Swift Package Manager (2/3) : au quotidien

Florent Morin |

Si vous avez lu le précédent article de la série, vous connaissez maintenant l’origine et l’intérêt de Swift Package Manager (SPM), le gestionnaire de paquets proposé par Apple. Dans ce nouveau chapitre, nous allons explorer un peu plus en détail les forces et limites de cet outil dans le quotidien des développeurs.

Une intégration efficace à Xcode

C’est le principal point fort d’un outil proposé par Apple : alors que les autres gestionnaires de paquets nécessitent tout un attirail de composants externes, SPM est directement intégré à Swift et à Xcode. L’environnement de développement fournit des interfaces graphiques qui peuvent être plus agréables à utiliser que les outils lignes de commande.

L'accès à SPM depuis un projet Xcode.

Pour ajouter un paquet, tout se fait depuis cette interface, accessible via l’onglet « Package Dependencies » du projet. Par exemple, si vous voulez ajouter le très utilisé kit de développement Firebase à votre projet iOS, cliquez sur le bouton + et vous verrez un champ de recherche en haut à droite.

avatar Lokan17 | 

Question peut être bête , Swift s’apparente à du C ( je commence juste les cours de programmation) ? Merci langages de bas niveau ?

avatar amauryg13 | 

@dwayned17
L’Objective C s’apparente plus à du C. Le Swift est quand même un language d’un plus haut niveau que le C.

avatar Lokan17 | 

@amauryg13

D’accord , merci 🙏🏻

avatar Florent Morin | 

Swift est un langage dit "sécurisé" dans le sens où il va gérer automatiquement la mémoire, les pointeurs, etc. La contrepartie, c'est que l'exécution peut être plus lente. Mais c'est moins source de bugs.

Objective-C apporte une couche objet au C et quelques mécanismes de gestion de mémoire automatique.

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