Omega Studio de Lexicon

La redaction |
Le Mac est traditionnellement la machine fétiche des musiciens. Depuis quelques mois l'équation Mac = Musique s'est renforcée par la mise en avant importante de l'iPod puis de l'IMTS par Apple, mais également par le rachat de eMagic, éditeur du célèbre logiciel audionumérique Logic Audio. Depuis janvier, un nouveau rejeton de la famille "iApps" a fait beaucoup parler de lui et suscite apparemment de nombreuses vocations : GarageBand, ou comment mettre la création musicale à la portée de tous (la pertinence de cette idée est d'ailleurs parfois contestée). L'un des atouts du Mac dans le domaine musical est d'avoir toujours été équipé d'un système audio intégré de qualité satisfaisante, et la plupart du temps d'une entrée audio analogique permettant de connecter un micro ou diverses sources sonores pour les enregistrer directement, sans dépense supplémentaire. Toutefois certains Macs ne disposent malheureusement pas de cette entrée audio, ce qui prive leur propriétaires de toute possibilité d'enregistrement. Il y a aussi ceux qui exigent plus que ce que permet leur Mac d'origine, à savoir des possibilités de connexion plus vastes, une meilleure qualité audio et des performances plus élevées. Pour ces 2 catégories de personnes, la solution est une carte audio : soit interne (en PCI), soit externe (en USB ou Firewire). L'avantage de ces dernières est qu'elles peuvent physiquement se connecter sur n'importe quelle machine pourvue des ports nécessaires et ne sont donc pas réservées aux seuls PowerMacs. Elles peuvent aussi généralement naviguer sans problème entre un Mac et un PC. L'offre dans le domaine des cartes sons externes est de plus en plus vaste : du simple iMic de Griffin Technology à la MOTU 896 HD, sans parler des coûteuses solutions Digidesign, il y a de quoi faire, et le budget est très variable, selon ses possibilités ; un ou plusieurs canaux audio simultanés, MIDI intégré ou pas, etc... Aujourd'hui nous allons tester l'interface Omega Studio proposée par Lexicon, qui se présente comme un produit particulièrement polyvalent et complet, à un prix restant raisonnable. En effet, ce périphérique qui permet d'enregistrer jusqu'à 4 sources sonores simultanément et dispose d'une entrée et d'une sortie MIDI (ce qui est déjà beaucoup), est livré avec un logiciel audio multipistes (Bias Deck SE pour Mac et ProTracks Plus pour PC) et un plugin VST de réverbération appelé Pantheon. Bref, on se retrouve avec un véritable studio multipiste sans le besoin d'investir dans du matériel ou des logiciels supplémentaires. Toutefois il reste parfaitement possible d'intégrer l'Omega dans un environnement logiciel autre que celui fourni, ce qui le rend encore plus intéressant. Ce périphérique se connecte en USB (1.1), beaucoup moins performant que le Firewire, mais qui s'avère au final suffisant pour gérer tous les canaux simultanément.



Bien que ce soit la première fois que Lexicon propose une interface de ce type, on est d'emblée rassuré par sa provenance : en effet, Lexicon est une marque extrêmement réputée dans le domaine du studio ou de la HiFi très haut de gamme. Leurs périphériques de réverbérations sont parmi les plus connus et les plus utilisés dans le monde des studios, ce qui attise d'autant plus les exigences devant ce nouveau produit, de surcroît livré avec une... réverbération, certes logicielle, mais qui fait tout de même l'orgueil de la marque.

