision colorimétrique et budget raisonnable. Le constructeur taïwanais BenQ brade ses écrans calibrés d'usine avec des réductions allant jusqu'à 30 %, transformant des références habituellement réservées aux studios en opportunités accessibles.

De l'écran d'entrée de gamme à moins de 400 € jusqu'aux dalles 5K ultra-définies, voici une sélection non-exhaustive qui couvre un spectre suffisamment large pour séduire aussi bien le photographe amateur que le graphiste aguerri.

Les offres sont valables du 3 novembre au 2 décembre 2025, avec livraison gratuite dès 99 € d'achat et un droit de rétractation de 30 jours pour tester votre écran en toute sérénité.

L'offensive tarifaire : de 400 à 1100 €

Les promotions touchent aussi bien les modèles d'entrée de gamme que les références haut de gamme. Le PD2706U, actuellement affiché à 400 € après une réduction de 7 %, constitue la porte d'entrée la plus accessible de cette sélection. Ce moniteur 27 pouces en définition 4K (3840x2160) couvre 95 % de l'espace colorimétrique P3 et délivre 90W via son port USB-C. Pour qui cherche un écran professionnel sans franchir le seuil psychologique des 400 €, l'occasion semble propice.

À l'autre extrémité du spectre tarifaire, le PD2730S passe de 1199 à 1099,99 €. Cette référence se distingue par sa résolution 5K native (5120x2880), soit une densité de 218 pixels par pouce qui rivalise avec les écrans Retina d'Apple. Le moniteur embarque la technologie IPS Black, garantissant un rapport de contraste de 2000:1, nettement supérieur aux dalles IPS conventionnelles. TechRadar avait notamment salué ce modèle comme une alternative crédible au Studio Display d'Apple, pour un tarif inférieur de plusieurs centaines d’euros.

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La gamme MA, taillée pour l'écosystème Mac

Les MA320U et MA270U affichent respectivement 599,99 € et 499,99 € après remise. Ces deux déclinaisons (32 et 27 pouces) partagent une filiation commune : un calibrage spécifique pour s'harmoniser avec les MacBook Pro et Air. Les deux écrans reproduisent 99 % de l'espace sRGB et 97 % du DCI-P3, avec une livraison de puissance de 90W en USB-C.

La technologie Brightness Intelligence Gen2 ajuste automatiquement la luminosité en fonction de l'éclairage ambiant. Le panneau nano-mat réduit les reflets à leur strict minimum. Creative Bloq a particulièrement apprécié la fidélité chromatique du MA270U, notant qu'il était difficile de percevoir une différence entre l'écran du MacBook et celui du moniteur externe lors du passage de l'un à l'autre.

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Le PD3225U, compromis entre surface et précision

À 999,99 € dans sa version promotionnelle, le PD3225U offre un large panneau de 31,5 pouces en 4K. La technologie IPS Black assure ici aussi un contraste de 2000:1. Le moniteur couvre 98 % du P3, 100 % du sRGB et du Rec.709, avec une précision colorimétrique Delta E inférieure à 2. PCWorld l'a testé en profondeur et a mesuré un Delta E moyen de 0,43, le plaçant dans le peloton de tête des 900 moniteurs passés au crible par la rédaction américaine en quinze ans.

Le Thunderbolt 3 délivre 85W et permet le chaînage en guirlande de plusieurs écrans. Un switch KVM intégré facilite le pilotage de deux machines depuis un unique ensemble clavier-souris. Le calibrage d'usine est certifié par Calman et validé par Pantone.

PD2725U, l'équilibre au juste prix

Le PD2725U, désormais proposé à 700 €, vise les professionnels en quête d'un compromis entre performances et budget. Ce 27 pouces 4K couvre 95 % du P3 et 100 % des espaces sRGB et Rec.709. Le Thunderbolt 3 assure un transfert de données à 40 Gb/s tout en fournissant 65W de puissance. Le mode M-Book synchronise les couleurs avec les ordinateurs portables Mac, tandis que le logiciel Display Pilot 2 permet de contrôler la luminosité directement depuis le clavier de l'ordinateur.

