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CyberGhost VPN : plus que quelques heures pour sauter sur l'offre Cyber Monday ! 📍

Article sponsorisé

lundi 09 décembre à 22:02

Services

Collecte de données, restrictions géographiques, attaques ciblées sur des réseaux publics... Les risques en ligne sont légion. Pourtant, choisir un bon VPN ne se limite pas à cocher des cases de sécurité. Cela revient à investir dans une expérience de navigation fluide, accessible, et surtout adaptée à vos besoins.

Alors que CyberGhost propose une offre impressionnante pour le Cyber Monday : 28 mois à seulement 56,94 €, soit l’équivalent de 2,03 € par mois. Voici quelques astuces pour exploiter pleinement ce VPN et optimiser votre sécurité en ligne.

Rendez les réseaux publics inoffensifs

Les réseaux Wi-Fi publics sont souvent des pièges à ciel ouvert pour les données personnelles. Avec CyberGhost, vos connexions sont automatiquement chiffrées via le protocole AES 256 bits, une technologie de sécurité de grade militaire.

Résultat : vos données restent indéchiffrables, même si quelqu’un tente d’intercepter votre connexion. Une sécurité essentielle, que ce soit dans un café bondé ou dans un aéroport en pleine effervescence.

Débloquez vos contenus préférés, où que vous soyez

Les restrictions géographiques ne devraient pas dicter vos choix de divertissement. Grâce à un réseau de plus de 10 000 serveurs dans 100 pays, CyberGhost vous permet d’accéder aux bibliothèques Netflix internationales, à Disney+, Hulu, ou à tout autre service géo-restreint.

Mieux encore, ses connexions rapides garantissent une diffusion fluide en HD ou en 4K, sans ralentissements ni interruptions.

Améliorez vos performances en jeu

Si vous êtes gamer, vous savez qu’un ping élevé ou des restrictions régionales peuvent gâcher vos sessions. CyberGhost offre des serveurs optimisés pour le gaming, réduisant la latence et permettant d’accéder à des jeux et serveurs spécifiques à d’autres régions.

De plus, vous bénéficiez d’une expérience de jeu sécurisée, à l’abri des attaques DDoS.

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Maîtrisez le Split Tunneling

Parfois, vous n’avez pas besoin que tout votre trafic passe par le VPN. Avec la fonctionnalité Split Tunneling, vous pouvez configurer CyberGhost pour ne protéger que les applications sensibles, comme votre navigateur ou vos services bancaires, tout en laissant d’autres connexions locales intactes.

Une solution intelligente pour combiner confidentialité et praticité.

Optez pour une adresse IP dédiée

Si vous utilisez souvent des services sensibles ou professionnels, une adresse IP dédiée peut faire la différence. Contrairement aux IP partagées, elle garantit une meilleure stabilité et évite les blocages liés à l’utilisation de VPN sur certaines plateformes.

Avec CyberGhost, vous pouvez choisir cette option premium pour encore plus de contrôle.

Couvrez tous vos appareils et ceux de vos proches

Un seul abonnement CyberGhost peut sécuriser jusqu’à 7 appareils simultanément. Protégez votre smartphone, votre ordinateur portable, votre Smart TV, et même les appareils de votre famille.

Et ce n’est pas tout : avec une bande passante illimitée et des serveurs à 10 Gbit/s, même les connexions les plus sollicitées restent fluides.

Essayez, sans engagement

Toujours sceptique ? CyberGhost propose une garantie satisfait ou remboursé de 45 jours. Prenez le temps d’explorer toutes les fonctionnalités et de vérifier si elles répondent à vos besoins. Si ce n’est pas le cas, vous serez remboursé, sans frais cachés ni procédures complexes.

🔥 Pourquoi choisir CyberGhost aujourd’hui ?

  • Un prix imbattable : 28 mois pour seulement 56,94 €, soit 2,03 €/mois.
  • Une sécurité éprouvée : Chiffrement AES 256 bits, protocoles WireGuard et OpenVPN, et une stricte politique No Logs.
  • Une couverture mondiale : Plus de 10 000 serveurs dans 100 pays.
  • Une compatibilité totale : Fonctionne sur iPhone, Android, Windows, macOS, Smart TV, et bien plus.
  • Une rapidité hors norme : Serveurs 10 Gbit/s et bande passante illimitée.

Ne perdez pas cette opportunité de sécuriser votre vie en ligne à un prix défiant toute concurrence. Téléchargez l’application, configurez-la, et commencez à naviguer sans contraintes ni inquiétudes !

