L'A14X du premier Mac ARM et des iPad Pro serait bientôt en production

Florian Innocente |

L'A14X, le processeur qu'Apple aurait prévu pour ses premiers Mac ARM doit entrer en production au quatrième trimestre chez TSMC, indique Digitimes.

Apple a prévenu que sa nouvelle génération de Mac débuterait cette fin d'année, mais sans en dire plus sur le ou les modèles concernés. On se doute toutefois que cela devrait commencer par des machines portables et légères.

MacBook 2017

Digitimes ajoute que ce processeur figurera également dans la prochaine série des iPad Pro et qu'il sera gravé avec une finesse passée de 7 à 5 nm, comme suggéré il y a un an par le partenaire d'Apple (lire TSMC prêt à graver l’Apple A14 à 5 nm).

Fin août, le China Times avait déjà parlé de l'utilisation d'un A14X (nom de code Tonga) dans un MacBook 12" renouvelé et porteur d'une autonomie améliorée (lire Apple Silicon : le retour du MacBook 12" avec une puce A14X ?). La fin d'année verrait alors le lancement d'un A14 pour les prochains iPhone et immédiatement après de son cousin l'A14X pour ce portable Mac, avant d'aller dans l'iPad Pro.

avatar Woaha | 

@pacolapo

Ce sera comme sur iPhone. Les distinctions se font au niveau d’autres composants que le processeur.

avatar pacolapo | 

Difficile d'imaginer cela, prenons des Macbook Pro 13, avec comme seule option, le stockage ? ce qui est le cas des iPhone, selon ton raisonnement ?

Aucune option processeur et RAM ?

Qu'ils rendent leurs gammes compréhensible, avec une sorte d'indice de puissance, comme on pouvait le comprendre avec les processeurs Intel à l'époque, je veux bien, parce que maintenant, pour un novice, difficile d'y voir clair.

Entre un i7 8eme gen et un i5 10eme gen, selon le modèle pas d'Hyper Threading, le TDP, etc...

avatar IceWizard | 

@pacolapo

« Ils n’ont plus que X, Y et Z en lettres dispo la 😂 »

Bah non, il y a aussi la lettre L, pour nommer ce processeur l’A14XXL !

avatar ludmer67 | 

Apple a clairement indiqué que ce ne sera pas un « A14X » que l’on retrouvera dans les Mac, mais bien une nouvelle dénomination, comme il en existe pour l’Apple Watch (S) ou les AirPods (W et H).

Ces SoC (System on a Chip) pourraient davantage segmenter les Mac : vous voulez de l’autonomie et une puissance suffisante pour la vie quotidienne, il y a le MacBook. Vous voulez de la puissance et une autonomie adaptée en conséquence, il y a le MacBook Pro. L’iMac pourra bénéficier d’un nouveau design : un démontage de la machine montre que la forme arrondie du dos sert à couvrir le système de refroidissement du processeur et du circuit graphique. Avec les SoC Apple Silicon, il n’y aura qu’une seule puce (comme son nom l’indique).

En dehors de l’iPhone 12 5,4 pouces qui pourrait remplacer mon 7 (toujours vaillant !), ce sont vraiment les Mac Apple Silicon qui m’intéressent, alors que je travaille sur iPad et que je n’ai pas l’utilité d’un Mac neuf. Ces SoC vont représenter une évolution majeure de l’industrie dans les années à venir. Ceux qui se plaignent de l’absence de surprise lors des Keynotes devraient être ravis par l’absence d’informations autour de ces nouveaux Mac !

avatar Biking Dutch Man | 

Je suis curieux de savoir comment Big Sur tournera sur mon Mac Book Air 11“ 2015 i7? J’ai trouvé peu de témoignage sur les différences de performance entre MacOS 10.15 et 11.0.

avatar laric30 | 

C’est clair, je trouve tout cela très prometteur... bien plus qu’on ne pouvais le penser.
Les premières machine ne seront pas forcément ultra performantes mais le potentiel est clairement la !
Cote prix, je doute qu’il y ait des changements majeurs, Apple n’a aucun soucis pour vendre ses produits, pourquoi tirer vers le bas...

avatar Florian Wallez | 

Très bonne nouvelle !
Mais on peut se poser la question :
Pourquoi mettre le processeur le plus puissant dans un iPhone avant de le mettre dans l’iPad, l’outil productif entre les deux, c’est l’iPad...

