Alors que l'on pensait que l'affaire allait se tasser, c'est au tour du Financial Times d'en remettre une couche. Le journal affirme que Steve Jobs aurait reçu 7,5 millions de stock-options en 2001, sans l'aval, pourtant indispensable, du conseil d'administration. Des documents pour faire croire le contraire, et donc approuver la rémunération du patron d'Apple, auraient été falsifiés ultérieurement. Peut-être est-ce pour cela que Steve Jobs n'a pas exercé ses stock-options. On devrait y voir plus clair très prochainement. Selon le Financial Times, Apple devrait transmettre un document relatif à ces irrégularités aux autorités boursières d'ici la fin de la semaine.