Belle année 2005 pour Adobe

Christophe Laporte |
Adobe a publié hier soir ses comptes trimestriels et annuels pour l’année 2005. Le chiffre d’affaires, que ce soit pour le dernier trimestre 2005 que pour l’exercice fiscal 2005 progresse d’un peu plus de 18 %, et atteint respectivement 510 millions de dollars et 1,966 milliard de dollars. La firme de San Jose a réalisé sur l’année un résultat net de 603 millions de dollars contre 450 millions de dollars l’année précédente. Les dirigeants d’Adobe ont fait savoir que suite à l’acquisition de Macromedia, ils allaient procéder à la suppression de 600 à 700 emplois soit 10 % de l’effectif du groupe.
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#Adobe
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C'est ce que l'on appelle un "licenciement Flash" !
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Je trouve ça équeurant !
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Lors de la transition vers CS1, j'avais demandé à Adobe pourquoi un possesseur des licences Photoshop, InDesign et Golive payait plus cher ses mises à jour (au total) que celui qui avait simplement Photoshop et qui migrait vers CS1. La réponse a été "c'est vrai cela revient plus cher quand on a déjà plusieurs logiciels". Sympa la reconnaissance envers les fidèles, un simple proposition commerciale m'aurait fait rester client...
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Les grosses entreprises font de très gros bénéfices, elles licencient, elle n'en font pas assez, elles "ferment"... merde de monde. :-/
avatar Anonyme (non vérifié) | 
On peut aussi ajouter le fait qu'Adobe devrait rembourser la différence pour toutes les versions indûments trop onéreuses, ce pour abus de position dominante, et avec effet rétroactif, et pénalités de retard pour tout délai au remboursement. Non mais ! Et je défie tout internaute de donner un lien vers la moindre page sur le net justifiant le bien fondé de cette différence tarifaire. Autre chose: A l'heure où (Adobe en tête) les éditeurs font tout pour contrer le piratage informatique, comment qualifier ce procédé ? Piratage économique ? A chacun de juger... En tout cas, si pirates il y a, les armes sont étrangement des deux côtés. Qui l'eût cru ?
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Je passe par là, et suis étonné que des questions pareilles n'enflamment pas davantage les passions. Apparemment, soit les infographistes francophones européens ne sont pas trop près de leurs sous et "raquent" sans broncher près de deux fois plus qu'outre-atlantique, ou alors ils sont tous des pirates ? On dirait que cette différence tarifaire les laisse indifférents ? En tout cas, moi qui payais mes logiciels, je sais à présent comment résoudre cette injustice. Vous faites comme moi ?

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