Opera a détaillé sur son site pour développeurs quelques résultats obtenus avec MAMA ("Metadata Analysis and Mining Application"), un moteur de recherche qui s'intéresse non pas au contenu textuel des pages web, mais à leur structure HTML, à leurs feuilles de style, à leur utilisation de code JavaScript, de contenus Flash, etc.
Un outil qui prend tout son sens pour la conception d'un navigateur web, lorsqu'il s'agit de voir à quoi ressemble l'envers des pages web, quel est leur profil général, quelles tendances se dégagent dans la manière dont elles sont conçues, pourquoi certaines sont mal interprétées, etc.
Opera a analysé 3,5 millions de pages appartenant à 3 millions de domaines puis les a passé au filtre du service de validation du W3C. Celui-ci valide ou non une page selon que les balises de son code respectent les consignes formulées par le W3C.
Sur cet échantillon, seuls 4,13% des 3,5 millions de pages ont obtenu un satisfécit, soit 145 000 environ. L'étude a également porté sur les éditeurs de pages. Et là c'est l'iWeb d'Apple qui se distingue : 81,9% des pages détectées comme ayant été conçues avec cette application ont passé le test de validation.
Le second est Dreamweaver d'Adobe, avec seulement 3,4% des pages qu'il a produites ayant été déclarées valides. En queue de peloton, on trouve des gloires d'antan comme PageMill d'Adobe ou Home Page de feu Claris mais aussi d'autres noms bien connus comme FrontPage et Word, tous deux de Microsoft. FrontPage dont on mesure le poids en terme de popularité (347 095 pages dans l'échantillon contre 5954 pour Dreamweaver) mais aussi en terme de taux d'échec face à la validation : 99,4%.

Un outil qui prend tout son sens pour la conception d'un navigateur web, lorsqu'il s'agit de voir à quoi ressemble l'envers des pages web, quel est leur profil général, quelles tendances se dégagent dans la manière dont elles sont conçues, pourquoi certaines sont mal interprétées, etc.
Opera a analysé 3,5 millions de pages appartenant à 3 millions de domaines puis les a passé au filtre du service de validation du W3C. Celui-ci valide ou non une page selon que les balises de son code respectent les consignes formulées par le W3C.
Sur cet échantillon, seuls 4,13% des 3,5 millions de pages ont obtenu un satisfécit, soit 145 000 environ. L'étude a également porté sur les éditeurs de pages. Et là c'est l'iWeb d'Apple qui se distingue : 81,9% des pages détectées comme ayant été conçues avec cette application ont passé le test de validation.
Le second est Dreamweaver d'Adobe, avec seulement 3,4% des pages qu'il a produites ayant été déclarées valides. En queue de peloton, on trouve des gloires d'antan comme PageMill d'Adobe ou Home Page de feu Claris mais aussi d'autres noms bien connus comme FrontPage et Word, tous deux de Microsoft. FrontPage dont on mesure le poids en terme de popularité (347 095 pages dans l'échantillon contre 5954 pour Dreamweaver) mais aussi en terme de taux d'échec face à la validation : 99,4%.