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Le PD2706UA et son bras articulé

À 499,99 €, le PD2706UA se différencie du PD2706U classique par l'inclusion d'un bras ergonomique. Cette version offre les mêmes spécifications colorimétriques (95 % P3, 99 % sRGB et Rec.709), la même connexion USB-C 90W, mais libère le bureau en fixant l'écran sur une potence réglable en hauteur, inclinaison, rotation et pivot. Pour qui travaille dans un espace restreint ou jongle avec plusieurs périphériques, cette configuration apporte une flexibilité substantielle.

Quelle référence pour quel profil ?

Pour les adeptes de l'écosystème Apple en quête de fluidité, les MA270U et MA320U séduiront par leur calibrage spécifique et leur intégration logicielle poussée. Les designers et retoucheurs exigeants se tourneront vers le PD2730S et son extraordinaire densité de pixels, ou vers le PD3225U pour conjuguer surface généreuse et précision. Les photographes et monteurs vidéo au budget contenu trouveront dans le PD2706U une entrée en matière sérieuse, tandis que le PD2725U propose un équilibre solide entre fonctionnalités et tarif.

Chaque référence embarque la technologie AQCOLOR de BenQ, garante d'un calibrage d'usine rigoureux et d'une uniformité chromatique sur l'ensemble de la dalle. Les certifications Pantone et Calman, présentes sur la plupart des modèles, attestent de la fiabilité colorimétrique. Tous proposent également des modes prédéfinis (CAD/CAM, Animation, Darkroom, Display P3, Rec.709) facilitant le passage d'un flux de travail à l'autre sans recalibrage manuel.

Cette salve d'offres Black Friday permet d'accéder à des outils professionnels à des tarifs plus digestes. Reste à déterminer si votre pratique justifie l'investissement dans la résolution 5K du PD2730S ou si un 4K bien calibré suffira. Dans tous les cas, l'éventail couvre suffisamment de besoins pour que chacun y trouve son compte.

Ces écrans ne représentent qu'une fraction des promotions déployées par BenQ pour ce Black Friday : vidéoprojecteurs, barres lumineuses et autres périphériques profitent également de réductions substantielles sur toute la durée de l'opération.

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Tesla a voulu forcer la main des Pays-Bas pour valider sa conduite autonome en Europe, ça ne s’est pas bien passé

Nicolas Furno

lundi 24 novembre à 22:33

Mobilités

La conduite entièrement autonome supervisée, comme Tesla l’appelle très sérieusement outre-Atlantique, arrivera-t-elle finalement en Europe en début d’année prochaine ? Le constructeur en est convaincu, nous beaucoup moins. Elon Musk en personne promettait l’arrivée du FSD (Full-Self Driving) dès la fin de l’année 2022. En septembre 2024, une autre rumeur évoquait sa disponibilité début 2025 et alors que les fêtes de fin d’année approchent, force est de constater que l’on n’a toujours rien de concret. On a l’habitude des chronologies optimistes, pour ne pas parler de mensonges, du milliardaire, même si cette fois, cela semble devenir plus concret.

Ma Model 3 aux Pays-Bas, bloquée par la RDW, allégorie. Image MacGeneration.

En effet, le compte officiel de Tesla en Europe a publié il y a quelques jours un message sur X qui promettait la disponibilité du FSD en Europe dès février 2026. Ce long message commence par détailler tout le travail effectué pendant « plus de 12 mois » (on se demande bien ce qu’ils ont fait du travail certainement mené entre 2022 et aujourd’hui) pour adapter la conduite semi-autonome maison au cadre local, avant de se plaindre des règles européennes. C’est de bon ton de nos jours, surtout de la part d’une entreprise américaine, même s’il faut noter que la firme d’Elon Musk ne se prive jamais de reporter la faute sur les autorités, y compris dans son propre pays.