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Microsoft met en avant Prism, son équivalent de Rosetta 2, qui évolue un peu pour les jeux

Pierre Dandumont

lundi 09 décembre à 21:30

Logiciels

Une des plus grandes réussites d'Apple avec sa transition vers les puces ARM en 2020 est Rosetta 2 : l'émulateur d'Apple offre d'excellentes performances pour exécuter les applications pensées pour les CPU x86. Rosetta 2 a même été amélioré avec macOS Sequoia, pour prendre en compte les évolutions des applications. C'était prévu, et Microsoft vient de l'annoncer, Prism — son équivalent de Rosetta 2 — va suivre la même voie.

La modification principale de Prism avec la build 27744 de Windows 11 vient de la prise en charge de nouvelles instructions x86, ce qui nécessite quelques explications. Au fil des années, Intel a ajouté des instructions spécialisées dans ses processeurs. Jusqu'à maintenant, Prism ne prenait pas en compte l'AVX — apparu en 2011 avec les Core de 2e génération — et l'AVX2 (2013, Core de 4e génération). Si sur le papier les instructions sont optionnelles, c'est de moins en moins le cas dans la pratique : de nombreux jeux ne se lancent pas quand les instructions sont absentes. De même, les dernières versions des outils d'Adobe nécessitent un CPU compatible AVX2.

Adobe impose un CPU compatible AVX2.

La mise à jour de Microsoft ajoute donc l'AVX et l'AVX2, mais aussi les instructions BMI — dédiée aux manipulations de bits, elles sont apparues avec les Core de 4e génération en 2013 —, FMA (apparues avec les Core de 4e génération en 2013, encore) et F16C (Core de 3e génération, 2012). Les différents ajouts permettent donc aux processeurs ARM employés dans les PC (mais aussi aux puces d'Apple si vous virtualisez Windows) d'obtenir les mêmes fonctions que des processeurs d'il y a une dizaine d'années. Microsoft note tout de même que les ajouts se limitent au code 64 bits : les applications 32 bits (de plus en plus rares) ne peuvent pas en profiter.

Microsoft n'indique pas si les performances sont améliorées, et pour une bonne raison : ce n'est pas nécessairement le cas. L'exemple le plus évident est celui des instructions AVX2 : elles permettent de travailler sur des vecteurs de 256 bits dans le monde x86. Dans les CPU ARM, il n'y a pas d'équivalent direct actuellement, et la solution la plus évidente consiste à passer par les instructions SVE, ce qui pose deux problèmes. Le premier est évident : elles ne sont pas présentes dans toutes les puces. Les cœurs Oryon des Snapdragon X Elite ne sont pas compatibles, par exemple. Le second problème est que les instructions SVE se limitent à 128 bits, ce qui implique que l'émulation de l'AVX2 nécessite deux passes1. Dans certains cas, le code AVX2 peut donc être plus lent que du code sans AVX2 sur les PC sous Windows ARM… quand les deux versions existent. Mais comme nous l'avons indiqué plus haut, c'est de moins en moins souvent le cas.

Test de l

Test de l'Asus Vivobook S15 : enfin un PC Windows ARM qui tient la route grâce au Snapdragon X


  1. En résumé, chaque instruction AVX2 nécessitera au moins deux instructions SVE... ce qui ralentit évidemment les calculs.  ↩︎

Source : Image d'ouverture : CC BY-NC-ND 2.0

Sora, le générateur de vidéos d’OpenAI, est lancé… sauf en Europe

Stéphane Moussie

lundi 09 décembre à 20:31

Ailleurs

Après une présentation en début d’année qui a retenu l’attention, OpenAI commence à mettre entre les mains des utilisateurs son premier générateur de vidéos. La disponibilité de Sora est limitée à l’heure actuelle : pour y accéder, il faut être abonné à ChatGPT Plus ou Pro et se trouver dans le bon pays.

Le nouveau service est disponible partout là où ChatGPT est déjà implanté, avec des exceptions notables : l’espace économique européen (l’Union européenne plus quelques pays d’Europe), la Suisse et le Royaume-Uni. OpenAI espère ouvrir Sora dans ces pays dans les prochains mois.

Vidéo générée par OpenAI avec Sora.

Le générateur s’utilise sur un site à part entière, sora.com. Pour faire fabriquer au modèle d’intelligence artificielle une vidéo (forcément muette, l'audio n'est pas géré), il suffit de décrire la scène souhaitée en quelques mots. On peut générer une vidéo à partir de rien d’autre que ce texte ou alors importer ses propres ressources visuelles pour les modifier selon ses envies. Sora Turbo, le nom exact de ce premier modèle, est capable de produire un clip aussi réaliste que possible tout comme une vidéo qui ne cache pas sa nature synthétique. Des outils de montage permettent de modifier après coup les compositions.

