Jennifer Allerton, DSI de laboratoire pharmaceutique Roche, a affirmé qu'elle ne voyait pas l'iPhone comme "un outil professionnel", la faute à son clavier virtuel, incompatible avec la culture de Roche très axée sur le courrier électronique.
De son côté, Léo Apotheker, le co-PDG de SAP, a précisé que ses applications étaient disponibles sur les deux plates-formes, mais pour le moment, la demande la plus forte émanait des utilisateurs de BlackBerry.
Sur ce créneau, Apple fait clairement office de challenger, face à Research In Motion qui est présent sur le marché depuis des années. Mais pour Apple, être considéré comme une alternative, alors que son premier téléphone date de juillet 2007, c'est déjà en soi une sacrée performance.
Sur le même sujet :
Interview : l'iPhone suit le Mac en entreprise