Photoshop CS 2

La redaction |
Photoshop est devenu, avec les années, le logiciel professionnel incontournable de la retouche et du travail des images fixes. Cette version, numérotée 9.0, est disponible seule à la vente ou bien entendu dans les deux éditions de la Creative Suite. L'installation du logiciel nécessite au moins un processeur G3 avec 192 Mo de RAM (256 Mo sont recommandés), Mac OS 10.2.8 et une connexion internet pour l'activation du produit. Au référencement, Adobe offre alors une heure de plus de formation Total training ou un jeu de Typo. L'appareil ayant servi au test est un Power Macintosh G4 QuickSilver 733 MHz, 1 Go de RAM, fonctionnant sous Mac OS 10.4.2. L'installation de la suite complète a pris une heure, le temps d'engloutir les quatre CD fournis par Adobe. Le temps estimé par Adobe serait de 20 minutes avec une configuration d'ordinateur plus d'actualité.

Les nouveautés

Une fois l'installation du logiciel effectué, l'utilisateur de Photoshop n'est pas perdu. Les fenêtres et autres palettes d'outils conservent les mêmes noms, les raccourcis claviers demeurent les mêmes et, esthétiquement, il n'y a pas de révolution majeure, si ce n'est la forme des fenêtres légèrement arrondies. Les nostalgiques remarqueront la disparition du pinceau de sélection des calques, remplacé par un encadrement du calque sélectionné et quelques modifications dans la gestion des calques. Surprenant à la première utilisation, mais très vite oublié.

Par ailleurs, les menus sont à présent personnalisables par code coloré et mémorisable dans la configuration souhaitée, ce qui vous permettra de mieux définir l'interface dans laquelle vous souhaitez travailler ; vous pourrez alors masquer les sous-menus qui ne vous sont pas utiles. Cette commande peut s'avérer assez pratique si vous l'associez à l'outil de personnalisation (existant déjà dans la version précédente) des raccourcis clavier. Cela vous permettra de ne plus vous perdre dans les arborescences des menus et de gagner ainsi du temps dans le traitement des taches. Cette nouvelle fonction se combine avec celles des Scripts événementiels. Cette nouveauté vous permettra ainsi de définir des actions qui se dérouleront toujours de la même manière au niveau des points de flux de productions. C’est-à-dire qu'il est maintenant possible d'attribuer à une action courante (du type enregistrer un document) l'exécution automatique d'un script (par exemple, réaliser une copie du document en .jpeg).



La liste des nouveautés est longue, et beaucoup de petits plus ont été rajoutés. À défaut de tout détailler, nous allons pointer ici les principales nouveautés. Ainsi, de nombreux "nouveaux" outils sont mis à la disposition de l'utilisateur. Par exemple, le filtre "réduction de bruit" très utile dans la réduction des artefacts dans les zones sombres des photographies ou le filtre "netteté" optimisé qui devient une alternative au traditionnel filtre d'accentuation en permettant un travail plus ciblé (en mode avancé) de l'accentuation selon les tons sombres ou clairs. Cet outil ne remplace évidemment pas un travail minutieux sur différents calques d'une même image auxquels on applique une accentuation plus ciblée, puis que l'on réintègre, mais cela nous permet de travailler rapidement sur une retouche plus légère et sur des images qui ne nécessitent pas toujours un tel effort de travail. Un nouvel outil de correction des aberrations de l'objectif (déformation optique, chromatique, vignettage, perspectif) regroupe de façon utile les tâches à effectuer pour une retouche rapide des défauts récurrents d'une photographie. Pour exemple, une photographie prise au grand angle d'un bâtiment en contre-plongée avec une optique qui vignette (apparition de zones sombres sur les bords de l'image) ces défauts sera plus facilement et rapidement atténuée.



L'outil processeur d'image porte, lui, bien son nom. C'est un émule du traitement par lot, à la seule différence qu'il est plus intuitif et que l'on peut revenir plus facilement sur les quelques paramètres cruciaux lorsque l'on convertit à la volée plusieurs fichiers images. On peut également lui adjoindre un script et définir les informations de copyright. Cet outil permet à l'utilisateur de redimensionner et d'enregistrer des fichiers images en .jpeg .psd ou .tiff dans le même dossier ou un autre. Il est seulement dommage que ce genre de script oblige l'utilisateur, lors des redimensionnements, à définir la hauteur et la longueur de l'image, excluant ainsi la possibilité de traiter de façon homogène des photographies prises horizontalement et verticalement, réunies dans un même dossier. Il serait intéressant que ce genre de modification soit pourtant apporté pour que cet outil devienne vraiment pratique.

