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Claude Code n’est plus limité au terminal de votre ordinateur, il peut fonctionner depuis le web

Nicolas Furno

mardi 21 octobre à 16:50

Intelligence artificielle

Claude Code a connu un gros succès, par ses aptitudes à modifier le code source de projets variés. Jusque-là, cet outil d’Anthropic devait être installé sur un ordinateur et utilisé depuis un terminal pour fonctionner correctement, même si le grand modèle de langage sous-jacent tournait déjà sur des serveurs distants. Cela change avec l’arrivée de Claude Code sur le web : au lieu de modifier les projet en local, l’outil peut manipuler les fichiers accessibles par le biais d’un dépôt Git en ligne, hébergés sur GitHub comme dans cette démonstration fournie par l’entreprise.

Comme on peut le voir, Anthropic a créé une interface web qui permet de pointer vers le code source sur lequel Claude Code doit travailler, puis de demander à l’intelligence artificielle générative de le modifier. On peut dialoguer avec le modèle pendant son travail, qui peut prendre comme toujours plusieurs minutes. On peut travailler sur plusieurs idées en parallèle, c’est un avantage de la version web, même si c’était aussi possible avec le terminal. Cette nouvelle interface invite toutefois à lancer plusieurs tâches en même temps, ce qui était plus complexe jusque-là, et surtout elle met en avant les exécutions parallèle au sein d’une vue unique.

En fin de processus, Claude Code va créer une suggestion de modification du code, ce qui passe par un pull-request pour GitHub. Cette étape intermédiaire permet de vérifier les modifications apportées par le LLM et éventuellement de les corriger, ce que la démonstration oublie totalement de faire (on espère que ce n’est que pour la démo et qu’aucune entreprise ne travaillera ainsi… 🤞). Git oblige, tous ces changements pourront aisément être annulés par la suite si nécessaire et c’est important, tant cet outil devrait être plus simple à utiliser et donc utilisé davantage. D’autant que Claude Code ne va pas se limiter au web.

En effet, Anthropic annonce l’arrivée de son outil sur iOS. L’app Claude proposée sur l’App Store intégrera un premier aperçu de la fonctionnalité et son créateur promet d’autres changements et des améliorations à venir. L’annonce insiste aussi sur les sécurités mises en place, notamment pour la communication entre Claude Code et le serveur Git utilisé, avec des garde-fous en place pour limiter l’accès du modèle aux seuls dépôts autorisés. Un système de bac à sable a été créé pour l’occasion et vous trouverez quelques détails techniques à cette adresse. Précisons que seul GitHub semble être géré pour le moment, on imagine que d’autres services similaires seront ajoutés par la suite.

Claude Code nécessite un abonnement Pro au minimum, facturé 20 $ par mois ou 200 $ par an pour un utilisateur individuel. L’usage reste malgré tout limité, y compris pour les abonnés Max qui paient 100 $ tous les mois. Comme tous ses concurrents, Anthropic a du mal à être rentable, face à des grands modèles de langage toujours plus gourmands et qui coutent ainsi toujours plus chers à faire tourner.

Anthropic ajoute des limites de temps pour tenter de réduire les coûts de fonctionnement de Claude

Anthropic ajoute des limites de temps pour tenter de réduire les coûts de fonctionnement de Claude

Cet ordinateur portable de 14 pouces de Fujitsu est deux fois plus léger que le MacBook Air

Nicolas Furno

mardi 21 octobre à 14:06

Matériel

Quand il est sorti en 2008, le MacBook Air original a bluffé tout le monde par sa finesse et sa légèreté. Malgré les défauts évidents de cette première génération, ces aspects physiques impressionnaient et c’est ce qui a fait de cet ordinateur le succès qu’il est devenu. Pour autant, si le MacBook Air actuel est un ordinateur portable excellent et si son énorme succès commercial est indéniablement justifié, la légèreté n’est clairement plus un argument en sa faveur. La preuve avec cet ordinateur portable conçu par Fujitsu, qui ne pèse que 634 g alors qu’il intègre un écran de 14 pouces.

