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Parallels Desktop est prêt pour macOS Sequoia

Félix Cattafesta

Friday 13 September à 15:00

Logiciels

Qui dit nouvelle mouture de macOS dit nouvelle version de Parallels Desktop ! La vingtième édition de cet utilitaire de virtualisation est désormais disponible. Elle a surtout l’avantage de prendre en charge Sequoia et d’améliorer la stabilité des applications sur ce système d'exploitation. Ce n’est pas tout, et certains outils de reformulation de texte d'Apple Intelligence pourront être utilisés dans les apps Windows.

Image Parallels.

Au rayon nouveautés, on notera que Sequoia offre la possibilité de se connecter à son Apple ID dans les machines virtuelles macOS ! Cette nouveauté très attendue fonctionne uniquement sur les bécanes Apple Silicon. La prise en charge de Windows a été perfectionnée, avec l'arrivée de l'installation express de Windows 11 sur les Mac Intel ou des correctifs pour le redimensionnement des fenêtres. Il est désormais possible de lancer les versions ARM de Windows 11 sur Mac, et l’arrivée de Prism (le Rosetta de Microsoft) améliore les performances jusqu’à 80 % sur certaines charges de travail.

Pour les développeurs, on notera l’apparition d’un package « Parallels AI » permettant d’expérimenter avec des modèles d’IA via une une machine virtuelle préconfigurée. Cette nouveauté est proposée gratuitement dans les versions Business et Enterprise, et sera offerte pour la déclinaison Pro en 2024. L’édition standard coûte 100 € par an ou 130 € en achat unique. Les notes de mises à jour peuvent être trouvées ici.

Unity fait machine arrière sur sa très controversée taxe à l’installation

Félix Cattafesta

Friday 13 September à 12:45

Services

Ça pour un fiasco, c’est un fiasco. L’année dernière, Unity décidait du jour au lendemain d’imposer une nouvelle redevance aux développeurs utilisant son moteur 3D. Celle-ci se basait sur le nombre de fois où leur jeu était installé et se voulait rétroactive : les clients d’Unity passaient d’un tarif fixe à un prélèvement mensuel variable pouvant amener des frais plus élevés. La taxe reposant sur le nombre de téléchargements, elle pouvait se révéler désastreuse pour un jeu gratuit devenant viral. Un an après sa mise en place, Unity jette l’éponge et a annoncé revenir à un système d’abonnement plus standard.

Il faut dire que l’annonce de ce nouveau modèle tarifaire avait suscité une impressionnante levée de fourches. Certains studios connus ont publiquement déclaré envisager de changer de moteur, tandis que d’autres ont promis ne plus utiliser Unity pour leurs futurs projets. Certains développeurs mobiles ont boycotté le moteur en désactivant la monétisation des publicités dans leurs jeux, gelant ainsi les revenus publicitaires versés à l'entreprise. Le CEO de la boîte a quitté son poste un mois après la mise en place de cette taxe.

Unity se cherche un nouveau patron après le fiasco de la rentrée

Unity se cherche un nouveau patron après le fiasco de la rentrée

Depuis ce faux départ, Unity a bien tenté d’arrondir les angles en revoyant le seuil à partir duquel la redevance par téléchargement s'applique ou en proposant une alternative avec un taux fixe de 2,5 %, mais cela n’a pas suffi à calmer la gronde. Unity est utilisé sur de multiples plateformes (dont iOS/macOS) et se trouve derrière certains free-to-play célèbres comme Pokémon Go.

Unity explique qu’après « une consultation approfondie avec notre communauté, nos clients et nos partenaires », décision a été prise d’annuler cette taxe. L’entreprise va revenir à son modèle d’abonnement classique, faisant tout de même augmenter certains tarifs à partir du premier janvier 2025. L’annonce est à effet immédiat et concerne également Unity 6, la nouvelle version du moteur.

Cette affaire aura fait beaucoup de mal à la réputation Unity. L’entreprise a perdu la confiance de nombreux clients, qui ont commencé à s’intéresser à ce que propose la concurrence. Des alternatives comme Godot ou GameMaker ont été mises en lumière pendant plusieurs semaines, captant un public de développeurs cherchant à se lancer.

OpenAI lance deux nouveaux modèles o1 présentés comme capables de « raisonner »

Félix Cattafesta

Friday 13 September à 10:52

Ailleurs

Grosse semaine pour OpenAI, qui a lancé hier deux nouveaux modèles d’IA présentés comme plus malins et ayant la capacité de « raisonner ». Baptisés o1 et o1-mini, ceux-ci auraient été entrainés à affiner leur processus de réflexion et à essayer différentes stratégies avant de donner une réponse. Des modèles qui peuvent se « fact-checker » en quelques sorte, et qui pourraient « reconnaître leurs erreurs ».