avatar reborn | 

@fwally

Ce ne sont pas les même SoC, l’A14 reste réservé à l’iPhone et sa version plus puissante, l’A14X à l’iPad.

avatar david66 | 

@fwally

Mais nous sommes bien d’accord... un monstre de puissance dans un iPhone, ça sert à quoi ?

avatar Krysten2001 | 

@david66

Photo, vidéo, gros jeux, puissance sur le long terme,...

avatar reborn | 

@david66

À être utilisable confortablement 5 ans après (iPhone 6S)
Par exemple l’A9 est un monstre, 70% plus rapide que l’A8..

Et puis sur mobile tout doit réagir instantanément sans attente, d’où la puissance.

Cela sert aussi à faire en sorte que les pwa soit fluide à l’usage. C’est con mais twitter sur un iPhone 6 c’est inutilisable... C’est une appli supposé afficher du texte mais c’est une vrai usine à gaz

Par contre l’application Bunq, qui m’a tout l’air d’être la seule app bancaire native d’iOS est parfaitement fluide sur un iPhone 6 !

avatar sachouba | 

L'avantage, c'est qu'avec l'éviction de Huawei de la liste des clients de TSMC, il y a maintenant plein de place pour produire des processeurs Apple.

avatar Mike Mac | 

Si cela signifie un Macbook à prix avantageux comme le laptop 12'5" que Microsoft va sortir entre 500 et 600 €, je suis pour le Mac ARM... Nom de code Sparti.

https://www.minimachines.net/actu/sparti-surface-laptop-92116

https://www.windowscentral.com/surface-sparti-budget-clamshell-laptop

avatar Dimemas | 

Tu rêves ...

avatar reborn | 

@Mike Mac

Vu comment l’ipad d’entrée de gamme avec son A10 d’un iPhone 7 de 2016 humilie la surface Go 2, je pense qu’avec un A12 d’iPhone XS Apple peut proposer une machine dans cette fourchette de prix.

avatar ludmer67 | 

@Mike Mac

« le laptop 12'5" que Microsoft va sortir entre 500 et 600 € »
C’est une rumeur qui n’a pas de plus de valeur que celle affirmant qu’Apple prépare un MacBook à 799$...

avatar Glop0606 | 

Personnellement super impatient. Je pense que les performances seront largement au rendez vous pour les apps développer en ARM. Y'a qu'à voire les prouesses de imovie sur Ipad sur des fichiers 4K.
Je pense qu'on va aussi y gagner en sécurité, en autonomie et je pense même qu'Apple en profitera pour revoir son prix d'entrée de gamme avec comme approche marketing: Tout en plus sauf le prix (bon ils le diront pas comme ça, mais ça sera l'idée).
Ma plus grande appréhension, c'est que le système Apple se ferme de plus en plus avec cette désagréable sensation que nous sommes "locataire" d'un produit plutôt que nous le possédons. (pas de possibilité d'installer un autre OS, App Store quasi incontournable, tous les services d'Apple qui sans abos ne servent pas à grand chose,...)

avatar raoolito | 

@Glop0606

impatient sans aucun doute, curieux énormément !
perso j'ai fais le plein des mac intel pour tenir les 3 prochaines années, histoire que la transition soit terminée et que les softs soient optimisés.
D'ici là c'est popcorn et coca à volonté :)

avatar Krysten2001 | 

@Glop0606

C’est ce qui fait sa force aussi, l’app store et toutes les autres choses. J’attends tout ce que avez énuméré avec le processeur ARM et plus d’optimisation logiciel, sécurité,...

avatar Mike Mac | 

@Dimemas

Dommage !

Je suis aussi pour un iPhone Duo comme celui de Microsoft qui va être mis en vente demain.

https://twitter.com/i/status/1303395407272255489

avatar andr3 | 

Impatient de voir les tests en mode office, mais surtout l’autonomie.

Ce serait bien 10h+ réelles à pleine utilisation.

avatar YetOneOtherGit | 

@andr3

"Impatient de voir les tests en mode office"

Tu parles de MS Office ? 😳

Tu as des pb de performances avec des outils bureautique ?

avatar andr3 | 

@YetOneOtherGit

Aucun.

