Il y a une composante à la vélocité de Snow Leopard qui vous aura peut-être échappé : elle permet également d'être plus économe en énergie.
Le fait que Grand Central Dispatch soit capable de mieux exploiter le processeur le rend moins dispendieux en énergie, et ça se mesure directement sur les portables. Typiquement, on gagne grosso modo 10 à 20 minutes d'autonomie supplémentaire. En faisant des comparaisons sur un MacBook Pro 17 pouces, CNET a déterminé que ça représente environ 10 KWh économisés par an.
Certes ça ne représente que peu d'argent à l'échelle individuelle (grosso modo un euro par an en fonction de votre abonnement EDF), mais à l'échelle du nombre d'acquéreurs de Snow Leopard, ça devient conséquent : Piper Jaffray estime qu'Apple pourrait vendre 5 millions de copies de Snow Leopard, ça représente théoriquement 5 millions d'euros d'économie d'énergie réalisée, et 50 GigaWatts par an, soit plus de 40 voyages dans le temps avec une DeLorean…
Mais au delà du processeur, on fait d'autres économies : les sauvegardes dans Time Machine sont jusqu'à 80% plus rapide, autant de temps durant lequel le disque dur ne tournera pas, sans compter que Snow Leopard prend moins de place sur le disque (et donc encore moins de temps à sauvegarder). La fonction de sortie de veille par l'accès réseau permet également d'économiser un peu plus d'énergie là où c'était impossible avec Leopard. Boot Camp permet de partager les fichiers entre Mac OS X et Windows plus facilement, évitant des redémarrages supplémentaires. Le démarrage et l'extinction du Mac prennent moitié moins de temps qu'avant, encore des économies réalisées. Et naturellement, la vélocité générale du système permet de passer moins de temps à réaliser les mêmes tâches, encore une économie notable.
Bref, si cet argument ne suffira pas à vous faire passer à la caisse, il n'en est pas moins appréciable en ces temps où l'écologie est une préoccupation majeure. De quoi rendre les Macs encore un peu plus verts.
Le fait que Grand Central Dispatch soit capable de mieux exploiter le processeur le rend moins dispendieux en énergie, et ça se mesure directement sur les portables. Typiquement, on gagne grosso modo 10 à 20 minutes d'autonomie supplémentaire. En faisant des comparaisons sur un MacBook Pro 17 pouces, CNET a déterminé que ça représente environ 10 KWh économisés par an.
Certes ça ne représente que peu d'argent à l'échelle individuelle (grosso modo un euro par an en fonction de votre abonnement EDF), mais à l'échelle du nombre d'acquéreurs de Snow Leopard, ça devient conséquent : Piper Jaffray estime qu'Apple pourrait vendre 5 millions de copies de Snow Leopard, ça représente théoriquement 5 millions d'euros d'économie d'énergie réalisée, et 50 GigaWatts par an, soit plus de 40 voyages dans le temps avec une DeLorean…
Mais au delà du processeur, on fait d'autres économies : les sauvegardes dans Time Machine sont jusqu'à 80% plus rapide, autant de temps durant lequel le disque dur ne tournera pas, sans compter que Snow Leopard prend moins de place sur le disque (et donc encore moins de temps à sauvegarder). La fonction de sortie de veille par l'accès réseau permet également d'économiser un peu plus d'énergie là où c'était impossible avec Leopard. Boot Camp permet de partager les fichiers entre Mac OS X et Windows plus facilement, évitant des redémarrages supplémentaires. Le démarrage et l'extinction du Mac prennent moitié moins de temps qu'avant, encore des économies réalisées. Et naturellement, la vélocité générale du système permet de passer moins de temps à réaliser les mêmes tâches, encore une économie notable.
Bref, si cet argument ne suffira pas à vous faire passer à la caisse, il n'en est pas moins appréciable en ces temps où l'écologie est une préoccupation majeure. De quoi rendre les Macs encore un peu plus verts.