Déballage

L'Omega est équivalente à une console de type 8 x 4 x 2 : 8 entrées, 4 bus, 2 sorties. Concrètement elle est capable de gérer simultanément 6 canaux audio (4 en enregistrement et 2 en lecture), le tout en 24 bits, aux fréquences d'échantillonnages de 44,1 kHz ou 48 kHz. Il existe sur le marché des cartes en 96 kHz, mais l'intérêt de cette fréquence n'est pas forcément flagrant, surtout pour une solution home studio. Et finalement cela évite de travailler avec des fichiers encore plus gros sans bénéfice réel. Au niveau des connectiques audio on trouve en face arrière 4 entrées analogiques mono sur jack 6,35 mm symétriques au niveau ligne, 2 entrées micros mono analogiques en XLR bénéficiant de préamplificateurs DBX de qualité réputée, 2 entrées inserts en jack stéréo 6,35 mm (ce qui permet de faire appel pour chaque entrée micro à un compresseur externe par exemple, un égaliseur, etc., le départ et le retour d'insert se faisant assez classiquement sur le même câble), 2 sorties jack stéréo symétriques au niveau ligne, une entrée et une sortie numériques S/PDIF coaxiales, une entrée et une sortie MIDI, et les connecteurs USB et d'alimentation. C'est également sur cette face arrière que l'on choisit d'activer l'alimentation fantôme indispensable pour utiliser des micros statiques (hélas agissant globalement sur toutes les entrées micro, ce qui peut poser problème en cas d'utilisation simultanée de micros statiques et dynamiques, ces derniers n'appréciant pas forcément d'être alimentés) et d'enclencher les pads d'atténuation (20 db). Enfin, aucun interrupteur d'alimentation n'est proposé, l'appareil est donc allumé en permanence dès qu'il est relié au secteur.



En face avant, la connectique est simplement constituée d'une entrée 6,35 mm mono haute impédance, destinée à accueillir un instrument de type guitare, et d'une prise casque stéréo jack 6,35. On y trouve tous les réglages de niveaux d'entrée, de sortie, différents commutateurs et les visualiseurs de niveau (une diode "peak" par canal + un vumètre à 4 x 2 diodes assignable à l'entrée de son choix). Ce boîtier est globalement de bonne qualité. Il est certes en simple plastique mais son esthétique sobre et moderne est valorisante, il est bien assemblé, n'est pas trop léger, et surtout les différents boutons sont agréables à l'usage et les connecteurs inspirent confiance. De taille raisonnable (12 x 18 x 20 cm), il n'est pas encombrant, sans être trop petit, ce qui le rend suffisamment ergonomique. Bref, il n'a rien d'un gadget.



En dehors de l'interface sont fournis un boiter d'alimentation, un câble USB, la documentation et les CD d'installation. Le mode d'emploi de l'appareil est livré sur papier hélas en anglais, une version française étant disponible sur le site du fabricant. On y trouve d'ailleurs des guides supplémentaires qui aident à utiliser et configurer l'interface avec d'autres logiciels. Pour Deck aucune notice papier n'est présente dans la boite, il faudra se référer aux fichiers PDF (partiellement en français) qui se trouvent sur le CD d'installation. Le logiciel PC Pro Tracks Plus semble privilégié, au vu de l'emballage de la boite et du livret fourni.
Mise en oeuvre

Ce test a été réalisé sur un PowerMac G4 biprocesseur 450 Mhz équipé de 768 Mo de RAM, le tout sous Mac OS X 10.3.3, ce qui est légèrement au dessus des caractéristiques recommandées par le constructeur : un G4 à 450 MHz, 512 Mo de RAM sous Mac OS X 10.2.8. N'oublions pas un disque dur rapide, car l'enregistrement audio, surtout multipistes, est plutôt gourmand de ce côté. L'Omega est toutefois apparemment utilisable sur G3, notamment l'iBook, tout en sachant qu'il ne sera pas forcément possible d'enregistrer autant de pistes simultanément que le maximum possible (4). Il sera donc prudent de faire un test préalable avant l'achat pour éviter toute déception.

L'interface, sur Mac en tout cas, est réellement "Plug'n Play" : il suffit de la connecter à un port USB pour que celle-ci soit automatiquement reconnue, aucun driver pour Mac n'est d'ailleurs fourni. On vérifie sa présence en ouvrant l'utilitaire "Configuration Audio MIDI" qui permet d'une part de choisir la carte comme entrée et sortie audio, et d'autre part de l'intégrer au sein de ses périphériques MIDI.