Mais si le futur MacBook tient plus de 10 heures non stop et qu’en plus il est fluide et réactif pour des travaux office (Word, Excel, mail ...), je serais bien tenté .

Je ne lui demande pas à pouvoir faire tourner 2+ VM Windows 10 en plus de MacOS tout en gardant fluidité, réactivité et puissance. Pour cela, j’ai mon MacBook Pro 16” i9.

à voir par rapport à la prochaine génération d’ iPad Pro pour peu que iPadOS supporte virtualisation. Ce qui n’est pas impossible ... CPU identique et hardware sûrement comparable.

avatar frederick31 | 

[...] « SeraiENT » en production [...]
Merci de corriger le titre de l’article

avatar ludmer67 | 

@frederick31

« [...] « SeraiENT » en production [...]
Merci de corriger le titre de l’article »
C’est « A14X » qui « serait » en production, pas les Mac ARM et les iPad Pro ». Merci de comprendre le titre de l’article.

avatar pehache | 

@ludmer67 " En revanche, les fonctionnalités des logiciels auront tendance à être similaires d’une machine à l’autre, puisque les développeurs n’auront pu à développer pour x86 et ARM, mais n’auront qu’une seule architecture. "

Non, ça n'a strictement rien à voir. Le type d'interface et les fonctionnalités d'une application ne sont absolument pas contraintes par le type de CPU, et les applications ne sont pas développées "pour x86" ou "pour ARM".

avatar ludmer67 | 

@pehache

« Non, ça n'a strictement rien à voir. Le type d'interface et les fonctionnalités d'une application ne sont absolument pas contraintes par le type de CPU, et les applications ne sont pas développées "pour x86" ou "pour ARM". »

Strictement rien à avoir ? À voir... Quand on peut proposer une app vraiment universelle macOS+iOS, il y a un raison de moins de ne pas uniformiser les fonctionnalités. En tout cas, c’est ce que j’attends pour continuer à utiliser mon iPad sans me dire « merde, pour ça, il me faut mon Mac ».

avatar YetOneOtherGit | 

@ludmer67

"Strictement rien à avoir ? "

Dans ce que sont les réalités du dev aujourd’hui c’est bien le cas : être couplé au hardware sous-jacent est en règle générale proscrit.

La convergence entre Mac et iOS passe bien plus par celle des SDK.

Et ce qui reste différent entre MacOS et iOS c’est avant tout le paradigme d’IHM

Après tu as effectivement le fait de pouvoir faire tourner en natif les app IOS sans recompilation.

avatar pehache | 

@Ludmer67

"Strictement rien à avoir ? À voir... "

Non, c'est tout vu. A moins d'écrire une application en assembleur, il y a très longtemps qu'on ne se soucie plus du tout de l'architecture du hardware au niveau applicatif. Depuis 50 ans les langages de programmation dit "haut niveau" sont faits pour écrire du code portable, en faisant abstraction du hardware. Si le code est bien écrit, il est compilable pour n'importe quelle architecture sans avoir à le modifier.

"Quand on peut proposer une app vraiment universelle macOS+iOS,"

Pour ça pas besoin d'avoir le même CPU, donc. Ce qui permet de proposer une app multi-OS c'est d'avoir les mêmes librairies et API à disposition sur les différents OS.

avatar ludmer67 | 

@pehache

Merci pour l’explication !

avatar YetOneOtherGit | 

@pehache

"Non, c'est tout vu. A moins d'écrire une application en assembleur, il y a très longtemps qu'on ne se soucie plus du tout de l'architecture du hardware au niveau applicatif. Depuis 50 ans les langages de programmation dit "haut niveau" sont faits pour écrire du code portable, en faisant abstraction du hardware. Si le code est bien écrit, il est compilable pour n'importe quelle architecture sans avoir à le modifier."

Si je peux me permettre, je modérerai ton propos.

Ce n’est pas le passage du code machine aux langages de haut niveau qui ont fait la portabilités.

Tu peux produire du code en C absolument lié à l’architecture de la machine. (On peut même produire des choses très mal pensées qui sont totalement liées à l’Endianness de l’architecture c-à-d l’ordre dans lequel sont placés les octets de poids fort et faible dans la mémoire, résultat un même code en C t’explosera à la figure quand il est compilé sur une architecture big-endian alors qu’il a été mal codé au niveau de la gestion des pointeurs pour du little-endian)

Ce qui a évolué c’est que l’on n’interagit plus directement avec la machine dans l’immense majorité des cas.

