Labo de Logic Pro 7.1

La redaction |
Le premier logiciel de musique que j’ai acheté, il y a 16 ans, s’appelait Notator et il tournait sur Atari ST. Il a été mon compagnon de composition durant des années. Et, au fil des évolutions, il a migré sur Mac et PC, il a changé de nom, puis il a été racheté par Apple. Aujourd’hui, il s’appelle Logic Pro, il en est à la version 7.1, et n’a plus grand-chose à voir avec son ancêtre.



Depuis sa version 6, il y a déjà quelque temps, Logic est devenu un monstre : alors qu’auparavant, il ne possédait pas d’instruments virtuels – on devait acheter ceux-ci à part, au format VST, et ça pouvait coûter fort cher – la version 6 a intégré tous les instruments produits par son fabricant de l’époque Emagic : le sampler EXS-24, le piano électrique EVP-88, l’orgue hammond EVB3, les synthés ES1 et ES2, le vocoder EVOC 20, notamment. La version 7 a repris la même philosophie en y ajoutant de nombreuses nouveautés. Un monstre, donc : le carton contient deux DVD pleins à craquer pour l’installation et 1600 pages de manuels. Dès lors, je ne vais pas vous le présenter dans son ensemble, mais juste mentionner les principales nouveautés.

Les grands plus

En matière de plug-in, la nouveauté la plus intéressante introduite avec la version 7.0 s’appelle Sculpture, un synthétiseur qui utilise, comme générateur de base, une simulation de corde ou de barre vibrante. On peut choisir la matière qui la constitue (nylon, métal, bois, etc.) ainsi que son environnement (air, eau, etc.). Puis on peut exciter cette corde avec trois objets, de différents types et placés à différents endroits : marteau, archet, pincement, etc. Ces objets peuvent aussi amortir ou gêner la vibration de la corde.



Notons que si Sculpture sait bien imiter les guitares ou le clavecin, il peut aussi générer des sons qui n’ont rien en commun avec un quelconque instrument à cordes existant. La grande force de l’engin vient, à mon avis, du fait que si la corde vibre encore lorsqu’on ajoute une nouvelle note, la vibration de celle-ci interagit avec la première. Les sons de Sculpture sont dès lors extrêmement évolutifs, organiques et d’une richesse incroyable. D’accord, cet instrument mange beaucoup de ressources du processeur, mais les sons qu’il produit prennent tellement de place qu’on se contentera, dans la plupart des cas, d’en user avec parcimonie. Sur une boucle répétitive, par exemple, l’évolution harmonique des sons peut donner des résultats surprenants. Prévoyez tout de même quelques heures de travail pour en tirer autre chose que les presets d’usine : la bête n’est pas simple à dompter, quoi qu’en dise le manuel.

Le deuxième instrument qui sort du lot s’appelle Ultrabeat et c’est en quelque sorte une grosse boîte à rythme. 24 voix sont assignées aux 24 premières notes du clavier (depuis le Do1). Une 25e voix couvre trois octaves à partir du Do3. Pratique pour les sons de basse. Chaque voix est constituée de deux oscillateurs et d’un générateur de bruit, l’oscillateur 2 pouvant lire des échantillons en plus des formes d’ondes classiques. Le son passe alors dans circuit de synthé traditionnel : filtre, enveloppes, LFO.



Ultrabeat contient également un séquenceur pas à pas, un peu à la manière d’une bonne vieille Roland TR-808. Personnellement, je n’y vois pas vraiment d’intérêt, habitué que je suis aux outils traditionnels de Logic qui sont parfaits pour générer des boucles, mais peut-être d’autres voudront-ils créer des rythmes complets dans Ultrabeat. Si les échantillons proposés d’usine sont bons, l’imitation de batteries acoustiques ou de percussions naturelles n’est pas la tasse de thé d’Ultrabeat. En revanche, dans le domaine des sons électroniques, c’est le genre d’outil qui peut faire mal. Mais prévoyez un peu de temps pour l’apprivoiser : certains paramètres sont bien cachés, comme les boutons de routage des oscillateurs au travers du filtre (au début, j’ai cru que c’était des vis, des fausses vis, pour faire joli). Et n’oubliez pas qu’un plein écran ne représente qu’une seule des 25 voix disponibles.



