Dans l'affaire qui oppose Nokia à Apple sur des questions de propriété intellectuelle, le fabricant finlandais de téléphones a demandé à ce que la firme de Cupertino soit déboutée de son action, arguant que la contre-attaque d'Apple « [n']est destinée qu'à détourner l'attention de son pillage de la propriété intellectuelle de Nokia ».
Ce genre de pratique, attaque contre attaque, est un cas très classique de ce genre d'affaires, qui force les deux protagonistes à s'asseoir autour d'une table et à discuter, un règlement à l'amiable coûtant moins cher financièrement et en termes d'image qu'un procès-fleuve, qui, dans le cas présent, ne commencerait qu'en 2012.
Mais Nokia ne semble pas prête à transiger, allant jusqu'à accuser Apple de « révisionnisme », le mot est lâché, ajoutant que la firme de Cupertino fait se succéder aux déclarations « vides de sens » des « théories légales contradictoires et fautives », dans l'espoir « de convertir l'échec des négociations en un jugement fédéral ». Nokia explique ainsi qu'une série d'offres et de contre-offres ont circulé entre elle et Apple, sans jamais parvenir à un accord, ce qui l'a poussé à entrer sur le terrain judiciaire.
Voilà qui promet une guérilla de communication pas forcément du meilleur goût, alors que l'ITC ne se penchera sur le dossier d'Apple qu'en octobre, pour une décision en juin 2011. Il devrait faire de même pour Nokia à une date encore indéterminée, pour une décision avant mai 2011.
Sur le même sujet :
- Affaire Nokia - Apple : rendez-vous en 2012
- L'intégralité de l'affaire Nokia-Apple
Ce genre de pratique, attaque contre attaque, est un cas très classique de ce genre d'affaires, qui force les deux protagonistes à s'asseoir autour d'une table et à discuter, un règlement à l'amiable coûtant moins cher financièrement et en termes d'image qu'un procès-fleuve, qui, dans le cas présent, ne commencerait qu'en 2012.
Mais Nokia ne semble pas prête à transiger, allant jusqu'à accuser Apple de « révisionnisme », le mot est lâché, ajoutant que la firme de Cupertino fait se succéder aux déclarations « vides de sens » des « théories légales contradictoires et fautives », dans l'espoir « de convertir l'échec des négociations en un jugement fédéral ». Nokia explique ainsi qu'une série d'offres et de contre-offres ont circulé entre elle et Apple, sans jamais parvenir à un accord, ce qui l'a poussé à entrer sur le terrain judiciaire.
Voilà qui promet une guérilla de communication pas forcément du meilleur goût, alors que l'ITC ne se penchera sur le dossier d'Apple qu'en octobre, pour une décision en juin 2011. Il devrait faire de même pour Nokia à une date encore indéterminée, pour une décision avant mai 2011.
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