L'installation logicielle se résume donc à celle, facultative, du logiciel Deck (intégrant la réverbération Pantheon), qui se déroule sans histoire, mais nécessite un numéro d'autorisation que l'on peut obtenir en ligne ou par courrier (sans cela le logiciel fonctionne en attendant pendant 14 jours). Un premier défaut apparaît rapidement suite à l'installation : l'utilisation de la carte rend inopérantes les touches de réglage de volume du clavier, et des réglages de niveau intégrés au système en général. Dommage, cela créé un vrai manque, surtout la touche "mute", parfois bien utile en cas de panique sonore... Pour le reste, toutes les applications fonctionnent a priori sans problème et leur son se retrouve généré par l'interface : iTunes, Lecteur DVD, etc... La première chose qui vient à l'idée est de brancher un casque pour vérifier tout cela (un Sony MDR-7509 de qualité monitoring studio) et on constate alors immédiatement que la sortie casque est d'excellente qualité : elle permet un rendu très propre, dynamique et équilibré, avec un bruit très réduit même à fort niveau. Deuxième chose qui vient à l'idée : connecter quelque chose à cette jolie boite bleue. On commence par la prise en façade, qui reçoit alors une guitare électrique. Après avoir réglé le gain de façon à ce que la diode "peak" s'allume le plus rarement possible avec un niveau d'entrée maximum on est heureux de constater l'absence totale de bruit et la transparence du son : c'est excellent. On découvre alors les possibilités de monitoring : un potentiomètre permet en effet de doser entre le signal entrant direct (sans latence donc) et le signal de retour de l'ordinateur, qui aura une latence plus ou moins importante selon les réglages choisis dans l'application de travail (on y reviendra plus loin, lors de l'utilisation des logiciels). C'est simple et bien conçu. Le potentiomètre de niveau de sortie agit simultanément sur la sortie casque et la sortie ligne, ce qui est une limitation parfois gênante. Reste à tester les autres entrées proposées, comme les entrées lignes (avec ici un synthé et un PODxt de Line 6 pour guitare), toujours aussi silencieuses et neutres, et enfin les entrées micro. Que ce soit un micro dynamique (Shure SM58) ou, plus délicat, un statique (AKG C 2000 B) mettant en oeuvre l'alimentation fantôme, le constat reste le même : les préamplis et les convertisseurs se comportent très bien, aucun bruit ou souffle parasite ne se manifeste, le son est plein, chaleureux et équilibré. L'alimentation fantôme s'avère stable. Lexicon ne déçoit donc pas sur la qualité sonore, on pouvait s'y attendre mais le prix raisonnable rend ce constat encore plus satisfaisant. Reste un denier test primordial : l'enregistrement proprement dit, avec une ou plusieurs sources sonores simultanées. Pour cela, Digital Performer a été mis à contribution, permettant d'exploiter pleinement l'audio, le MIDI et les plugins d'effets et d'instruments virtuels. La configuration se fait là encore très facilement, l'Omega est immédiatement reconnue et il suffit de la sélectionner.



Le test le plus poussé conduira à enregistrer simultanément 2 sources audio stéréo (ce qui occupe les 4 canaux maxi) : une guitare branchée sur un POD et un synthé recevant des données MIDI provenant de la séquence. La latence est réglée sur la valeur la plus basse dans Digital Performer, ce qui permet un décalage minimal entre, d'un côté, les données MIDI et le signal direct joué sur l'instrument, et d'autre part le retour du signal une fois traité et restitué par l'ordinateur (avec éventuellement l'utilisation de plugins d'effets en temps réel). Ce réglage a pour inconvénient de solliciter beaucoup plus la machine et peut conduire éventuellement à des clics ou décrochages audio. Mais il n'en sera rien et tout sera parfaitement enregistré, ce qui atteste définitivement de la très bonne conception de la carte, permettant un travail irréprochable et d'excellentes performances même sur un Mac pas particulièrement récent.

