A l'heure des Store retour sur les Apple Cafe
Alors que les magasins Apple Store sont devenus des leviers stratégiques pour le développement d'Apple et de ses produits, le blog GuiFX ramène à la surface un vieux projet initié un peu plus d'un an avant le retour de Steve Jobs : les Apple Cafe.
Le premier de ces cybercafés devait ouvrir à Los Angeles fin 1997 et les villes de Londres, Paris, New York, Tokyo et Sidney étaient énumérées pour les implantations internationales. Ils devaient permettre aux gens de "surfer sur Internet à grande vitesse" (à l'époque les modems RTC à 38.6 Kbps étaient les formules 1 de l'Internet domestique), de jouer, de regarder des films ou de "réaliser des pages web" tout en consommant café et autres viennoiseries.
Un mélange d'Apple Store (pour la mise en avant des produits maison et de goodies au logo pommé), de Starbuck (pour le côté café) et de Planet Hollywood (pour la déco clinquante et l'accent mis sur le divertissement).
Les tables devaient être équipées de terminaux pour chater avec d'autres personnes, pour surfer ou pour passer commande. Des loges VIP ou réservées aux membres étaient également évoquées. Ces espaces auraient été conçus par des entreprises spécialisées dans ce style de franchises, sous licence Apple, qui aurait perçu des royalties dans l'opération.
Le projet fut finalement abandonné. Pour partie pour des raisons financières (Apple n'était pas au mieux à l'époque) pour partie aussi explique l'un des témoins de cette aventure par des problèmes décisionnels au sommet d'Apple, alors gérée par Gil Amelio qui devait plus tard être éjecté par Steve Jobs. Un Steve Jobs sous le patronage duquel ces Apple Cafe ont d'une certaine manière repris vie, mais avec quelques petites modifications ici ou là…
Le premier de ces cybercafés devait ouvrir à Los Angeles fin 1997 et les villes de Londres, Paris, New York, Tokyo et Sidney étaient énumérées pour les implantations internationales. Ils devaient permettre aux gens de "surfer sur Internet à grande vitesse" (à l'époque les modems RTC à 38.6 Kbps étaient les formules 1 de l'Internet domestique), de jouer, de regarder des films ou de "réaliser des pages web" tout en consommant café et autres viennoiseries.
Un mélange d'Apple Store (pour la mise en avant des produits maison et de goodies au logo pommé), de Starbuck (pour le côté café) et de Planet Hollywood (pour la déco clinquante et l'accent mis sur le divertissement).
Les tables devaient être équipées de terminaux pour chater avec d'autres personnes, pour surfer ou pour passer commande. Des loges VIP ou réservées aux membres étaient également évoquées. Ces espaces auraient été conçus par des entreprises spécialisées dans ce style de franchises, sous licence Apple, qui aurait perçu des royalties dans l'opération.
Le projet fut finalement abandonné. Pour partie pour des raisons financières (Apple n'était pas au mieux à l'époque) pour partie aussi explique l'un des témoins de cette aventure par des problèmes décisionnels au sommet d'Apple, alors gérée par Gil Amelio qui devait plus tard être éjecté par Steve Jobs. Un Steve Jobs sous le patronage duquel ces Apple Cafe ont d'une certaine manière repris vie, mais avec quelques petites modifications ici ou là…