Le programme accède indirectement aux ressources matériel à travers des couches d’abstraction fournies par l’OS via des API.

C’est une mauvaise pratique d’accéder directement au matériel qui est en général proscrite.

Ce ne sont pas les langage en eux même qui ont fait la portabilités mais les approche de la programmation, les architectures logiciels, les architectures des OS.

Et en dernière couche nombre de langages de programmation modernes font en sorte de rendre impossible la manipulation d’éléments de bas niveau pour éviter des pratiques qui sont souvent dangereuses.

avatar pehache | 

@YOOG

"Ce n’est pas le passage du code machine aux langages de haut niveau qui ont fait la portabilités. Tu peux produire du code en C absolument lié à l’architecture de la machine."

Oui, on "peut", mais la différence introduite par les langage de "haut niveau" c'est qu'ils permettent de ne pas le faire.

"Ce ne sont pas les langage en eux même qui ont fait la portabilités mais les approche de la programmation, les architectures logiciels, les architectures des OS."

En premier lieu il fallait quand même bien avoir les langages le permettant, et ça a été la première étape dans ce mouvement, qui remonte aux années 50/60. Soit bien avant la formalisation du génie logiciel, etc...

"C’est une mauvaise pratique d’accéder directement au matériel qui est en général proscrite."

Là c'est moi qui nuancerais :-). A une époque ça pouvait se justifier pour des raisons de performances, c'est plus plus efficace d'accéder directement au matériel en exploitant au mieux ses caractéristiques plutôt que par l'intermédiaire de 36 couches logicielles... Mais l'augmentation exponentielle de la puissance des PC pendant 3 décennies a rendu ça le plus souvent inutile (l'inconvénient c'est qu'on a besoin aujourd'hui d'une machine de guerre pour faire du traitement de texte, et aussi qu'on a des armées de développeurs qui utilisent les briques logicielles comme des boîtes noires sans plus se préoccuper d'optimisation... mais bon c'est un autre débat).

Il reste encore des domaines où on programme très proche du matériel, notamment en embarqué, quand les ressources sont limitées.

avatar YetOneOtherGit | 

@pehache

"Là c'est moi qui nuancerais :-). A une époque ça pouvait se justifier pour des raisons de performances, c'est plus plus efficace d'accéder directement au matériel en exploitant au mieux ses caractéristiques plutôt que par l'intermédiaire de 36 couches logicielles... Mais l'augmentation exponentielle de la puissance des PC pendant 3 décennies a rendu ça le plus souvent inutile (l'inconvénient c'est qu'on a besoin aujourd'hui d'une machine de guerre pour faire du traitement de texte, et aussi qu'on a des armées de développeurs qui utilisent les briques logicielles comme des boîtes noires sans plus se préoccuper d'optimisation... mais bon c'est un autre débat). »

Yep, je n’avais pas précisé : « c’est aujourd’hui » ... « sauf cas très particulier  »

« Il reste encore des domaines où on programme très proche du matériel, notamment en embarqué, quand les ressources sont limitées. »

Même sur de l’embarqué cela reste très circonscrit et réduit.

Les enjeux de fiabilité, de robustesse, de sécurité, de maintenabilité ... font que l’on cherche à réduire la plus possible ces pratiques.

En fait les cas les plus courants sont ceux où ils n’ya pas d’autres choix : L’écriture des couches des OS interagissant directement avec le materiel, celle des drivers, celle des firmware.

Les couches d’abstraction matériel sont devenus la norme dans quasiment tous les secteurs en terme d’architecture logiciel.

avatar YetOneOtherGit | 

@pehache

"Oui, on "peut", mais la différence introduite par les langage de "haut niveau" c'est qu'ils permettent de ne pas le faire.
"

Tel que tu l’avais présenté ton propos me semblait donner l’impression au lecteur que les langage de haut niveau font l’abstraction par rapport au matériel et qu’ils suffit de recompiler pour changer d’architecture.

C’est pour cela que j’ai précisé que c’est qu’une part de l’équation.

C’est toujours très difficile d’essayer de vulgariser les choses 😉👍

avatar koko256 | 

Un macbook 12" Apple Silicon ! ❤️❤️❤️

avatar Mike Mac | 

@YetOneOtherGit

"Et ce qui reste différent entre MacOS et iOS c’est avant tout le paradigme d’IHM"....