Mais plus encore qu’avec ChatGPT, la qualité est restreinte en fonction du type d’abonnement. Avec un compte ChatGPT Plus à 20 $/mois, on peut générer jusqu’à 50 vidéos prioritaires (générées rapidement) d’une durée maximale de 5 secondes et d’une définition 720p. Avec le très onéreux compte ChatGPT Pro à 200 $/mois, on passe à 500 vidéos prioritaires, une durée de 20 secondes et du 1080p. De plus, on peut télécharger les vidéos sans watermark visible — mais la provenance reste inscrite dans les métadonnées avec la norme C2PA.

OpenAI prévient que Sora est loin d’être parfait. À l’instar des premières vidéos artificielles diffusées en début d’année où l’on voyait par exemple des jambes s’entrecroiser, le service génère toujours souvent des aspects physiques irréalistes. L’entreprise a pris des mesures pour que son service ne puisse être utilisé pour générer du contenu pédopornographique ou des deep fake sexuels mais, signe qu’elle n’est pas encore sûre de sa sécurité, les importations d’images de personne sont limitées pour le moment.

Dans cette nouvelle course à la génération de vidéos, OpenAI concourt avec Adobe (Firefly intégré à Premiere Pro), Google (Veo) ou encore Meta (Movie Gen).

Des artistes se rebiffent contre OpenAI et font fuiter un accès à Sora

Des artistes se rebiffent contre OpenAI et font fuiter un accès à Sora

Le Raspberry Pi 500 « ordinosaure » arrive, avec un écran portable de 15 pouces

Pierre Dandumont

lundi 09 décembre à 17:00

Matériel

La fondation qui gère les cartes Raspberry Pi vient d'annoncer le Raspberry Pi 500, un nouveau modèle qui s'approche un peu des ordinosaures des années 80 : une carte Raspberry Pi 5 intégrée dans un clavier. Elle est accompagnée d'un nouvel accessoire (encore), un écran portable aux couleurs de la marque.

Le Raspberry Pi 500. Image Raspberry Pi.

L'arrivée du Raspberry Pi 500 était un secret de polichinelle, après un Raspberry Pi 400 assez réussi. Dans un boîtier de la taille d'un clavier — qui existe avec un agencement AZERTY —, on retrouve une carte Raspberry Pi 5 (4 cœurs Cortex A76 à 2,4 GHz) avec 8 Go de RAM. Le boîtier propose les prises GPIO classiques avec un branchement à l'arrière, une prise USB 2.0, deux prises USB 3.0 (5 Gb/s par port), une prise USB-C pour l'alimentation, une prise Ethernet (1 Gb/s) et deux sorties Micro HDMI (malheureusement). La carte intègre du Bluetooth et du Wi-Fi 5 et la fondation livre une carte microSD de 32 Go avec l'ordinateur.

Le Raspberry Pi 500. Image Raspberry Pi.

Si la carte intégrée dans l'ordinateur est très largement plus efficace que dans le Raspberry Pi 400, deux des défauts restent présents. Le premier est le choix des prises Micro HDMI alors que le format de ce modèle permettrait l'intégration d'une prise classique, nettement plus pratique. Le second, mis en avant dans le test de Jeff Geerling, vient de l'absence d'emplacement M.2. Comme le bidouilleur le montre, les traces du connecteur sont présentes — avec une prise M.2 2280 — mais il n'est pas actif. La présence d'une carte microSD rapide est certes une bonne nouvelle, mais la possibilité d'installer un SSD M.2 NVMe aurait été réellement un avantage.

La connectique. Image Raspberry Pi.

L'ordinateur est annoncé à 90 $, 113 € en France. Une version livrée avec un chargeur USB-C (27 W), une souris, un câble Micro HDMI vers HDMI et un guide est aussi annoncée pour 120 $. La version 400, elle, reste au catalogue et perd 10 $. Dans tous les cas, c'est un ordinateur prêt à l'emploi (ou presque, il manque une souris, un écran et une alimentation) qui offre des performances correctes compte tenu de son prix (mais qui restent faibles dans l'absolu).

Une carte à la crème : le Raspberry Pi 5 vaut-il encore le coup ?

Une carte à la crème : le Raspberry Pi 5 vaut-il encore le coup ?