Le très médiatisé outil point de fuite révolutionnaire d'apparence anecdotique est d'un usage très ciblé. Il va toutefois s'avérer très utile aux adeptes de simulation d'espace 3D photo réaliste et aux bricoleurs d'images en tout genre. Il permet en effet, très facilement, de dupliquer et d'appliquer un motif ou toute une zone d'une image en l'intégrant dans son prolongement, tout en respectant sa perspective.

Enfin, l'outil correcteur de ton direct s'avère quant à lui très utile pour le "nettoyage" des images, remplaçant avantageusement, dans de nombreux cas, sur des zones de l'image unie (ex. : le ciel), l'outil correcteur, ce qui permet à l'utilisateur de s'affranchir de la définition d'une zone source. En revanche l'outil anti-yeux rouges, d'un usage plus amateur, semble beaucoup plus anecdotique et de rendu qui n'est pas toujours heureux.

Pour l'utilisation des polices, un petit effort est à remarquer avec l'apparition en face de leur nom, de leur apparence et de leur type. Dans le registre des petites nouveautés qui améliorent la vie : cette nouvelle version est dotée d'un choix plus étendu de fonctionnalités d'enregistrement PDF et d'un meilleur contrôle de suivi pour les impressions.

De façon générale, de nombreuses améliorations ont été apportées pour de meilleures convergences entre les applications de la Creative Suite. On peut synchroniser les différentes applications entre elles afin d'obtenir un rendu de couleur homogène de l'une à l'autre. Pour revenir à Photoshop, dans cette même logique de convergence, les séquences animées travaillées sous Image Ready, sont directement importables sur Photoshop et chacune des images dans la séquence est modifiable indépendamment, Photoshop est doté ainsi de la fenêtre animation ce qui évitera beaucoup de "voyages" entre les deux applications. De la même façon, et c'est une très bonne nouvelle, Photoshop intègre les objets dynamiques. Les allez et retour entre Illustrator et Photoshop sont moins importants, car un tracé vectoriel ou un document PDF importé en calque sous Photoshop est conservé, et peut être transformé de façon illimitée sans destruction du fichier originel. Photoshop réimporte alors les données sources et recalcule le tracé à chaque transformation de l'objet dynamique. L'objet n'est donc définitivement pixellisé qu'au moment de l'aplatissement des calques. Ce qui permet une plus grande souplesse de travail dans l'utilisation des calques.
Cette version de Photoshop permet également un traitement encore plus étendu des images en mode 16 bits, de nombreux filtres sont maintenant accessibles, et des modifications de l'image jusqu'alors uniquement possible lors d'un ré-échantillonnage 8 bits peuvent être effectuées directement.



Il y a encore le rendu HDR (High Dynamic Range) 32 bits. Présentée comme une petite révolution, cette fonctionnalité vous permet de faire fusionner différentes images exposées différemment (voir capture d'écran). C’est-à-dire de réunir dans un seul et même fichier image de 32 bits la somme d'information lumineuse des images. Pour le dire autrement : Si vous avez au moins 3 photographies d'un même lieu, prisent sous un même angle de vue (trépied nécessaire, même si une case vous propose que Photoshop "recolle" les images) avec 3 types d'exposition -une sous-exposé (haute lumière de l'image préservée) une exposé normalement et une surexposé (basse lumière de l'image débouchée, Photoshop va alors collecter les informations de toutes ces zones et les réunir dans une seule et même image ou toutes les zones seront convenablement exposées. Le logiciel propose alors une image en .pbm sur laquelle on pourra intervenir à l'aide de 4 menus au moment de la conversion en 16bits ou 8bits par couche. Cette fonctionnalité sera très utile pour les rendus 3D et pour les photographes exigeants, mais demande un certain temps de familiarisation et un ordinateur puissant.

