Steve Jobs a participé à une soirée organisée ce 5 octobre par la Wireless History Foundation, laquelle fait oeuvre de rassembler les pièces et documents témoignant de la naissance et l'évolution de l'industrie américaine du sans fil et de célébrer ses acteurs les plus importants. C'était cette fois le tour de Stan Sigman, ancien patron d'AT&T et avec qui Jobs avait scellé l'accord d'exclusivité autour de l'iPhone.
Sigman a rappelé les conditions du lancement de ce téléphone “Tard un soir, Steve m'a appelé à la maison. Nous [AT&T] venions juste de lancer le téléphone de Motorola qui avait iTunes d'installé (le Rokr, ndr) et Steve avait une vision plus large de ce que l'on pourrait faire avec cet appareil”.
Une vision, mais pas de prototype pour lui donner un peu de chair “Gardez à l'esprit que lorsque nous avons décidé de travailler ensemble et de développer l'iPhone, nous n'avions aucun prototype. Steve et moi n'avions pas vu de téléphone, nous avions juste confiance que nos entreprises respectives sauraient le faire. C'était un énorme pari, mais j'avais vraiment foi en Steve Jobs. Il m'a dit que ce qu'il pouvait faire et je l'ai cru. L'histoire a montré que c'était une bonne décision.”
Au vu de la catastrophe ergonomique et fonctionnelle que fut le Rokr on ne peut que doublement acquiescer.
Sigman a rappelé les conditions du lancement de ce téléphone “Tard un soir, Steve m'a appelé à la maison. Nous [AT&T] venions juste de lancer le téléphone de Motorola qui avait iTunes d'installé (le Rokr, ndr) et Steve avait une vision plus large de ce que l'on pourrait faire avec cet appareil”.
Une vision, mais pas de prototype pour lui donner un peu de chair “Gardez à l'esprit que lorsque nous avons décidé de travailler ensemble et de développer l'iPhone, nous n'avions aucun prototype. Steve et moi n'avions pas vu de téléphone, nous avions juste confiance que nos entreprises respectives sauraient le faire. C'était un énorme pari, mais j'avais vraiment foi en Steve Jobs. Il m'a dit que ce qu'il pouvait faire et je l'ai cru. L'histoire a montré que c'était une bonne décision.”
Au vu de la catastrophe ergonomique et fonctionnelle que fut le Rokr on ne peut que doublement acquiescer.
