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VideoProc Converter AI : un outil IA tout-en-un et accessible pour traiter vos vidéos et images (- 61 %) 📍

Article sponsorisé

samedi 22 novembre à 09:04

Services

On connaît tous cette frustration : vous retrouvez des vidéos de famille sur un vieux disque dur, des moments précieux filmés il y a quinze ans avec votre premier appareil numérique. Vous lancez la lecture, impatient de revivre ces instants, et là... déception. L'image est floue, pixelisée, le cadrage tremble comme si vous aviez filmé depuis un trampoline. Ces souvenirs que vous pensiez préserver pour toujours sont devenus pratiquement inexploitables.

C'est précisément ce type de déconvenue que VideoProc Converter AI s'efforce de résoudre. Ce logiciel combine des outils de traitement vidéo classiques avec des algorithmes d'intelligence artificielle capables de ressusciter des fichiers qu'on aurait autrement relégués au fond d'un dossier oublié.

L'approche est pragmatique : plutôt que de proposer un énième éditeur vidéo généraliste, VideoProc se positionne comme une boîte à outils complète dédiée à la qualité audiovisuelle. Conversion de formats, amélioration par IA, stabilisation, restauration d'images, suppression de bruits audio... tout est rassemblé dans une interface unique qui exploite l'accélération matérielle pour traiter vos fichiers rapidement.

Quand l'IA redonne vie aux vidéos floues

La fonctionnalité phare, c'est la super-résolution par intelligence artificielle. Concrètement, l'algorithme analyse chaque frame de votre vidéo et reconstruit les détails manquants pour augmenter la résolution. Ce n'est pas de la magie, mais le résultat peut être saisissant sur certains contenus. Les vidéos compressées plusieurs fois avant d'atterrir sur YouTube, les vieux enregistrements d'un smartphone d'il y a dix ans, les clips extraits de DVD : tous ces fichiers peuvent voir leur qualité sensiblement améliorée.

L'outil s'attaque également aux problèmes de fluidité. Vous avez déjà essayé de visionner de vieilles séquences tournées à 15 images par seconde ? L'effet saccadé gâche l'expérience. VideoProc intègre une interpolation de frames par IA qui génère les images intermédiaires manquantes. Résultat : des vidéos qui semblent avoir été filmées avec du matériel moderne, voire la possibilité de créer des ralentis de qualité à partir de séquences ordinaires.

La stabilisation mérite aussi qu'on s'y attarde. On a tous des vidéos de vacances filmées à bout de bras, avec des tremblements qui donnent le mal de mer. Le module de stabilisation par IA compense ces mouvements parasites sans rogner excessivement sur le cadre, ce qui était souvent le défaut des stabilisateurs traditionnels.

Au-delà de la vidéo

VideoProc ne cantonne pas son intelligence artificielle aux seules séquences animées. Les photos bénéficient des mêmes traitements.

Vous pouvez restaurer de vieilles images en basse résolution, récupérer les détails d'un visage flou sur un portrait de groupe, ou même coloriser automatiquement des clichés en noir et blanc. L'algorithme tente de redonner des couleurs naturelles aux photos d'époque, transformant des archives familiales en documents qui semblent avoir traversé le temps sans dommage.

Côté audio, deux fonctions sortent du lot : la suppression intelligente des bruits de fond et l'extraction des voix. La première nettoie vos enregistrements en éliminant les sons parasites, tandis que la seconde sépare les pistes vocales des instrumentales. Pratique pour créer des versions karaoké ou isoler un élément sonore spécifique.

La conversion comme couteau suisse numérique

Au-delà de ces prouesses algorithmiques, VideoProc reste avant tout un convertisseur polyvalent. Vous avez filmé en HEVC avec votre iPhone mais votre téléviseur ne lit que le H.264 ? Vous voulez éditer des rushes de drone dans Final Cut Pro qui réclame du ProRes ? Vous devez transformer un vieux DVD en fichier MP4 pour le sauvegarder numériquement ? Le logiciel gère ces transformations sans broncher.

Cette versatilité évite de jongler entre plusieurs applications selon la tâche à accomplir. Tout se fait au même endroit, avec cette accélération matérielle qui réduit drastiquement les temps d'attente.

Une opportunité pour le Black Friday

En cette période de promotions, VideoProc propose une offre substantielle : 61% de réduction sur la licence à vie, avec quatre outils supplémentaires offerts et les mises à jour gratuites indéfiniment.

Le nombre de copies est limité selon le principe du premier arrivé, premier servi. Pour ceux qui accumulent des téraoctets de contenus audiovisuels à traiter, l'investissement peut s'avérer judicieux !

👉 Je fonce sur l'offre Black Friday de VideoProc

Sortie de veille : Tim Cook, stop ou encore ?