Quoi qu’il en soit, Tesla cherche à obtenir une approbation de la part de la RDW (‌Dienst Wegverkeer) néerlandaise, une agence gouvernementale qui régule le secteur automobile. Le constructeur automobile a des liens historiques forts avec les Pays-Bas, qui ont toujours été sa porte d’entrée vers l’Europe. De la même manière, si le pays approuve le FSD (Supervised) actuel, le système pourrait ensuite être approuvé par les autres pays membres de l’Union européenne. Tesla y a par ailleurs testé la conduite autonome dès avril 2025, comme en témoigne cette vidéo publiée à l’époque.

Ce n’est pas le seul pays qui a vu circuler des Tesla avec le système actif pendant cette phase de tests : les Parisiens ont aussi pu croiser des véhicules en mai dernier, par exemple. Il faut dire que, comme l’explique le constructeur dans son message, il devait apporter des preuves concrètes de son bon fonctionnement. En un an, l’entreprise a ainsi fait rouler ses véhicules avec une bêta du FSD (Supervised) pendant un million de kilomètres et à travers 17 pays.

Tesla fait rouler sa conduite entièrement autonome (supervisée) autour de la Place de l’Étoile

Tesla fait rouler sa conduite entièrement autonome (supervisée) autour de la Place de l’Étoile

Pour que son assistant à la conduite supervisé par un humain soit approuvé, Tesla doit convaincre les autorités que son système respecte les règles actuelles. Il lui faudra aussi obtenir des dérogations par rapport à la réglementation européenne. Il n’y a pas encore de cadre légal permettant une conduite autonome sans maintenir ses mains sur le volant hors des autoroutes et c’est justement tout l’intérêt de la fonctionnalité telle que le constructeur la propose dans son pays. Sachant probablement que le combat va être difficile à mener, l’entreprise d’Elon Musk a tenté de passer en force en indiquant dans sa communication que la RDW s’est engagée à répondre en février et surtout en incitant ses nombreux fans à faire pression en envoyant un message à l’agence pour réclamer l’approbation du système.

Sans trop de surprise, la réaction ne s’est pas faite attendre et l’autorité néerlandaise ne se laisse pas impressionner. Dans un communiqué publié deux jours après le coup de pression de Tesla, la RDW refuse de commenter les demandes en cours des constructeurs automobiles, tout en reconnaissant qu’elle coopère actuellement avec Tesla et qu’ils avaient en effet convenu ensemble d’une étape à l’échéance annoncée. L’entreprise américaine devra alors avoir démontré que son système répond aux exigences et si c’est bien le cas, le système pourra être approuvé. Le calendrier est toutefois moins assuré et le communiqué souligne même que des reports pourraient être nécessaires. L’agence termine en demandant au public de ne plus les contacter à ce sujet : cela ne servira pas à accélérer le dossier et ces messages de masse perturbent la prise en charge des autres demandes.

Sans aller jusqu’à conclure que Tesla a ainsi gâché sa chance de valider sa conduite autonome supervisée en Europe, on peut penser que les autorités néerlandaises auront au minimum un a priori négatif concernant la demande. Reste le plus dur de toute manière : prouver que cette assistance à la conduite qui est censée diriger la voiture en toute autonomie tout en exigeant une supervision constante d’un humain est suffisamment sûre pour les standards européens. Même si le cadre réglementaire actuel est probablement trop contraignant, il y a peu de chances pour que les autorités valident toutes les demandes sans s’assurer que des mesures de sécurité restent bien en place.

Est-ce que le FSD (Supervised) sera effectivement proposé en Europe l’année prochaine ? On aura peut-être un début de réponse en février, mais même si les Pays-Bas valident la demande à ce moment-là, il faudra ensuite un vote de l’Union européenne pour une validation à l’échelle du continent. Autant dire qu’il faudra faire preuve de patience même si Tesla a un dossier absolument béton, ce qui est déjà loin d’être garanti.