Un détail d’Ultrabeat. Ce que je croyais être des vis sont en fait des boutons de routage des oscillateurs au travers du filtre. Il faut cliquer dessus pour qu’ils s’activent (en rouge).

Au niveau des plug-ins d’effets, j’adore le Guitar Amp Pro, un simulateur d’ampli de guitare qui possède 11 modèles d’amplis et 15 modèles de haut-parleurs que l’on peut combiner à l’envi. Dès que vous avez pensé à placer un Guitar Amp Pro sur un EVP-88, vous ne l’enlevez plus jamais (à moins d’avoir recours à des plug-ins externes ou à un vrai Fender Rhodes). Encore une combine qui va donner du fil à retordre à votre processeur.



Je ne peux pas résister non plus à vous parler de Space Designer, la réverbe à convolution de Logic, même si celle-ci était déjà intégrée à la version 6. Un mot peut-être sur le principe de la convolution, hyper à la mode en ce moment dans le domaine des réverbérations numériques : première étape, on relève l’empreinte sonore d’une salle en produisant un impact sonore très bref, genre coup de pistolet, et en échantillonnant l’évolution du son au cours du temps. On crée alors un fichier qui contient cette évolution. Deuxième étape, pour faire sonner un son quelconque comme s’il était produit dans la salle choisie, on applique ce modèle d’évolution à chacun des points du son. Mise en oeuvre au sens strict, la convolution nécessite une quantité incroyablement élevée de calculs. En pratique, à défaut de confier nos réverbes aux ordinateurs de la NASA, on utilise des algorithmes psychoacoustiques qui permettent de soulager le processeur sans trop y perdre au niveau sonore. C’est donc ce que fait Space Designer. Et de fort belle manière ! Si une bonne Lexicon tient toujours la concurrence (mais à quel prix), les autres réverbes intégrées de Logic se trouvent reléguées au rang de gadgets ridicules.



Si vous désirez faire tourner un morceau sur une autre machine que celle sur laquelle il a été créé (ce qui arrive fréquemment lors de prises de sons réalisées en plusieurs endroits ou de mixages confiés à un autre studio), il faut penser à ne rien oublier : les fichiers audio, les réglages des instruments virtuels, les samples de l’EXS24, etc. Eh bien, Logic 7 possède une fonction pour vous simplifier la tâche : le gestionnaire de projets. Il s’occupera de tout, s’assurera que tous les fichiers sont là. Il pourra aussi vous aider à faire de la place sur votre disque dur en effaçant les fichiers inutiles tout en veillant à ce que ceux-ci ne soient pas utilisés par un autre morceau. Voilà un outil génial !



Bon, il est temps de vous dire comment nous allons faire pour utiliser tout ça en même temps. Parce que les gens de Logic y ont pensé, avec ce qui s’appelle le traitement audio distribué. Si vous avez un deuxième Mac sous la main, ou même plusieurs, vous pouvez les relier à votre ordinateur principal par un câble Ethernet (via un routeur, au besoin). Un petit logiciel appelé Logic Node, livré avec Logic Pro et installé sur ces machines, permettra à Logic de partager la puissance de calcul entre les processeurs. Le mode d’emploi est exigeant quant à la configuration minimale nécessaire : les processeurs doivent être des G5 et la carte Ethernet doit avoir une bande passante d’un Gb/sec. L’idée est géniale, mais pas toute simple à mettre en œuvre : il faut d’abord désigner les machines présentes sur le réseau, puis définir pour chaque piste si l’on désire qu’elle soit traitée par le processeur principal ou par un processeur externe (un node). On confiera aux nodes les pistes audio qui consomment beaucoup, mais qui peuvent supporter une certaine latence. Les instruments virtuels que l’on désire jouer en direct devront rester sur le processeur interne. Dommage que le système ne puisse pas lui-même s’occuper de cette répartition.