OpenAI n’y va pas avec le dos de la cuillère dans son communiqué, affirmant que certains de ces modèles ont obtenu des résultats similaires à ceux des doctorants sur des tâches exigeantes en physique, chimie et biologie. Ils auraient également découvert qu'ils « excellent en mathématiques et en programmation ». Les papiers techniques présentent des modèles formidables avec des résultats parfois bien meilleurs que GPT-4o. On attendra de voir ce qu’en pensent les testeurs indépendants pour se forger un avis, les benchmarks d’IA n’étant pas forcément des plus fiables.

Un chercheur d’OpenAI a expliqué à The Verge que ces modèles étaient entraînés d’une manière « fondamentalement différente » avec « un tout nouvel algorithme d'optimisation » spécialement conçu pour eux. S’il y a visiblement des progrès, la méthode ne règle pas complètement le souci d’hallucination, à savoir le fait que le modèle peut raconter n’importe quoi. Cela reste la principale faille de cette technologie, qui peut résoudre des problèmes de mathématiques très complexes mais rame pour certaines questions beaucoup plus simples.

Si les promesses sont intéressantes, tout est pour le moment limité : le modèle n’a pas accès au web et ne peut pas recevoir d’images. Le coût pour les développeurs est bien plus élevé que pour GPT-4o, avec des tarifs étant 3 à 4 fois plus chers. OpenAI présente ce modèle comme un « aperçu » et nous prévient que GPT-4o restera plus performant à court terme pour de nombreuses tâches. Face à la vague d’enthousiasme des utilisateurs, la gestionnaire de produit d’OpenAI a dû calmer le jeu en rappelant que les nouveaux modèles n’étaient pas « des modèles miracles » avant de promettre que ceux-là allaient « continuer de s’améliorer ».

o1 est livré dans une version standard et mini, qui a l’avantage d’être plus rapide tout en étant conçue pour « répondre aux questions en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques ». Les deux peuvent être essayés par les abonnés à ChatGPT Plus et Team, et OpenAI a promis que la version o1-mini sera accessible aux utilisateurs gratuits par la suite.

Aux dernières nouvelles, le ChatGPT d'OpenAI compte plus de 10 millions d'abonnés payants, auxquels s’ajoutent 1 million d'abonnés supplémentaires faisant partie de plans pour les équipes professionnelles. OpenAI aurait annoncé à ses investisseurs être en pourparlers avec un fonds d'investissement soutenu par les Émirats arabes unis dans le but de lever jusqu'à 7 milliards de dollars supplémentaires.

Premières pubs centrées sur Apple Intelligence

Stéphane Moussie

Friday 13 September à 10:06

Video

Apple n’a pas attendu le lancement des iPhone 16 pour diffuser les premières publicités focalisées sur Apple Intelligence. Dans chacune d’entre elles figure l’actrice britannique Bella Ramsey (Game of Thrones, The Last of Us…).

Dans la première pub, c’est la création de Souvenirs personnalisés qui est mise en avant pour honorer la mémoire d’un poisson rouge mort. Dans la seconde, Apple Intelligence est mis à profit pour résumer rapidement un email qui avait été ignoré. Et dans la troisième, le nouveau Siri capable de fouiller dans les données personnelles est appelé à l’aide pour remémorer le prénom d’une personne croisée précédemment.

Apple prend un peu d’avance en diffusant ces annonces dès maintenant, car Apple Intelligence ne sera pas disponible dès le lancement des iPhone 16 le 20 septembre (c'est précisé en tout petit et brièvement dans les vidéos). Il faudra attendre iOS 18.1, qui arrivera en octobre. Et encore, les fonctionnalités seront toujours en bêta et pas toutes présentes. Image Playground, qui permet de générer des images d’adorables chiots, ne devrait être intégré qu’à partir d’iOS 18.2 à la toute fin de l’année. L'attente sera encore plus longue pour les clients européens, puisqu'Apple Intelligence ne sera pas disponible dans l'Union européenne avant l'année prochaine.

Embauchez une armée numérique pour faire effacer vos données personnelles du web 📍

Article sponsorisé

Thursday 12 September à 23:45

Logiciels

Qu’il est loin le temps où Internet était un espace d’échanges et de découvertes libre et un peu naïf ! Vingt ans plus tard, c’est devenu une énorme industrie avec des enjeux économiques majeurs. Il n’est pas rare de qualifier les données numériques l’or noir du 21e siècle. Et c’est tout le problème, pour nous, simples internautes, nos données personnelles ont de la valeur et suscitent la convoitise aussi bien des grands groupes que de personnes malintentionnées.