Enfin, le module Camera RAW est amélioré. Il sert à développer les images réalisées depuis les appareils numériques en format natif (c'est à dire avec toutes les données constructeur sans compression dans un format de fichier autre que JPEG, sans avoir à chaque fois à passer par le logiciel constructeur). Il permet d’y apporter des modifications non destructives de type luminosité, contraste, netteté, etc. Il autorise le traitement par lot et une plus grande intervention sur les fichiers avant de les basculer ou de les enregistrer dans un fichier Photoshop. En outre les modifications apportées depuis Camera Raw sur le fichier natif peuvent maintenant être enregistrées sous le format que prône Photoshop : .dng (Digital Negative). Ce format permet de conserver les données originelles du constructeur, mais surtout d'harmoniser et de pérenniser les fichiers natifs de différents constructeurs d'appareils photo numériques en un même support, réglant par la même occasion des problèmes d'archivage.



Pour finir, une des grandes nouveautés de Photoshop est l'arrivé d’Adobe Bridge qui se définit comme un gestionnaire de fichiers avancé, acceptant en prévisualisation tous les formats de la Creative Suite.



Les fichiers apparaissent sous forme de vignettes personnalisables avec ou non (selon le type de navigation choisie) leurs métadonnées et les mots-clefs attachés. Pour le photographe revenant d'une séance de prise de vue, il facilite le travail d'édition permettant de définir (par code coloré ou notation) les images à retenir. On peut alors visualiser les sélections d'images sous forme de diaporama, les réorganiser (le glisser-déposer fonctionne), les renommer, les enregistrer, les envoyer à traiter dans camera raw, ou, bien entendu, les ouvrir directement, depuis le gestionnaire, dans Photoshop. Ce gestionnaire de fichiers permet également de commander des tirages, d'afficher les différentes versions d'un même fichier dans un projet défini sous Adobe Version Cue et d'accéder directement à Adobe Stock Photo.

L'apparition d'Adobe Stock photo a créé un débat assez houleux, car Adobe intègre ainsi directement à son logiciel l'accès à des banques d'images en ligne de photographies et d'illustrations libres de droit. Le principe est simple : on effectue une recherche d'images par mots-clefs ou par thèmes puis on sélectionne l'image et on télécharge gratuitement une image de faible résolution pour la composition. Ensuite on peut acheter l'image à des prix variant en fonction de la taille de fichier et l'image est alors exploitable commercialement sous réserve de respecter les clauses du contrat de licence Adobe pour les images gratuites (ces images ne sont donc pas gratuites, car il faut quand même les acheter pour les utiliser). Le principe existait déjà auparavant, mais il fallait alors se connecter aux différentes banques d'images. Certains utilisateurs verront ces possibilités comme un plus permettant, ainsi, d'accéder facilement et rapidement à des illustrations de qualités. Ces illustrations sont issues de différentes banques d'images (images propres d'illustrations, mais sans caractères). D’autres utilisateurs verront en cette implémentation le risque d'une banalisation de "l'image banque", d'un monopole accru des grandes banques d'images et un nouveau coup porté aux photographes indépendants qui ne peuvent rivaliser avec les coûts et la diffusion des images issues de ces banques. Pour permettre une alternative, Adobe stock photo propose cependant un annuaire de photographes (non disponible pour la France et existant dans seulement 4 pays d'Europe) qui permettra aux utilisateurs de passer commande aux photographes en fonction de leurs spécificités et de ses besoins. Cet annuaire nécessite toutefois de la part des photographes d'être adhérent auprès d'une association ou d'un groupement qui est lui-même en partenariat avec Adobe. En bref, cet outil n'est ni plus ni moins une connexion à différentes banques d'images et facilite ainsi le travail des personnes qui y ont recours.

À l’utilisation

Il est a noté que sur un G4 733 MHz pourvu de 1Go de Ram et doté de Mac OS X 10.4.2, il n'y a pas gain vitesse sensible à l'utilisation par rapport à la précédente version. Reste que sur les G5, Photoshop est désormais capable d'adresser 3,5 Go de RAM contre 2 Go précédemment. Dans ce genre de configuration, il est à souhaiter que le gain de vitesse se fasse sentir. C'est à l'utilisation des nouvelles fonctionnalités de Photoshop que l'on mesure le besoin d'une machine plus véloce. Adobe bridge et camera raw sont tout à fait exploitable en l'état, mais, et c'est une évidence, plus on utilise des fichiers images "lourds" plus il faut être patient (créer une image en rendu HDR pour les besoins de ce test a nécessité jusqu'à 10 minutes de calcul).