Les petits plus et les petits moins

Logic Pro 7 offre aussi quantité de petites améliorations qui rendent la vie plus agréable. Il est par exemple possible d’enregistrer simultanément plusieurs instruments virtuels différents, ou des pistes audio et des instruments virtuels. C’est utile si vous enregistrez un groupe complet, avec deux claviers qui pilotent des plug-ins de Logic, par exemple. Logic inclut également une série de pistes globales qui gèrent l’une le tempo, une autre la signature rythmique, une encore les marqueurs, etc. Vraiment pratique.



Deux plug-ins d’équalisation méritent aussi d’être mentionnés : Linear Phase EQ modifie le spectre sans toucher la phase, comme son nom l’indique. C’est utile surtout pour le mastering. Match EQ analyse la courbe de fréquences d’un fichier audio donné et applique cette courbe à un autre fichier,le but étant par exemple d’unifier plusieurs morceaux d’un album ou de « repiquer » le spectre d’un mixage de référence.



J’ai essayé ce dernier cas de figure avec assez peu de succès. En revanche, Match EQ m’a sauvé la vie dans une autre situation : je mixais un morceau contenant une vraie batterie et je voulais ajouter un passage au charleston à l’intro que le batteur n’avait pas joué. J’ai créé ce passage avec un son de batterie de l’EXP24 (le sampleur de Logic), j’ai demandé à Match EQ de faire correspondre la piste du vrai charleston à celle que je venais de jouer et, miracle, on n’y entend que du feu.

Un détail un peu plus technique, mais à relever tout de même : depuis sa version 7.1, Logic peut unifier automatiquement la latence entre les pistes. Petite explication : lorsque vous attribuez plusieurs plug-ins d’effet sur une piste, ou que vous la faites passer par différents sous-groupes, elle sonnera avec quelques microsecondes de retard par rapport aux autres. Auparavant, cette latence pouvait créer des problèmes de déphasage, et cela prétéritait Logic par rapport à la concurrence (Cubase, notamment), qui incluait déjà la correction automatique. Avec la fonction « Compensation de retard de Plug-in », tout rentre dans l’ordre à ce niveau-là. Logic retarde certaines pistes et envoie tout en même temps dans la carte son.

Quelques petits moins, tout de même : dans la fenêtre d’environnement, vous pouvez afficher le volume des pistes audio soit en dB, soit en valeurs numériques (de 0 à 127), mais pas les deux à la fois. Alors si vous avez choisi le mode numérique, vous ne saurez pas de combien vous devrez reculer le fader si l’indicateur de «margin » vous dit que votre piste sature de 1.5 dB ; et si vous avez choisi le mode dB, vous ne saurez pas à quelle valeur correspond la position du fader si vous voulez insérer un changement de volume dans la fenêtre d’arrangement. C’est comme ça depuis Logic 3 (au moins), et c’est curieux que ça n’ait jamais été corrigé.

Mentionnons aussi le gel des pistes audio (« freeze », en anglais) : une fonction vraiment pratique qui crée un fichier audio de la piste que vous avez choisie (typiquement un instrument virtuel auquel vous avez ajouté des effets), de sorte que celle-ci nécessite beaucoup moins de ressources en lecture. C’est LA fonction à utiliser pour les sons générés par Sculpture puis passés au travers de Space Designer. Mais ce qui me dérange, c’est que même si la piste à geler ne joue que durant 4 mesures au milieu d’un morceau, le gel de piste va scanner tout le morceau, de la première à la dernière seconde (et gare à vous si vous avez placé la fin du morceau à la mesure 2035). De plus, une piste gelée l’est toujours en entier : impossible de ne geler qu’un passage particulièrement chargé et de laisser la même piste libre à un autre endroit pour d’éventuelles modifications. Parfois, il vaut mieux faire un « bounce » de la piste et créer une piste audio pour lire le résultat, comme dans Logic 4. Dommage, on y était presque.

