Apple a remis de l'argent dans le marketing de Final Cut Pro X. Trois exemples d'utilisation de son logiciel de montage vont être mis en avant à compter d'aujourd'hui sous la forme de clips.Le timing n'est pas anodin, le NAB 2013, salon professionnel du milieu de l'audio et de la vidéo démarre le 6 avril à Las Vegas. Apple ne figure pas au rang des participants mais elle entend se rappeler au bon souvenir de certains clients, ceux qu'elle a perdus et ceux qui sont restés sur la précédente version 7 de son logiciel.
Le Los Angeles Times qui a eu la primeur de ces clips, explique qu'ils mettront en scène trois personnes. Un franco-canadien, Julian Liurette, monteur au Globe and Mail de Toronto, qui a redécouvert cette version X après les multiples mises à jour fournies par Apple et dont il apprécie finalement l'interface et les performances ; le réalisateur Hong-Kongais Tsui Hark (dont la longue filmographie compte par exemple Detective Dee : Le mystère de la flamme fantôme) et une chaîne mexicaine, TV Azteca qui produit quantité de documentaires et de séries. Pour le monteur de cette chaine, c'est la vitesse de Final Cut Pro qui distingue le logiciel des autres solutions.
Le Los Angeles Times revient sur les débuts difficiles du dernier FCP X et se fait aussi l'écho de la crainte de certaines personnes face à un Apple dont ils ne savent trop que penser quant à l'avenir de son logiciel et l'un de ses principaux concurrents, Avid, qui reste dans une santé financière délicate. Rappel : Final Cut Pro X peut être testé pendant 30 jours avec une version démo. Il est vendu 270€ sur le Mac App Store.
Ce n'est pas le clip de pub d'Apple, mais Julian Liurette qui s'amusait il y a un an sur YouTube à tester quelques-unes des nouvelles fonctions de Final Cut Pro X
[MàJ] : la section Final Cut Pro du site d'Apple rend maintenant compte de l'utilisation du logiciel par Tsui Hark ainsi qu'au sein du Globe and Mail. Cela prend la forme classique d'une explication de la méthode utilisée ainsi que du matériel. Pas de vidéos.