Image Fujistu.

634 g, c’est quasiment deux fois plus léger que le MacBook Air M4 de 13 pouces, qui affiche sur la balance 1,24 kg. Fujistu annonce même que c’est un record, même si c’est un record en réalité partagé avec un autre ordinateur conçu par ses soins et vendu depuis l’an dernier. On était passé à côté à l’époque, ce qui n’enlève rien à l’exploit. Deux fois plus léger que l’ordinateur le moins lourd actuellement au catalogue d’Apple, ce n’est pas rien. C’est encore mieux que feu le MacBook Retina de 2015, qui pesait 920 g alors que son écran de 12 pouces en faisait un ordinateur nettement plus petit.

Forcément, pour atteindre un tel poids, le constructeur japonais a fait des compromis. Pas d’aluminium ici, la coque est en partie en carbone et le reste d’un alliage de magnésium-lithium (qui est aussi utilisé dans les batteries, même s’il sert ici à alléger l’alliage tout en améliorant sa résistance). La plus grosse concession est sans doute sur l’autonomie, puisque l’ordinateur portable doit se contenter d’une petite batterie d’une capacité de 31 Wh. Elle doit offrir uniquement 7 heures d’autonomie en lecture vidéo, ce qui est probablement l’utilisation la plus légère qu’on peut imaginer. À titre de comparaison, le MacBook Air de dernière génération intègre une batterie de 53,8 Wh, ce qui lui permet de tenir 18 heures sur le même test.

Fujitsu a aussi travaillé sur le chargeur fourni avec l’ordinateur, pour réduire sa taille et son poids. C’est cohérent avec la machine. Image Fujitsu.

Pour travailler quelques heures loin d’une prise, cela devrait néanmoins suffire et on profitera alors d’un ordinateur vraiment léger. Fujitsu précise que le chargeur, toujours bien fourni avec cet ordinateur destiné au marché japonais, est aussi plus compact et léger (150 g) qu’avant, ce qui correspond bien à cet ordinateur ultra discret. La prise USB-C permettra de le recharger avec n’importe quel adaptateur USB-C Power Delivery de 65 W ou plus. Si les adaptateurs d’Apple sont souvent plus gros que la moyenne, ils ne sont de toute manière plus fournis en Europe.

Le MacBook Pro M5 ouvre l’ère des Mac portables sans chargeur 🆕

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Cet ordinateur de Fujitsu est équipé d’un processeur Intel Core Ultra 7 255U, un modèle assez léger même s’il reste bien plus puissant que ceux que l’on avait dans le MacBook de 2015. Ce qui est intéressant, c’est de le comparer avec les puces d’Apple et en particulier celles des iPhone, étant donné que la rumeur suggère qu’un futur ordinateur portable pommé repose sur une puce A18 Pro ou A19 Pro pour baisser le prix de base.

MacBook Air à 599 $ : A18 Pro ou A19 Pro sous le capot ?

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Par sécurité, prenons la moins puissante des deux et comparons le processeur Intel choisi par Fujitsu à l’A18 Pro sur les mesures théoriques des performances fournies par Geekbench 6. Si les scores côté Intel varient fortement selon l’ordinateur utilisé, ils restent dans tous les cas loin derrière ceux de la puce d’Apple sur un seul cœur. On est en général entre 2 000 et 2 500 points pour le CPU x86, contre environ 3 400 pour l’A18 Pro.

Le processeur conçu par Intel reprend un petit peu l’avantage sur le test multi-core grâce à ses 12 cœurs, c’est deux fois plus que chez Apple. Même alors, l’écart dépasse à peine les mille points, ce qui est bien léger quand on compare le nombre de cœurs et ce sera probablement imperceptible à l’usage.

Le MacBook de 2015 était une magnifique machine, incroyablement fine et légère, handicapée par son processeur Intel à la ramasse… Image MacGeneration.