La qualité de l'interface a été améliorée avec de nouvelles possibilités de personnalisation, mais qui connaît déjà une version antérieure de Photoshop sera tout à fait a l'aise. Il est à noter que Bridge se montre un assez bon modèle d'intégration à Mac OS X puisqu'il reprend en fenêtre de navigation les compartiments de la fenêtre du Finder et qu'il peut même le supplanter dans la recherche de fichiers.

C'est principalement dans la plus grande convergence entre les applications qui permet à cette nouvelle version de Photoshop de gagner en productivité (que ce soit dans la modification d'animations destinées à Internet ou à la gestion de tracés vectoriels comme nous l'avons décrit plus tôt) qu'on voit l'intérêt de la mise à niveau. Adobe Bridge s'avère un outil à l'usage très utile, et qui manquait réellement aux versions antérieures.Les nouvelles possibilités d'automatisation vont également dans ce sens ; quant à Camera Raw, le fait qu'il accepte tous les fichiers natifs des différents fabricants d'appareils photographiques et qu'il soit bien intégré a Photoshop et à notre plateforme, le rend quasiment incontournable par rapport aux softs équivalents fournis avec les appareils numériques.


Conclusion

Les améliorations apportées à Photoshop vont principalement vers une plus grande convergence avec les autres outils de la Creative Suite. On a de moins en moins besoin de recourir à d'autres applications, le gain de productivité pour l'utilisateur et les avancées du logiciel sont réels. En revanche, pour les utiliser de façon souple il faut forcément recourir à un matériel assez récent (la configuration minimum requise G3 avec 192 Mo de RAM cantonne l'utilisation du logiciel à ces fonctions de base sur des fichiers légers).

Pas besoin d'être professionnel de l'image pour avoir besoin et apprécier ce logiciel, c'est seulement le coût à l'achat qui le réserve plus exclusivement au marché pro. Pour un professionnel qui ne possède aucune licence, cette version est réellement intéressante d'autant que depuis l'arrivé de CS 1 premium, pour la somme de 2200€ environ, on réunit tous les logiciels indispensables à une production prépresse ou graphique (Acrobat Professional, Illustrator, In design, Photoshop, GoLive). Le photographe professionnel n'ayant pas les besoins de tous les logiciels de la Creative Suite premium se retrouvera face à de nombreux choix : ou il opte pour la version CS2 standard (1673 € TTC) ou il achète Photoshop 9 de façon individuelle (près de 1100 €) ou il effectue une mise à jour depuis une version antérieure pour notre plate-forme (par exemple Photoshop 7) pour 300 €. Dans le cas d'une mise à jour de Photoshop seul depuis Photoshop 7, l'investissement semble assez mineur en fonction des différents avantages qu'offre cette nouvelle version.

