Navigateurs : Chrome corrigé pour son préchargement
Chrome continue de céder un peu de terrain à ses concurrents dans les statistiques de NetMarketShare sur février. Le navigateur de Google reste 3e (18,90%) derrière Firefox (20,92%) et Internet Explorer (52,84%) mais l'ajustement à la baisse de son pourcentage depuis deux mois peut s'expliquer par un changement de politique survenu début janvier au sein du géant de l'Internet.
Avant janvier, Google mettait systématiquement en avant les pages consacrées à son logiciel dans son moteur de recherche. Un comportement qui faisait grincer des dents, car beaucoup estimaient qu'il y avait là recours à des pratiques anticoncurrentielles. En réponse, Google a notamment baissé de manière significative le PageRank (son algorithme d'analyse des liens concourant au système de classement des pages Web) concernant les pages du site de Chrome.
Un autre changement va être mis en place, cette fois chez NetMarketShare mais toujours avec une incidence pour Google. Dorénavant, ne seront plus comptabilisées les pages web que le navigateur précharge en arrière-plan lorsqu'on lance une recherche ou tape une requête dans son champ d'URL. Chrome agit de la sorte pour tenir à disposition la page que l'on demandera peut-être. Mais ce comportement va logiquement fausser les résultats des visites effectives puisque, dans les faits, plusieurs de ces pages ne seront jamais vues par l'utilisateur.
D'après NetMarketShare ce système introduit avec Chrome 13 et étendu avec Chrome 17, a compté pour 4,3% des visiteurs uniques quotidiens en février.
Plus généralement, sur ce mois écoulé, Internet Explorer qui avait stoppé sa chute en janvier est légèrement reparti à la baisse, Firefox repart un peu à la hausse, tout comme Safari (5,24%) et Opera (1,71%). Les grands équilibres au sommet demeurent inchangés.
Avant janvier, Google mettait systématiquement en avant les pages consacrées à son logiciel dans son moteur de recherche. Un comportement qui faisait grincer des dents, car beaucoup estimaient qu'il y avait là recours à des pratiques anticoncurrentielles. En réponse, Google a notamment baissé de manière significative le PageRank (son algorithme d'analyse des liens concourant au système de classement des pages Web) concernant les pages du site de Chrome.
Un autre changement va être mis en place, cette fois chez NetMarketShare mais toujours avec une incidence pour Google. Dorénavant, ne seront plus comptabilisées les pages web que le navigateur précharge en arrière-plan lorsqu'on lance une recherche ou tape une requête dans son champ d'URL. Chrome agit de la sorte pour tenir à disposition la page que l'on demandera peut-être. Mais ce comportement va logiquement fausser les résultats des visites effectives puisque, dans les faits, plusieurs de ces pages ne seront jamais vues par l'utilisateur.
D'après NetMarketShare ce système introduit avec Chrome 13 et étendu avec Chrome 17, a compté pour 4,3% des visiteurs uniques quotidiens en février.
Plus généralement, sur ce mois écoulé, Internet Explorer qui avait stoppé sa chute en janvier est légèrement reparti à la baisse, Firefox repart un peu à la hausse, tout comme Safari (5,24%) et Opera (1,71%). Les grands équilibres au sommet demeurent inchangés.