Low-code (1/2) : des plateformes pour faciliter les développements

Florent Morin |

Le principe n’est pas nouveau en soi, mais c'est une pratique qui se démocratise dans le monde du développement : les entreprises tirent parti de plates-formes « low-code » pour créer des apps en diminuant la quantité de code à écrire. Leurs bons résultats sur le long terme en font des outils de plus en plus privilégiés, sans détriment majeur sur la qualité. Partons à la découverte de ces plateformes.

Qu’est-ce qu’une plate-forme low-code ?

Une plate-forme low-code permet de concevoir tout ou partie d’une app sans connaissance technique approfondie. Elle permet aux équipes mobiles de gérer leurs apps en diminuant la part du développement nécessaire et ainsi donner plus d’autonomie aux autres équipes.

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Le tout revient à assembler sans ligne de code, ou presque, les différentes briques d'une app, par le biais d’un logiciel de gestion de contenu relativement simple à appréhender. L’idée étant de ne pas avoir besoin de connaissances techniques pointues pour arriver à ses fins.

Services web

La première brique qui peut bénéficier des avantages du low-code est le service web permettant de gérer des contenus venant d'un prestataire externe (ou interne, mais c’est plus rare).

avatar pascol | 

Je ne vois pas la sécurité plus grande dans un navigateur.
Généralement on utilise un proxy qui fait du man in the middle pour regarder tout ce qui sort des requêtes d’un navigateur (outils burp ou zap par exemple). Donc résultat identique pour connaître les appels aux « API ».
Ce qu’il faut avoir c’est de l’API management avec une gestion des droits d’accès au niveau serveur.

avatar nickyrabbit | 

Est-ce qu’un outil de « programmation visuelle » comme parabola.io serait à classer dans le « no - code » ?

avatar cybergl | 

Toutes ces solutions ne sont pas très transparentes au niveau des tarifs. Vous avez des info ?

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