Stéphane Moussie

samedi 22 novembre à 08:00

Podcast

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

Tim Cook serait sur le départ. Après 15 ans à la tête d’Apple, le successeur de Steve Jobs pourrait laisser sa place l’année prochaine. C’est en tout cas ce qu’affirme le Financial Times sur la foi de plusieurs sources. Un départ l’année prochaine est-il réaliste et même souhaitable ? On en discute dans cette émission.

Au programme également, on parle du Mac Pro qui est devenu le vilain petit canard, du standard Matter en domotique qui bénéficie d’une grosse mise à jour et de l’iPhone Pocket, cet accessoire insolite qui fait débat.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

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Bonne écoute !

De nombreux tapis de bureau en promotion, pour tous les goûts, même ceux qui aiment les lumières RGB

Pierre Dandumont

vendredi 21 novembre à 22:07

Matériel

Si vous passiez au tapis de bureau grâce au Black Friday ? Depuis quelques années, le tapis de souris ne se trouve plus uniquement sous la souris, mais aussi sous le clavier. Les tapis modernes, en tissus, sont bien adaptés aux modèles optiques et servent aussi de surface antidérapante pour les claviers. Il y a de nombreux modèles en promotion, pour tous les goûts.

Le Cherry, simple.

Pour 12 €, il y a le modèle Amazon : 90 x 43 cm, noir. Simple, basique. Cherry, une marque allemande, a un modèle de 80 x 35 cm pour 14 €, noir lui aussi. Le Desk Mat de Logitech (70 x 30 cm) est à 10 € en rose et 12 € en gris.

Plus large (93 x 30 cm), le Corsair MM500 v2 est à 25 € en promotion. Toujours large ? Le Steelseries QcK Heayvy XXL est à 32 € et mesure 90 x 40 cm. Le Corsair MM300 Pro (anti-éclaboussure) est à 20 € avec un dessin, et mesure 93 x 30 cm. Et le Pro Glide XXL de Razer (94 x 41 cm) est à 21 € en gris.

Le Corsair, plus large.

Dans un registre un peu différent, le Satechi XXL ne mesure « que » 68 x 32 cm, mais propose un rendu un peu plus luxueux. Il existe en bleu, marron et noir pour 34 €.

Le Satechi, plus luxueux.

Et si vous aimez les loupiottes RGB, le Goliathus Extended Chroma de Razer est en promo à 42 € en rose. Il a besoin d'un câble pour ses LED et mesure 92 x 30 cm. Il existe aussi en gris et aux couleurs de Fortnite au même prix, et est à 47 € en noir (au lieu de 75 €).

Le Razer s'allume.

« Far West » des réseaux sociaux selon Macron : le constat est là, mais quelles solutions concrètes ?

Greg Onizuka

vendredi 21 novembre à 22:00

Services

Emmanuel Macron a remis une pièce dans la machine en dénonçant une nouvelle fois le « far-west » des réseaux sociaux. L’expression n’est pas nouvelle, la préoccupation non plus, mais elle revient dans un contexte où l’espace numérique continue d’évoluer à une vitesse que la politique peine à suivre. Entre ingérences, désinformation et protection des mineurs, le Président veut afficher une fermeté retrouvée. Reste que le numérique d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec l’Internet des années 2010 : les problèmes ne se situent plus seulement dans les contenus, mais profondément dans la mécanique des plateformes elles-mêmes.

L’un des principaux soucis, c’est que c’est le pays de l’homme de droite qui détient les clés pour faire plier les réseaux sociaux. L’homme de gauche ne pourra rien faire sans. Image domaine public.

C’est là que le discours présidentiel semble marquer le pas. Parler de « loi du plus fort » et de dérives incontrôlées a une force symbolique, mais réduit un écosystème extraordinairement complexe à un western de série B. Les grandes plateformes ne fonctionnent plus comme des places publiques avec quelques énergumènes à maîtriser ; ce sont des usines à données, propulsées par des algorithmes qui optimisent avant tout l’attention, parfois au détriment du bon sens. À ce niveau-là, ce n’est pas un shérif qu’il faut, mais une équipe d’ingénieurs capables de comprendre ce qui se passe dans les entrailles du monstre.

La question de la désinformation illustre parfaitement ce décalage. Macron y voit un défi démocratique majeur, ce qu’il est, mais il le présente encore comme un problème de contenus nuisibles circulant librement. La réalité est plus sournoise : la désinformation est devenue une conséquence structurelle du modèle même des plateformes. Quand un système de recommandation valorise la provocation parce qu’elle génère plus de temps d’écran, quand la modération repose pour l’essentiel sur des filtres automatisés dont personne — pas même leurs concepteurs — ne maîtrise totalement les effets secondaires, on ne peut pas espérer régler le problème avec un simple serrage de vis réglementaire. Ce serait comme demander à une plateforme vidéo de moins promouvoir le sensationnalisme tout en conservant un modèle publicitaire qui en dépend. Le cœur du système pousse dans une direction ; la politique lui demande d’aller dans l’autre.