Un écran portable

Le nouvel accessoire de la marque est donc un écran de 15,6 pouces portable. Le moniteur reste assez limité dans l'absolu : il offre une dalle IPS en 1 920 x 1 080 — une définition trop élevée ou trop faible, en fonction des points de vue — avec une luminosité maximale un peu faible (250 cd/m²). Les tests (comme celui de Tom's Hardware) montrent que la couverture de l'espace DCI-P3 est faible : seulement 45 % (un peu moins de 65 % du sRGB).

Le moniteur portable. Image Raspberry Pi.

Il intègre deux haut-parleurs (1,2 W) et une sortie jack qui permet de récupérer l'audio de la prise HDMI. Le moniteur dispose d'une entrée HDMI 1.4 et s'alimente en USB-C (sans prise en charge de la vidéo). Il nécessite une alimentation USB-C capable de fournir 3 A avec une tension de 5 V pour atteindre la luminosité maximale. Il peut aussi être alimenté par un Raspberry Pi, mais avec une luminosité limitée à 60 % (environ 150 cd/m²) et un volume sonore réduit à 50 %. Le moniteur dispose d'un pied intégré1 et des vis nécessaires pour le fixer sur un support VESA2.

Il est annoncé à 100 $, 144 € en France. C'est un prix relativement correct compte tenu des fonctions, même si le moniteur a tout de même quelques défauts. Il ne possède pas d'entrée vidéo USB-C et il est un peu limité techniquement, mais compte tenu du prix et de la concurrence disponible, ce sont des compromis acceptables.


  1. Qui n'est pas optionnel.  ↩︎

  2. Qui n'est pas optionnel.  ↩︎

Xavier Niel : le Player Devialet a été un signe d'embourgeoisement de Free

Florian Innocente

lundi 09 décembre à 15:25

Matériel

La Freebox Delta Devialet n'a pas été un échec commercial, mais elle a été le symbole d'une forme d'embourgeoisement de Free, constate Xavier Niel, 6 ans après ce lancement.

Fin 2018, Free annonçait sa nouvelle Freebox Delta, laquelle incluait un gros player conçu avec Devialet, le spécialiste des enceintes audio haut de gamme. Une signature inattendue et facturée à hauteur du positionnement de la marque française puisque ce player-enceinte était vendu 480 €. Il n'y avait pas d'option pour une location, tout au plus pouvait-on payer en plusieurs fois. À cela s'ajoutait l'abonnement mensuel pour son accès internet à un peu moins de 50 €. Une offre de pointe techniquement et cossue financièrement.

Lancement de la Freebox Delta le 4 décembre 2018. Images MacGeneration.

Free, l'opérateur qui cassait les prix, s'associait avec un fabricant courant habituellement après une clientèle aisée (Niel était déjà à l'époque l'un des actionnaires de Devialet, il pouvait y avoir des intérêts croisés). La chantilly a monté, plusieurs centaines de milliers de Delta ont été vendues, mais pas aussi haut qu'espéré en définitive.

La Freebox Delta à 49,99 €/mois… plus 10 €/mois pendant 48 mois

La Freebox Delta à 49,99 €/mois… plus 10 €/mois pendant 48 mois

Dans une interview à France Culture, Niel a reconnu, avec le recul, qu'il y avait une contradiction entre l'image de Free et cette offre faite aux clients :

À un moment, je pense qu’on s’embourgeoise. C'est-à-dire qu’on se dit, tout va bien, les Français sont tous très riches, on va faire une box à 500 €… Et puis un matin, on se lève et on en a vendu des centaines de milliers, c’est pas mal. Mais il faut nous ramener à notre condition, on vend un produit à l’ensemble des Français et quand on fait cela, il ne faut pas l’oublier.

Après Starck pour la Freebox Revolution, Free avait confié le design de la Delta à une autre pointure : Jasper Morrison.

Un moment d'égarement avant de se ressaisir et de se souvenir de la réalité du marché et de celui auquel Free avait pris l'habitude de s'adresser en priorité :

Ça nous oblige à nous rappeler que la réalité, c'est que la grande majorité des Français galèrent de quelques euros et qu’à ce moment-là notre offre était adaptée à quelques Français, tant mieux pour eux

Le Player Devialet n'est plus proposé par Free, mais il n'est pas perdu. Il avait été conçu pour fonctionner indépendamment du boitier Server et se cantonner si nécessaire dans un rôle de grosse enceinte connectée.

En difficulté, Devialet chercherait à rééchelonner sa dette

En difficulté, Devialet chercherait à rééchelonner sa dette

Source : Via Clubic