Certes, certes, mais tu n'oses plus écrire et répéter comme dans ta précédente vie de "JohnMayardKeynes" que jamais Apple ne mélangera les genres puisque le processus est partiellement en route.

Et il y a même des observateurs comme Olivier Frigara, le présentateur de l'émission "On refait le Mac" qui s'attend à un Macbook ARM tactile... La Surfacisation du Mac en quelque sorte.

avatar YetOneOtherGit | 

@Mike Mac

"Certes, certes, mais tu n'oses plus écrire et répéter comme dans ta précédente vie de "JohnMayardKeynes" que jamais Apple ne mélangera les genres puisque le processus est partiellement en route. "

Je le répète et non le processus n’est nullement en route.

Nous ne sommes pas face à une immonde hybridation des paradigmes d’IHM 🤢

avatar pehache | 

YOOG "Je le répète et non le processus n’est nullement en route."

Bah quand même un peu, le projet Catalyst met le doigt dans l'engrenage, et on se retrouve sur Mac avec des applis qui ont le look & feel d'iOS, au point qu'elles donnent parfois envie d'y aller avec les doigts.

avatar YetOneOtherGit | 

@pehache

Ma réponse est volontairement outrée, notre camarade me taquinant sur un point sensible pour moi : l’hybridation des paradigmes d’IHM. 😉

avatar YetOneOtherGit | 

@pehache

Je ne cois pas que Marzipan ou l’exécution native d’app ios sur les futur Mac ARM soit un déplacement si conséquent du centre de gravité de l’OS.

C’est pour moi,un moyen relativement simple de redynamiser à moindre coût l’offre de « petite » application sur MacOS.

Pour moi c’est un « en plus » relativement simple pour les développeur.

Cela ne vise pas à bouleverser l’économie des logiciels sur Mac qui est trusté par une poignée de majors (qui souvent ont déjà leurs propres solutions pour cibler plusieurs plateformes) et qui ne sera pas révolutionnée.

Le marché global du logiciel sur ordinateur personnel, toute plateforme confondue, n’est plus dynamique depuis bien longtemps.

Chercher à le bouleverser ne présente que peu d’intérêt.

Nous sommes vraiment sur une part économique marginales de l’écosystème, cela ne créait pas un Eldorado que beaucoup vont essayer de conquérir.

Nous sommes clairement, pour moi, sur une volonté d’étendre facilement une offre en permettant à l’active communauté iOS d’ajouter une cible sans effort.

Je ne crois pas à une convergence plus poussée.

Je peux évidemment me tromper, mais je n’y vois strictement aucun intérêt business ni pour Apple, ni pour les acteurs de l’industrie du logiciel.

avatar YetOneOtherGit | 

@Mike Mac

"Et il y a même des observateurs comme Olivier Frigara, le présentateur de l'émission "On refait le Mac" qui s'attend à un Macbook ARM tactile... La Surfacisation du Mac en quelque sorte."

Le gars évoque ses abjectes envies de monstres de Frankenstein et prends ses rêves immondes pour des réalités.

J’ose espérer que jamais Apple ne sombrera dans cette médiocrité. 🤢

PS : Je n’ai jamais eu beaucoup de respect pour la qualité intellectuelle des analyses du présentateur de ORLM c’est assez médiocre et vulgaire en général tout comme leur partenaire de Mac4Ever qui est affligeant de vacuité.

Tout ça est vraiment très loin de la qualité du travail rédactionnel de MacGe 😉

avatar YetOneOtherGit | 

@Mike Mac

Si un Mac basé sur le paradigme WIMP à écran tactile apparaît ce sera vraiment la mort de l’esprit d’élégance conceptuelle de SJ chez Apple 🥺

avatar YetOneOtherGit | 

@Mike Mac

Bon tu connais la clef pour me faire voir rouge et sortir de mes gonds 👅😉

avatar Acajou75 | 

L’avenir est excitant !
Ces dernières années, c’était plan plan les macs, là cela va être le big-bang !

avatar ejux | 

quelqu'un connait le nom de l'action boursière de TSMC ?

avatar osv974 (non vérifié) | 

Hâte de voir le 1er MacBook Pro 13/14 sous arm
Avec les 1er bench processeur et gpu.

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