Ce périphérique s'adressant à un public large il était intéressant de tester son utilisation avec GarageBand. La configuration est très rapide, il suffit de choisir la Lexicon en entrée et en sortie audio dans les préférences du logiciel.



Il n'y a plus qu'à brancher son micro ou sa guitare dans l'Omega, de créer une piste avec ou sans effet et en avant la musique. Le fonctionnement est sans histoires, l'audio et le MIDI se comportent là aussi parfaitement. L'interface y est toutefois sous exploitée car GarageBand n'est pas capable de gérer plusieurs canaux d'entrée en enregistrement simultané, et ne permet donc pas de profiter des possibilités évoquées précédemment. Par contre il reste parfaitement possible de mixer le son de plusieurs sources directement sur l'Omega et de router ce mélange dans GarageBand, mais celui-ci sera ensuite figé sur la seule piste (mono ou stéréo) où il aura été enregistré.
Les logiciels

Après ce tour d'horizon plutôt favorable de la partie matérielle du produit reste à évaluer la qualité des logiciels fournis, à savoir Deck et la réverbe Pantheon. Ça commence moyennement bien : Deck n'est pas en français, sa documentation ne l'est que partiellement (seule celle consacrée à la version 3 pour OS 9, ce qui ne facilite pas les choses, est traduite, le supplément consacré à la version 3.5 reste en anglais), et le plugin Pantheon, pourtant au format VST, ne fonctionne pas en dehors de l'application Deck, ce qui est un choix étonnant et difficile à justifier. Autre déception, les fonctions MIDI de Deck sont très limitées : il permet d'importer des fichiers MIDI files pour les synchroniser à l'audio mais pas de les éditer. L'interface MIDI de l'Omega sera donc peu exploitée. Il faudra éventuellement synchroniser Deck à un séquenceur MIDI pour en profiter pleinement. Il faut également oublier tout de suite l'utilisation d'instruments virtuels, impossible ici. En ce qui concerne l'audio le logiciel est théoriquement suffisamment puissant : 64 pistes simultanées, jusqu'à 999 pistes de travail, compatibilité avec les plugins VST, de nombreux effets fournis, édition non destructive de l'audio, etc. Dans la pratique, malgré une interface assez claire et esthétique, le logiciel n'est pas toujours très agréable à utiliser : il possède d'une part les défauts des applications simplement "carbonisées" pour Mac OS X et manque de finition. Les panneaux de préférences sont très chargés de réglages divers et compliqués, et proposent des options "étonnantes" sous OS X, à propos de la mémoire virtuelle par exemple (ce qui n'a plus lieu d'être). D'autre part l'ergonomie est parfois déconcertante, comme le panneau de réglage des effets intégrés séparés des réglages d'effets VST. Enfin de nombreux avertissements concernant les performances soit disant insuffisantes du matériel sont apparues rapidement, ce qui est surprenant vu les capacités de la même machine sous Digital Performer ou GarageBand. L'application ne s'est globalement pas révélé particulièrement stable, et présentait parfois un comportement erratique. Ces dernières remarques sont forcément sujettes à caution et peuvent dépendre des configurations matérielles et système de chacun, mais il est de toute façon souhaitable que Bias remette quelque peu son logiciel à niveau. Reste que Deck permet de toute façon de faire un travail correct et offre des possibilités intéressantes, mais s'avère globalement frustrant par rapport aux possibilités offertes par le périphérique en lui même.



