Diaspora, le réseau social libre et concurrent de Facebook, est désormais disponible en alpha : on peut soumettre son adresse de courriel pour recevoir une invitation, ou héberger son propre serveur Diaspora et le connecter aux autres serveurs (le réseau est donc décentralisé). Diaspora insiste sur l'ouverture (le code source est librement disponible), la propriété (les contenus appartiennent à l'utilisateur, jamais au réseau), et la vie privée (les comptes sont privés, les contenus partagés à travers des groupes, les Aspects, à la granularité très fine).

L'interface de Diaspora est on ne peut plus commune, entre celle de Facebook pour l'aspect général et celle de Ping pour sa simplicité et son dépouillement. Mais le réseau étant décentralisé, rien n'empêche un développeur aventureux de personnaliser l'aspect de sa distribution de Diaspora, qui pourra être connectée aux autres.
La notion centrale de Diaspora est celle des Aspects, des groupes dans lesquels on place les personnes avec lesquelles on est en contact, ici les amis, ici les connaissances, etc. On peut ensuite choisir de partager ou pas statuts et photos avec les différents Aspects, selon ce que l'on veut partager et avec qui, un renversement de la pratique habituelle de ce genre de réseaux.
Le reste est du grand classique, de la recherche de personnes au partage de photos, mais tout le trafic est chiffré (à l'exception des photos). Diaspora indique vouloir progresser par « petits pas », mais le projet est pour le moment déjà très intéressant.

L'interface de Diaspora est on ne peut plus commune, entre celle de Facebook pour l'aspect général et celle de Ping pour sa simplicité et son dépouillement. Mais le réseau étant décentralisé, rien n'empêche un développeur aventureux de personnaliser l'aspect de sa distribution de Diaspora, qui pourra être connectée aux autres.
La notion centrale de Diaspora est celle des Aspects, des groupes dans lesquels on place les personnes avec lesquelles on est en contact, ici les amis, ici les connaissances, etc. On peut ensuite choisir de partager ou pas statuts et photos avec les différents Aspects, selon ce que l'on veut partager et avec qui, un renversement de la pratique habituelle de ce genre de réseaux.
Le reste est du grand classique, de la recherche de personnes au partage de photos, mais tout le trafic est chiffré (à l'exception des photos). Diaspora indique vouloir progresser par « petits pas », mais le projet est pour le moment déjà très intéressant.