Enfin, et pour terminer, la note maximale n’est pas attribuée pour cette prise en main, car en dépit de toutes les possibilités réelles qu’offre ce logiciel et de sa qualité irréfutable, son prix est très élevé. De plus, face aux dernières nouveautés (comme Aperture), on se laisse à penser qu’Adobe ferait bien de moins en garder sous le coude…
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Quid de la gestion des données IPTC ?? Depuis la version 7.0.1 de Photoshop, Adobe à rendu tout bonnement inutilisable cette fonction. Là où on pouvait ajouter un mot clefs l'un après l'autre, c'est devenu une suite séparés par des virgules, sans parler de la fenêtre d'édition qui est devenu tout simplement inutilisable ... Le tout pour un résultat inexploitable en production.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
"L’installation de la suite complète a pris une heure, le temps d’engloutir les quatre CD fournis par Adobe. Le temps estimé par Adobe serait de 20 minutes avec une configuration d’ordinateur plus d’actualité." -> * 12 minutes si ont fait des images disque sur un disque externe FireWire et en installant sur un iMac G5 * "Objets dynamiques" -> L'auteur oublie de préciser que mise à part l'applicaton d'un mode de fusion, l'édition par réglages ou filtres est impossible sur un objet dynamique. Et sa pixeliisation ne doit pas attendre l'aplatissement, un clic droit sur un objet dynamique révèle de nombreuses possibilités. * "Adobe Stock Photos : D’autres utilisateurs verront en cette implémentation le risque d’une banalisation de "l’image banque", d’un monopole accru des grandes banques d’images et un nouveau coup porté aux photographes indépendants qui ne peuvent rivaliser avec les coûts et la diffusion des images issues de ces banques." -> * Si le photographe est membre d'une association de photographes reconnue par Adobe, alors il pourra aussi vendre ses compositions sur l'ASP. Qu'ils arrêtent de pleurer, c'est l'occasion de vendre leurs photos dans le monde entier à condition d'y ajouter des métadonnées en anglais. L'Europe sera intégrée dans l'ASP dans quelques mois. * -> * Sinon très bon article écrit fort justement. *
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Wolf, on peut enregistrer les métadonnées en jeux et appliquer ces jeux à une série de fichiers.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Vas voir les tarifs des photos libres de droit sur http://www.fotolia.fr/ Autant d'habitude je trouve les photos trop chères, autant là, faut qu'on m'explique comment un photographe peut vivre avec de tels tarifs...
avatar Le Gognol | 
"Il est seulement dommage que ce genre de script oblige l’utilisateur, lors des redimensionnements, à définir la hauteur et la longueur de l’image, excluant ainsi la possibilité de traiter de façon homogène des photographies prises horizontalement et verticalement, réunies dans un même dossier." J'utilise Photoshop Elements 2 et j'hallucine de voir que ce défaut idiot qui m'a souvent fait perdre du temps existe également sur la dernière grosse version (hors de prix) de Photoshop...
avatar Anonyme (non vérifié) | 
et dans les moins je rajouterai un système anti-copie, sitôt sortie sitôt craqué, qui ne fait qu'emmerder les honnêtes gens... surtout quand on change de mac
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Je profite de ce labo pour vous faire part d'une certaine frustation vis-à-vis de PSCS2. Je n'arrive pas à utiliser la fonction HDR sur mon PowerMac G4 1.25 GHz, disposant de 1.75 Go de RAM. Je travaille depuis une image RAW développés en différents tirages de -4 EV à +4EV (environ 8 images). Si quelqu'un parmis vous peux me donner une explication je l'en remercie par avance.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
-> gognol tu peux utiliser la fonction pourcentage dans menu dérooulant au lieu de pixels, il te ferra un redimenssionement correct quel que soit le format de l'image
avatar Fab'Fab | 
Une version lourde, lente et pas ergonomique, voila ce que je j'entends de la part des 11 graphistes qui l'utilisent dans ma boite. Ils sont pourtant sur des G5 dont le plus petit est un 2x2 Ghz et ils otn tous au mini 1,5 Giga de ram...
avatar Timekeeper | 
A propos de la lourdeur : "<i>Il est a noté que sur un G4 733 MHz pourvu de 1Go de Ram et doté de Mac OS X 10.4.2, il n’y a pas gain vitesse sensible à l’utilisation par rapport à la précédente version.</i>" Ca dit pas grand chose : comment ce comportait la version précédente ? Ca doit ramer dé la moèrté nan ?
avatar Ed | 
Je ne comprend pas... Photoshop CS3 est annoncé depuis pas mal de temps... pourquoi reparler de cette version que tout le monde connait?
avatar Le Gognol | 
-> d’ny : Merci pour le tuyau, mais ce menu n'apparaît pas sur Photoshop Elements. Ceci dit ça aurait pu dépanner mais quand on a besoin d'une taille finale précise en pixel le pourcentage n'est pas pratique, surtout si on part d'images de tailles différentes.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Très déçu par la CS2 que j'ai acheté. C'est très lent à lancer, ça occupe 250 Mo en mémoire au démarrage. Photoshop est devenu un veau sur lequel ils greffent des fonctions.
avatar Nebuchad34 | 
Ben chez moi, PSCS2 tourne très bien alors que je n'ai qu'un athon xp 2600+ et 1ghz de ram (oui je sais un pcésite sur mac gé AAAAAAH, mai sj evais switcher bientôt...) il prend 70 Mo en mémoire, c loin des 350 que tu avance

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