
Entre les braises du scandale des stock-options anti-datées qui chauffent encore (Jobs n'a jusque là pas été inquiété) et les 52 ans du patron d'Apple, la question peut se poser de sa succession, ne serait-ce qu'à titre préventif.
Selon l'article, Ive serait le mieux placé de par son indéniable talent de designer - l'une des forces d'Apple - et pour son obssession du détail. Un trait qu'il partage avec Jobs. Mais pour ses détracteurs, Ive manquerait de charisme et rien ne dit qu'il saurait, comme son patron, "assurer des conférences de presse de calibre hollywoodien qui se regardent en boucle sur YouTube".