Encore une fois, la comparaison se fait avec une puce conçue à l’origine pour un smartphone et pour l’iPhone de 2024, ce n’est même pas la dernière génération, Apple pourrait offrir encore mieux avec une A19 Pro. Elle ne le fera sans doute pas, tant la puissance est suffisante pour la majorité des usages, comme nous l’avions vu en la comparant avec la M1, la première puce maison destinée aux Mac.

Une puce A18 Pro pourrait-elle battre une M1 dans un MacBook « SE » ?

Une puce A18 Pro pourrait-elle battre une M1 dans un MacBook « SE » ?

Si Apple compte un jour alléger de nouveau ses ordinateurs portables comme elle l’a fait il y a dix ans avec le MacBook, c’est probablement grâce à l’impressionnante efficience de ses puces pour iPhone. Le processeur Intel utilisé par Fujitsu a un TDP de 15 W et même si on n’a pas la valeur officielle pour celle d’Apple, elle est forcément inférieure. Avec une batterie similaire à celle du fabricant japonais, un ordinateur équipé d’une A18 Pro pourrait ainsi offrir une bien meilleure autonomie.

Alors, est-ce que ce futur MacBook sera aussi léger que l’ordinateur japonais ? On devrait avoir la réponse l’année prochaine, si l’on en croit les rumeurs. Quant au modèle de Fujitsu, il est en précommandes sur la boutique du fabricant pour l’équivalent d’environ 1 600 € et des livraisons promises à partir du mois prochain, uniquement sur le marché japonais. On ne sait pas si le constructeur a l’intention de le vendre hors de l’archipel, bien que cela semble peu probable.

Source :

macOS Tahoe : un bug empêche Touch ID de répondre au doigt et à l’œil

Stéphane Moussie

mardi 21 octobre à 11:35

macOS

macOS Tahoe oblige certains utilisateurs à se remémorer leurs mots de passe. Le nouveau système d’exploitation provoque en effet des dysfonctionnements du bouton Touch ID chez une partie des clients d’Apple. Ruben, un lecteur, nous a signalé que le capteur d’empreintes digitales de son MacBook Pro 2020 ne fonctionnait plus depuis l’installation de macOS 26. Ni la réinitialisation de son Mac ni celle de ses empreintes n’ont permis de résoudre le problème.

Bouton Touch ID sur un MacBook Air M1. Image MacGeneration.

Ruben est loin d’être un cas isolé. Sur le web, de nombreux utilisateurs racontent rencontrer le même souci depuis la mise à jour vers macOS Tahoe (1, 2, 3, 4…). L’un d’eux détaille son expérience ainsi :

Touch ID fonctionne quand on verrouille puis déverrouille immédiatement le Mac. Mais quand [Touch ID] semble inactif, si l’on attend un moment sans saisir de mot de passe, il finit par se réactiver. Il suffit de regarder le message sur l’écran de verrouillage : au départ, il indique « déverrouillez avec le mot de passe », puis après un petit laps de temps, il devient « déverrouillez avec le mot de passe ou Touch ID », et là le capteur se met à fonctionner.

Les Mac Intel semblent les plus touchés, mais quelques utilisateurs de Mac Apple Silicon signalent aussi des bugs similaires. Même si cela n’a pas résolu le problème pour Ruben, certains affirment avoir retrouvé un fonctionnement normal après avoir supprimé puis réenregistré leurs empreintes dans les Réglages Système. À tenter, donc, si vous êtes concerné.

Promotion : un bureau assis-debout motorisé à 110 € au lieu de 145

Nicolas Furno

mardi 21 octobre à 11:01

Matériel

Les bureaux assis-debout, qui intègrent un moteur pour monter et descendre leur plateau et ainsi les adapter à différents usages, se sont vraiment démocratisés ces dernières années. L’époque où c’était une catégorie presque de luxe et des produits de niche proposés par une poignée de vendeurs seulement est bel et bien révolue. La preuve, avec ce produit vendu par Amazon à 110 €, son prix le plus bas sur la boutique, même si le tarif de base est à peine plus élevé, puisqu’il est normalement vendu 145 €.