Le plugin Pantheon développé par Lexicon complète l'offre logicielle. Comme constaté précédemment il ne fonctionne pas dans d'autres applications que Deck, ce qui est regrettable. Ce plugin, plutôt réussi, ne révolutionne toutefois pas le genre. Le son des réverbérations est globalement satisfaisant et assez typé, ce qui peut être à la fois un avantage et un inconvénient selon l'usage que l'on en fait. 6 types de reverbs sont proposés, et de nombreux réglages permettent de les personnaliser à l'infini, nécessitant un certain apprentissage pour être assimilés. Ils se font à l'aide de tirettes et de potentiomètres, entraînant pour certains des coupures lors des changements de paramètres, ce qui n'est pas très "musical". Une trentaine de presets sont fournis, souvent typés "spectaculaires" et peu exploitables directement, et il est possible de sauvegarder ses propres réglages. Il n'y a plus qu'à espérer que ce logiciel soit débridé dans l'avenir pour pouvoir en profiter pleinement, Deck n'étant pas forcément le logiciel idéal pour le mixage.

Bilan

Lexicon a presque atteint son but : proposer un produit avec une bonne qualité audio et aux fonctionnalités complètes, à un prix attractif. Si le contrat est plutôt rempli en ce qui concerne le matériel, la partie logicielle n'est hélas pas tout à fait à la hauteur, non pas par manque de possibilités mais plutôt de finition. En attendant que d'hypothétiques mises à jour corrigent cela, l'Omega pourra apporter beaucoup de satisfaction à tous ceux qui veulent disposer d'un périphérique d'enregistrement de bonne qualité et fiable.

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avatar Anonyme (non vérifié) | 
un petit test de la mbox de protools ne serait-il pas plus intéressant?
avatar puccini | 
ProTools ProTools toujours ProTools !!!!! Il y a une vie à côté de ProTools ! La mBox s'adresse aux homestudistes et honnêtement la config de base de ProTools, donc homestudio, n'a d'intéressant que le nom, mieux vaut un bon Cubase SX, qu'une version d'entrée de gamme de ProTools. Maintenant si les gens ont les moyens de s'offrir un ProTools digne de ce nom comme homestudio... va falloir que je revoie mes sponsors, parce que je suis en ttrain de me faire b...
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Non mais franchement ya même pas d'entrée/sortie en optique ce qui aurait été top pour le G5, c'est pas terrible comme interface... Au final je préfére encore mon duo RME + console analogique Behringer ca me coute moin cher...En plus ce truc est en USB. Pour memo PRO TOOLS Free est gratuit si on veut bosser sur autre chose que LOGIC PRO ou Cubase SX. Faut pas fantasmer c'est pas parce que c'est LEXICON que c'est de la balle, chez M-AUDIO ya mieux pour moins cher...et en Firewire
avatar puccini | 
C'est vrai ProTools Free est gratuit. Ce qui ajoute encore au fait qu'un test de la mBox n'est pas plus justifié que celui de l'interface de lexicon. Parce que celui à qui ProToolsFree suffit ne va certaienemnt pas claquer 1000Euros pour une interface audio. Personnellement, j'ai fait l'acquistion d'une Swissonic USB Studio chez Thomann pour la modique somme de 245 Euros (elle est listée à plus de 700dollars sur la plupart des sites) et c'est un véritable couteau suisse : 4 Stereo line inputs 2 Microphone inputs with switchable phantom power, phase inversion switch and insert jacks 2 high impedance instrument inputs Stereo line input with switchable phono preamp(!) Volume can be set individually for each input Separate recording, monitor and headphone output FEATURES USB INTERFACE Selectable input (recording) source (mic, instrument, stereo 1-4, line, optical, coaxial) Stereo VU meter for input 20 bit AD/DA converter USB interface Macintosh (OS9 and X) /Windows compatible 44,1 and 48 kHz sampling rate Digital input/output (S/PDIF optical and coaxial) Qui dit mieux pour le prix ?????? Un petit test peut-être :-)
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Dans l'article il est dit de bien tester avec un ibook pour être sûr de ne pas avoir de déception. J'avais un ibook G3 800, 384MB avec DD 4200rpm. J'enregistrais 10 pistes simultanées en 44.1KHz, 16 bit. Et ce, avec une carte audio motu 828MKII firewire et digital performer. Pas de problème. Verdict; n'ayez aucune crainte, cette carte est un jouet pour ibook!!!
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Super test! Bravo!

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