Pixelmator Pro saura gérer du texte le long d'un tracé
La prochaine version 1.7 de Pixelmator Pro sur Mac va offrir une fonction de saisie d'un texte le long d'un tracé curviligne. C'est une manière de présenter un texte à l'intérieur d'une illustration qui est courante avec les autres applications du même acabit que Pixelmator, mais qui manquait toujours à celle-ci.
Les développeurs se sont reposés sur le moteur de rendu de macOS et précisent que les emojis comme les polices SVG pourront être utilisés au même titre que les caractères classiques.
Deux autres nouveautés d'importance sont promises pour cette mise à jour, mais pas encore dévoilées, et il faudra patienter encore quelques petites semaines pour la télécharger. Pixelmator Pro est vendu 44 € — on en est à la version 1.6.4 — et il a besoin de macOS 10.13 au minimum.
Oh, enfin ! 👏👏👏
Faudrait qu’on m’explique l’intérêt de faire deux applications, si c’est pour au final y mettre les mêmes fonctions.
@iPop
?
@iPop
Que disait Doug McIlroy, le concepteur du piping en Unix, à propos des principes fondateurs de la programmation ?
« (i) Make each program do one thing well. To do a new job, build afresh rather than complicate old programs by adding new features.
(ii) Expect the output of every program to become the input to another, as yet unknown, program. Don't clutter output with extraneous information. »
On s’en éloigne un peu plus chaque jour, chaque heure.
Ah finalmente ! 😎🥳
Enfin !
J'adore Pixelmator (classique et Pro).
Cependant, il me semble que ces app ont clairement perdu de leurs intérêts depuis la sortie de la suite Affinity
https://affinity.serif.com/fr/
@Crunch Crunch
Sachant que l’intérêt dont tu parles est la simplicité d’utilisation, je pense que Pixelmator reste tout à fait pertinent face à l’usine à gaz qu’est Affinity...
@Namingway
Tout à fait. J’ai Affinity Photo mais j’utilise Pixelmator (plus rapide)
@Namingway
" l’usine à gaz qu’est Affinity..."
Pour résoudre des tâches complexes, on se trouve face à deux sortes d’outils : ceux d’une complexité adéquate et proportionnelle, car modulaires ; et ceux sous-complexes. La sous-complexité entraîne la complication.
Affinity Photo fait partie de la première catégorie ;
Pixelmator Pro de la seconde.
@occam
Rien compris 😐
@Namingway
J’ai les deux, et je ne suis pas spécialiste, mais quand je veux sortir un résultat rapide , j’ouvre Pixelmator. Quand je sais que je ne pourrais pas obtenir un résultat rapidement, j’ouvre Affinity.
Les deux m’ont permis de ne plus avoir à ouvrir Photoshop, avec lequel je n’obtenais ni un résultat rapide, ni un bon résultat. Mais je répète, je ne suis pas un spécialiste.
@Namingway
La traduction:
"Faites bien à chaque programme une chose. Pour faire un nouveau travail, construisez à nouveau plutôt que de compliquer les anciens programmes en ajoutant de nouvelles fonctionnalités.
(ii) Attendez-vous à ce que la sortie de chaque programme devienne l'entrée d'un autre programme, encore inconnu. N'encombrez pas la sortie avec des informations étrangères. »
@iPop
Non je parlais de son histoire de tâches complexes et de complexité compliquée 😜
@Namingway
Mon interprétation alors :
Pour résoudre des tâches complexes, mieux vaut un logiciel suréquipé (et donc complexe) qu’un logiciel sous-équipé (et donc simple). Dans le second cas, on sera obligé de tordre les usages pour arriver à ses fins, ce qui est au final plus compliqué que d’utiliser des outils prévus pour et documentés…
@Derw
Ça semble logique vu comme ça 😌
@Namingway
Laisse!
C’est notre professeur nimbus à nous.
Il est un peu étrange.
Parfois on le croise en train de suçoter de vieilles reliures poisseuses, philosophant sur la destinée du neurone de saumon élevé sur carte-mere !
Faut rien lui dire.
Ça peut être dangereux.
Il bloque sur la ponctuation après et nous sort des messages en morse.
E N F I N !!!!!!