
Il s'est longuement arrêté sur la personnalité de Steve Jobs, avec quelques trémolos dans la voix. Il rappelle sa première visite à Cupertino, où le patron d'Apple, encore convalescent, était « essoufflé » après une volée de marches. Mais une fois dans la salle de réunion, près à jouer son rôle de VRP de luxe, il n'était plus qu'énergie, « comme si des rayons laser étaient prêts à sortir de ses yeux ».
Il considère que d'ici « quelques centaines d'années, on aura la même estime pour Léonard de Vinci et Steve Jobs ». « [Steve Jobs] ne considère pas ses produits comme de simples produits. C'est comme s'ils étaient ses œuvres, ou quelque chose qui renferme une part de sa vie », poursuit-il. Ainsi, il concevrait ses produits « comme si sa vie était en jeu ».
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