Maintenant sur Internet, il faut sortir couvert : utiliser un navigateur respectueux de la vie privée comme Safari ou Brave ou équiper celui-ci d’extensions qui vont bien, utiliser de préférence un VPN surtout si la connexion utilisée n’est pas sure, avoir son système à jour… Si ces pratiques sont évidemment à encourager, elles sont insuffisantes. On finit toujours par confier (volontairement ou non) des données à des services. Ces données, comme votre nom, prénom, adresse email ou encore numéro de téléphone, suscitent la convoitise de ce qu’on appelle des data brokers (courtiers en données en bon français), qui ne rêvent que d’une chose : pouvoir les exploiter afin de les faire fructifier. Le produit c’est vous, comme dirait l’autre.

Et puis, il arrive que certains services soient piratés, que vos données se retrouvent dans la nature et finissent compilées dans un fichier échangé sous le manteau pour quelques centimes.

Ce SMS de Netflix est une énorme arnaque, protégez-vous dès à présent 📍

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Boulanger, Cultura et d’autres sites victimes de fuites de données

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Se débarrasser des arnaques par SMS et du démarchage abusif : guide complet📍

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Ces situations sont très frustrantes, car on se sent impuissant. Heureusement des solutions existent comme Incogni, la solution de Surfshark qui a été pensée pour bloquer l’activité de ces courtiers en données.

Incogni : une armée de robots pour faire disparaître vos données du web

Le but d’un data broker, c’est d’amasser le plus de données possible et de préférence d’avoir des fichiers extrêmement détaillés sur une personne. Tout est susceptible de les intéresser : identité, adresse mail, adresse postale, centre d’intérêt, historique de navigation, numéro de sécurité sociale… Plus le ficher est complet, plus le courtier pourra le vendre cher.

En fonction de l’acheteur, les conséquences seront différentes pour vous. Cela peut donner lieu à du spam bête et méchant, à des campagnes de mailing ou de SMS très précises, à des appels téléphoniques non désirés… Mais surtout, cela peut donner lieu à des d’arnaques (le phishing étant la plus connue) afin d’accéder à certaines de vos données qui ont encore plus de valeur, à des tentatives de vol de votre identité ou au vol de informations bancaires (carte de crédit…). Une chose est certaine : ces gens ne manquent pas d’imagination.

Comment retrouver sa liberté

La démarche est simple et vous pouvez la faire vous-même : il vous faut contacter un par un tous les brokers, demander la suppression de vos données en faisant jouer les réglementations en vigueur comme le Règlement général sur la protection des données (RGPD) ou le California Consumer Privacy Act (CCPA). Seul souci : comptez 300 heures pour supprimer une seule fois vos informations personnelles des bases de données des data brokers.

Le plus simple est de confier cette tâche à l’armée numérique d’Incogni. Il suffit de s’inscrire, de faire part de vos données personnelles et de donner votre consentement pour qu’Incogni fasse le travail à votre place.

Dès lors, les serveurs d’Incogni vont se mettre en marche, établir une liste de courtiers de données susceptibles d’avoir vos informations, puis les contacter un par un et surtout les relancer sans cesse jusqu’à obtenir gain de cause.

Incogni : on l

Incogni : on l'a testé, que vaut le service de suppression de vos données en ligne ? 📍

Malheureusement, c’est un travail sans fin. Vos données peuvent réapparaître à tout moment chez un broker. Et c’est pour cela que nous vous recommandons de prendre d’ailleurs la formule annuelle chez Incogni qui présente également l’avantage d’être plus économique sur le plan financier. Plus vite vos données seront repérées chez un broker, moins ce dernier aura le temps de les exploiter !

En tant qu’utilisateur, vous avez accès à une interface simple qui vous permet de suivre les avancées d’Incogni en temps réel. Vous pouvez savoir par exemple quel broker a des données sur vous et à quels points ces dernières sont sensibles… Le service en cesse de s’améliorer. Il gère plus de 175 data brokers, soit 30 de plus qu’il y a un an.

Dites non à la collecte de données et inscrivez-vous ! Les demandes de suppression de données sont envoyées à tous les courtiers concernés dès le premier jour. Les premières suppressions interviennent normalement au bout de quelques semaines.

Reprenez vraiment le contrôle de vos données. Vous pouvez opter soit pour une formule mensuelle soit pour une formule annuelle. Cette dernière que nous vous recommandons est actuellement en promotion à -50 %.

👉 Testez Incogni et reprenez le contrôle de votre vie numérique !