Image Amazon.

Pour ce tarif, il ne faut sans doute pas s’attendre au bureau le plus robuste qui soit, mais sur le papier au moins, ce n’est pas un mauvais produit. Les nombreux avis sont positifs et à part une panne matérielle mal gérée par le fabricant (si ça arrive, passez directement par Amazon, c’est toujours plus simple et rapide), les utilisateurs ont l’air satisfait de ce bureau. Le plateau mesure 120 cm de large sur 60 de profondeur et il est blanc en prix de base, avec plusieurs autres options de coloris. Le faux bois clair est à peine plus cher, la version faux bois foncée avec pieds noirs est à 128 €. Il y a aussi des plateaux plus grands si nécessaire.

Quel que soit le modèle, le fabricant fournit un panneau de contrôle qui viendra se positionner sur l’avant. Il permet d’ajuster la hauteur à la main ou de sélectionner deux préréglages, ce qui est indispensable pour une bonne expérience au quotidien. Vous pourrez ainsi enregistrer la position pour travailler assis et celle pour travailler debout et passer rapidement de l’une à l’autre sans devoir retrouver la bonne hauteur à la main. Petit bonus appréciable, une prise USB est placée sur le côté de ce contrôleur et peut servir à charger son smartphone ou un autre appareil. Malgré le prix pas bien élevé, le fabricant a même glissé dans le carton un support pour casque.

Image Amazon.

La hauteur peut être ajustée de 73 à 118 cm et le moteur est très silencieux, le constructeur le met en avant et des commentaires le soulignent également. Difficile de savoir si la longévité sera au rendez-vous, mais à ce prix, c’est difficile de faire la fine bouche. Disons que si vous cherchez un bureau pour travailler de temps en temps debout, c’est sans doute une bonne option. Si vous passez votre temps à passer d’une position à l’autre, mieux vaut sans doute un modèle plus solide et donc plus cher. Celui que j’utilise au quotidien depuis plus de trois ans me donne toujours entièrement satisfaction, mais il coûtait quand même six fois plus que ce produit en promotion.

Test du bureau assis-debout Smart de Makiba : plus de hauts que de bas

Test du bureau assis-debout Smart de Makiba : plus de hauts que de bas

Amazon ne livre pas directement le bureau assis-debout, mais la livraison reste gratuite et vous bénéficiez malgré tout du délai légal de 30 jours pour un retour si l’appareil ne vous convient pas. Si vous voulez commencer à travailler debout, n’oubliez pas un accessoire essentiel : un tapis en mousse, pour réduire la fatigue dans cette position de travail. Si vous pouvez acheter un modèle vendu spécifiquement pour les bureaux, les accessoires pour cuisine fonctionnent aussi bien et sont souvent moins chers : 27 € pour ce modèle de 71 cm sur 44.

Windows 11 choisit le pire moment pour se planter

Christophe Laporte

mardi 21 octobre à 07:30

Ailleurs

Niveau timing : Microsoft ne pouvait pas plus mal s'y prendre. Alors que le géant du logiciel vient péniblement de refermer le chapitre Windows 10, voilà que Windows 11 fait des siennes. 

10 ans après, c

10 ans après, c'est la fin du support de Windows 10

Sorti il y a plus de quatre ans, le système a atteint un âge où la stabilité devrait être acquise. Mais la mise à jour d’octobre 2025, censée corriger plusieurs failles de sécurité, amène surtout une avalanche de nouveaux problèmes.

Une mise à jour de Windows 11 qui fait plus de mal que de bien

Le plus gênant ? Windows 11 rend tout simplement inaccessible “localhost”, l’adresse (127.0.0.1) utilisée par les développeurs pour tester leurs sites et applications en local. Résultat : impossible de faire tourner certains outils ou d’accéder à des services internes. Et le souci ne se limite pas aux développeurs.