Quand j’ai reçu Logic 7.0, il y a un peu plus d’une année, je vous avoue que j’ai été un peu déçu malgré toutes les qualités que j’ai mentionnées plus haut. C’est que tout y était insupportablement lent. Entre le moment où je pressais sur « enregistrement » et le moment où celui-ci démarrait, il s’écoulait une ou deux interminables secondes ; les ascenseurs étaient presque inutilisables tant ils faisaient sauter l’image dans tous les sens. Et, le pire, la plupart des plug-ins tierce-partie que je possédais depuis Logic 6 ne fonctionnaient plus sans émettre d’affreux craquements.

Il faut dire qu’à l’époque, je travaillais sur un G4 QuickSilver monopresseur qui arrivait en bout de course. Depuis, j’ai investi dans un G5 bipro, avec 3,5GB de RAM, et entre-temps j’ai acheté la version 7.1 de Logic, qui a été optimisée. Avec cette configuration, c’est le rêve. Tout est à nouveau fluide, presque autant que ne l’était Notator sur mon Atari cadencé à 7MHz (il fallait que je la glisse, celle-là), et la différence de vitesse de traitement est époustouflante : alors que sur le G4 je pouvais tout juste utiliser une instance de « Space designer », maintenant je peux en insérer cinq ou six sans problème, tout en ayant en parallèle une trentaine de pistes audio et plusieurs instruments virtuels. Ceci pour dire que si vous voulez bénéficier de toute la puissance de Logic, et d’un confort d’utilisation acceptable, vous aurez absolument besoin d’une machine de course. Pas de salut si vous ne possédez pas un G5. Dommage pour les utilisateurs de portables… ou une raison de plus d’attendre le PowerBook Intel.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
une grosse lacune également à signaler: l'impossibilité de traiter une région audio en lui appliquant un effet de manière destructive ( audiosuite pour les pro..), ou un plug in... Pour le reste, rien à redire, c'est un monstre.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Je viens d'acquérir Logic Pro 7.1 et à un super prix en plus (être étudiant n'a pas que des inconvénients !!). Avant j'utilisais Cubase VST sous OS9 et je n'ai jamais pu me faire à SX. Ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien. Logic c'est très bien même sur un power mac G4 à 733 mhz. Mais il est vrai que je découvre juste l'outil et que je n'ai pas essayé de faire tourner une séquence bourrée d'effets et d'instruments virtuels. De toute façon je rêve d'un powermac G5 !! A bientôt!
avatar Anonyme (non vérifié) | 
De plus, au passage vers la version 7.0 il y a eu pas mal de bug, certes corrigé, mais il y'en a toujours, et je sens le coté instable comparé au moment ou c'était géré par Emagic.
avatar Le Vendangeur Masqué | 
L'Atari ST tournait à 8 MHz, pas 7 !
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Utilisateur de logic sur un bi G4 1,4 ghz...très fluide avec près de 15 plugins en simultané...Pas besoi nde G4!!!
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Malgré toutes ces évidentes qualités, Logic reste d'une grande lourdeur d'utilisation, et précisément pas très "logique". Comparez ProTools : c'est le jour et lanuit. Je suis MUSICIEN et pas bidouilleur d'Atari (donc j'étais Amiga... sourire). Je demande un outil musical, intuitif, qui ne m'impose pas des schémas de pensée. De plus, avec un Powerbook G4 1,25, même gonflé à bloc, c'est l'enfer... Et je ne me vois pas me balader avec un G5 sous le bras... Enfin bon, j'avoue tout de même que c'est un bel outil, certes perfectible.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
le seul protools qui fonctionne bien c protools HD qui coute une fortune voila tous le monde et au courant