Le Président revient aussi sur la protection des mineurs et la fameuse « majorité numérique ». Là encore, l’intention est difficile à critiquer. Mais l’efficacité réelle reste sujette à caution. Les plateformes ont inventé depuis longtemps l’art de la contournabilité : inscription via comptes tiers, accès par VPN, serveurs privés, tout concourt à rendre ces garde-fous largement théoriques. La vraie dépendance, celle qui joue sur la dopamine et les boucles de recommandation, ne disparaît pas parce qu’on fixe une limite d’âge. Et d’ailleurs, elle ne concerne pas seulement les adolescents ; les adultes s’y font happer avec la même facilité.

Si l’Europe est petite face à des géants comme les USA ou la Chine, la France seule est encore plus petite. Image France Diplomatie, CC0.

Au chapitre de la souveraineté numérique, le discours affiche de l’ambition, mais les matériaux manquent. L’idée de reprendre le contrôle sur les géants du numérique revient régulièrement, mais sans politique industrielle cohérente derrière. L’Europe fabrique peu de matériel, n’opère pas de grandes plateformes sociales, ne possède pas d’alternative solide aux infrastructures publicitaires américaines, et accuse encore un retard notable sur les LLM destinés au grand public. On peut toujours imaginer une Europe pesant réellement sur le numérique mondial, mais le chemin pour y parvenir n’est jamais évoqué concrètement dans ces interventions politiques.

Ce qui frappe, au final, c’est le décalage entre la gravité du constat — réel — et la nature des réponses proposées, qui donnent parfois l’impression de s’attaquer aux symptômes plutôt qu’à l’architecture de fond. Le débat public est saturé, les campagnes électorales sont parasitées, la polarisation augmente : tout cela est vrai. Mais il devient difficile de prétendre résoudre ces dynamiques sans toucher aux mécanismes qui les fabriquent, à savoir les modèles de recommandation, les algorithmes d’amplification ou les systèmes de modération automatisée.

La croisade présidentielle a le mérite de remettre le sujet sur la table. Mais si l’on veut sortir du « far-west », il faudra peut-être accepter que le vrai travail se situe très loin des tribunes politiques, dans les logs, les datasets et les architectures des systèmes qui façonnent — bien plus qu’un discours — ce que voient des millions de citoyens chaque jour.

TeamGroup présente un SSD externe avec bouton d’autodestruction. Si si.

Greg Onizuka

vendredi 21 novembre à 21:00

Matériel

Vous avez des envies irrépressibles de vous prendre pour un agent secret ? Ou mieux, vous en êtes un, transportant des fichiers confidentiels de Londres à New York, en passant par Moscou (sacré détour au passage) ? TeamGroup a le SSD qu’il vous faut, afin de parer à toute éventualité.

Si la marque ne vous dira pas grand chose, c’est pourtant dans le plus grand silence l’un des plus gros fournisseurs de mémoire dans le monde : créée en 1997 à Taïwan, elle fait partie des dix plus grandes entreprises du domaine. Elle a divisé ses activités en trois groupes distincts, avec TeamGroup pour le grand public, T-Force pour les gamers, et T-Create pour les objets un peu plus exotiques. C’est cette dernière division qui nous intéresse aujourd’hui.

Vous avez peur pour vos données ? TeamGroup lance un SSD qui peut s

Vous avez peur pour vos données ? TeamGroup lance un SSD qui peut s'autodétruire

L’objet du délit est un SSD externe d’un type un peu particulier, qui vient compléter celui interne qu’on a déjà vu en juillet : il est doté d’un bouton qui, une fois appuyé, va détruire de manière irrémédiable les données présentes sur les puces de mémoire. La méthode est radicale, et irréversible : si le bouton est pressé alors que le SSD est branché à un ordinateur, le mécanisme en place va s’assurer de la destruction de toute la puce, supprimant définitivement les données présentes, et transformant le SSD en joli presse-papier.

Le souci d’un SSD externe, contrairement à son pendant interne, reste qu’un bouton... ça s’appuie par mégarde, surtout si le boîtier se balade dans un sac. Pour éviter toute manipulation malencontreuse, le mécanisme de destruction n’opère que s’il est branché à un ordinateur. De plus, pour pouvoir enclencher la mise à mort de la puce mémoire, il faut non seulement enfoncer le bouton avec une certaine force, mais aussi le glisser vers le haut.

Disponible dans quelques semaines en version 256 GB, 512 GB, 1 TB ou 2 TB, l’entreprise n’a pas encore indiqué les tarifs auxquels elle compte placer ses SSD pour James Bond et autres Ethan Hunt en herbe. Reste que le P35S n’est pas un SSD externe que l’on peut conseiller à tout le monde : avec une telle tentation placée en plein milieu du boîtier, le risque est grand de voir un bambin, un collègue un peu taquin, ou une personne curieuse appuyer sur le bouton...