Plusieurs utilisateurs signalent aussi des périphériques Logitech qui ne répondent plus correctement après l’installation du correctif. Les souris et claviers fonctionnent toujours pour les tâches de base, mais les raccourcis programmés via Logitech Options ou Options+ cessent de fonctionner, comme si Windows avait oublié leur existence.

Autre bug, tout aussi agaçant : l’Explorateur de fichiers refuse désormais d’afficher les aperçus de documents (PDF, images, fichiers Office…). À la place, une alerte de sécurité s’affiche, prévenant que « le fichier que vous tentez d’afficher pourrait endommager votre ordinateur ». Le message vise en réalité les fichiers téléchargés depuis OneDrive, Google Drive ou un réseau d’entreprise, que Windows considère à tort comme suspects.

WinRE : l’outil de secours… en panne

Et ce n’est pas tout. La mise à jour d’octobre a également mis à mal WinRE, l’environnement de récupération censé permettre de réparer le système en cas de panne. Problème : ni le clavier ni la souris ne fonctionnent plus à l’intérieur de cet outil, rendant toute navigation impossible. On peut bien démarrer sur WinRE, mais pas y faire quoi que ce soit. Pour les utilisateurs confrontés à un échec de démarrage, la situation est pour le moins paradoxale : l’outil censé sauver le système devient inutilisable.

Image : Microsoft

Enfin, certains ont presque eu de la chance : la mise à jour refuse carrément de s’installer sur certains postes. À côté, la sortie de macOS Tahoe 26 ressemble à un long fleuve tranquille. Certes, tout n’est pas parfait — la nouvelle interface divise, et quelques problèmes de gestion de mémoire ou d’apps Electron traînent — mais rien qui empêche d’allumer sa machine le matin. Ce qui, en ce moment, est déjà presqu'un avantage concurrentiel pour Apple.

macOS 26 peut surconsommer la mémoire vive chez certains utilisateurs, y compris sur macOS 26.0.1

macOS 26 peut surconsommer la mémoire vive chez certains utilisateurs, y compris sur macOS 26.0.1

Linux en embuscade

Cette mauvaise publicité pour Windows 11 tombe au plus mauvais moment. Plutôt que de migrer vers le nouveau système de Microsoft, un nombre croissant d’utilisateurs se tournent vers Linux.

Basée sur Ubuntu, la nouvelle version de Zorin OS 18 fait à son échelle un véritable carton : plus de 100 000 téléchargements en deux jours, un record pour l’éditeur irlandais. Selon Zorin Group, près de 72 % des téléchargements proviennent d’anciens utilisateurs de Windows.

Zorin OS 18

Le succès s’explique assez simplement : Zorin OS 18 soigne son apparence et joue la carte de la familiarité. Son interface modernisée rappelle beaucoup Windows 10, tandis que certaines nouveautés, comme la gestion améliorée des fenêtres, empruntent directement à Windows 11. Mais le vrai argument de Zorin reste ailleurs : la distribution intègre Wine, la couche de compatibilité qui permet d’installer et de lancer la plupart des applications Windows sans quitter Linux. De quoi faciliter la transition pour tous ceux qui veulent tourner la page sans perdre leurs repères.

Pour inciter les gens à switcher, Zorin fait aussi la promotion des Web Apps

Il faudra voir si cet engouement se traduit par une progression réelle : la part de marché de Linux sur le web oscille toujours entre 4 % et 5 %.

Le passage à Windows 11 est une aubaine pour Apple

Et puis, il y a Apple, bien décidé à profiter de la situation. Alors que l’architecture Apple Silicon fêtera son cinquième anniversaire le mois prochain, la concurrence peine toujours à combler l’écart. Apple cherche à s'attirer les faveurs aussi bien des professionnels que du grand public. Ce n'est sans doute pas un hasard si Apple et ses partenaires proposent quasiment en permanence des MacBook Air vendus à des prix très agressifs. La machine à switch doit tourner à plein régime !