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Et oui c'est l'Amiga 500 qui tournait à 7,14 Mhz. J'utilisais Octamed avec une carte son 16 bit sur Draco (amiga clone), nostalgie quand tu me tiens... Sinon, Logic Pro est une belle bête, ok, mais pour le même prix je me suis acheté une carte digi 002 avec Protool LE 7 (franchement bien optimisé pour les RTAS), le rapport qualité prix est à mon avis imbattable. Et fonctionne parfaitement sur mon powerbook 1,33.
avatar Thomas | 
et bien moi je reste sur la version Express...largement suffisante quand on possède les versions hardwares des instruments virtuels (voire en mieux) : (Prophet-5, Wavestation, S-760, ASR10, Lexicon, Wurlitzer, Linndrum, TR-808, TR-909, MPC3000...) Aussi pour que tout cela semble logique, il est absolument vital de comprendre l'environnement, à partir de là, c'est du bohneur.
avatar Dadourun | 
Moi, j'ai pas bien compris l'environnement (ni le rewire, mais j'arrive à peu près à faire tourner Reason quand même), alors c'est pas franchement le bonheur... Pourtant, je bosse tous les jours sur PC... c'est dire si c'est in***table ! Honnêtement, le changement de marque (Emagic=>Apple) ne se justifie que si l'on retrouve l'ergonomie Apple dans ce logiciel. Vivement Logic 8 !!
avatar Anonyme (non vérifié) | 
INCROYABLE Logic Pro 7 !!! Je n'ai jamais autant lu de personnes se plaindre que sur ce site.... Je n'arrive pas à comprendre. Pour ce qui disent travailler sur un PC la MAO, je leur souhaite bonne chance et bon courage... J'ai choisi Mac et Logic en mars 2005, et depuis ma vie a changer, et depuis mon studio analogique je n'ai jamais, mais alors JAMAIS ressorti un seul disque... Alors que la je prépare déjà le 3ème ! et ce grace à l'INROYABLE qualité audio de Logic... Même Pro Tools est largué et les gens de chez Digidesign travaillent sur une version qui, comme par hazard se rapprochera encore une fois de Logic! Et comme par hazard les pluggins TDM pour Pro Tools ne sortent pas tous en RTAS mais en AU maintenant.... Ca crêve les OREILLES tellement ce n'est pas comparable avec tout le reste, et en TOUS points supérieur!!!!! Merci Apple.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
euh modéront un peu ZzoundsS : Pro Tools HD et je dis bien HD n'a pas d'équivalent, tous simplement à cause des cartes acceleratrices qui permettent de faire des miracles, en nombres de pistes et en plug in gourmant style Waves. D'ailleurs c'est bien précisé dans les moins du test ci présent : les points négatifs : La gourmandise en ressources matérielles. Evidemment le systeme HD coûte une fortune, et ne sert que si on l'amorti.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Bien sûr, mais je pèse bien tous mes mots... Surtout lorsque j'entends parler de PC (Plante Constament...)... Mais franchement, vous me parlez d'un Pro Tools HD... C'est sûr... Mais pour beaucoup moins cher je préfère tourner sur un Mac + Logic + Xserve en Node... J'utilise pour info une digi 002 avec logic et c'est déjà un régal !!!! C'est de loin sur MAO (ce que je disais déjà), le meilleur soft que l'homme n'ai jamais créer depuis que l'informatique existe... Et je mesure toujours mes propos... Que cela n'en déplaise à certain ! A bon entendeurs...
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Il faut essayer chaque logiciel, perso j'utilise logic express pour le support video vraiment excellent, mais pour les compo musical depuis Protools LE 7 j'ai changé d'avis et le préfère à Logic. Chaque soft évolue et si l'un pique des truc à l'autre pour s'améliorer: tant mieux, non?

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