Apple et Adobe, unies dans la lutte contre le piratage
Apple et Adobe s'envoient des roses au sujet de Flash, mais n'en restent pas moins pragmatiques : les deux sociétés se sont alliées à Autodesk et Rosetta Stone pour traîner Edy Jean Dollisme de Ultimate PC Repairs en justice. Elles l'accusent de vendre des versions piratées de leurs logiciels sur le site de petites annonces Craigslist et son site Ultimate PC Repairs.
Selon la plainte, Dollisme écoulait illégalement des versions de Snow Leopard, de Final Cut ainsi que des suites iLife et iWork, mais aussi de la Creative Suite d'Adobe, d'Acrobat et d'Illustrator. Côté Windows, il faisait commerce d'Autodesk d'Autocad, des logiciels d'apprentissage de Rosetta Stone, ou de Microsoft Office et Quicken, la firme de Redmond ne prenant pas part à cette plainte.
Il utilisait l'arnaque classique des « warez », qui consiste à vendre pour très peu chers des copies de logiciels piratées et gravées sur CD ou DVD : « tout ou partie des copies distribuées […] l'étaient sous la forme de DVD et CD gravés (fait maison), avec les titres écrits au marqueur ». Une pratique attirant souvent des utilisateurs pensant que le paiement suffit à assurer la légalité du procédé, ce qui n'est évidemment pas le cas — prudence donc.
Selon la plainte, Dollisme écoulait illégalement des versions de Snow Leopard, de Final Cut ainsi que des suites iLife et iWork, mais aussi de la Creative Suite d'Adobe, d'Acrobat et d'Illustrator. Côté Windows, il faisait commerce d'Autodesk d'Autocad, des logiciels d'apprentissage de Rosetta Stone, ou de Microsoft Office et Quicken, la firme de Redmond ne prenant pas part à cette plainte.
Il utilisait l'arnaque classique des « warez », qui consiste à vendre pour très peu chers des copies de logiciels piratées et gravées sur CD ou DVD : « tout ou partie des copies distribuées […] l'étaient sous la forme de DVD et CD gravés (fait maison), avec les titres écrits au marqueur ». Une pratique attirant souvent des utilisateurs pensant que le paiement suffit à assurer la légalité du procédé, ce qui n'est évidemment pas le cas — prudence donc.