Il est loin le temps où les produits Apple étaient en voie de disparition sur les campus américains. L’étude annuelle de l'université du Texas montre à quel point le rapport de force s'est inversé en l'espace de seulement quelques années.
Les auteurs de ce rapport (format PDF) établissent trois catégories : les ordinateurs connectés au réseau de l'université en Ethernet, les ordinateurs qui utilisent le Wi-Fi et les terminaux mobiles. Le réseau de l’université recense 158 000 appareils informatiques au sens large (du smartphone à la station de travail en passant par la tablette).
Dans la catégorie "ordinateurs se connectant au réseau via Ethernet", la part d'utilisation des produits Apple est de 23 %, un chiffre quasiment inchangé par rapport à la précédente étude. Avec 58 % de part d'utilisation, Microsoft domine les débats. On notera qu'avec 14 %, Unix occupe une place significative. Ce n'est pas surprenant pour une université qui doit disposer d'importants labos de recherche.
Dans la section "ordinateurs Wi-Fi", le rapport de force est bien tout autre : on parle cette fois des machines d'abord et avant tout utilisées par les étudiants. C'est le Macintosh qui est majoritaire avec 52 % de part d'utilisation. Les différentes versions de Windows réalisent au total un score de 47 %. Windows 7 est d'ores et déjà la version de Windows la plus utilisée avec une part d'utilisation de 26 %. Si la part de Linux/Unix était importante sur les stations de travail, elle est confidentielle sur ce type d'appareils (à peine 1 %).
Enfin, dans la section "système d'exploitation pour terminaux mobiles", iOS domine de la tête et des épaules. L'iPhone dispose d'une part d'utilisation de 53 %, l'iPod touch de 21 % et l'iPad de 9 %. Android arrive en troisieme position avec 12 % seulement.
Il est à noter que les terminaux mobiles représentent désormais 22 % du parc informatique se connectant au réseau de l'université. Il va sans dire également que ces appareils ont un impact important sur la consommation totale de bande passante.
Les auteurs de ce rapport (format PDF) établissent trois catégories : les ordinateurs connectés au réseau de l'université en Ethernet, les ordinateurs qui utilisent le Wi-Fi et les terminaux mobiles. Le réseau de l’université recense 158 000 appareils informatiques au sens large (du smartphone à la station de travail en passant par la tablette).
Dans la catégorie "ordinateurs se connectant au réseau via Ethernet", la part d'utilisation des produits Apple est de 23 %, un chiffre quasiment inchangé par rapport à la précédente étude. Avec 58 % de part d'utilisation, Microsoft domine les débats. On notera qu'avec 14 %, Unix occupe une place significative. Ce n'est pas surprenant pour une université qui doit disposer d'importants labos de recherche.
Dans la section "ordinateurs Wi-Fi", le rapport de force est bien tout autre : on parle cette fois des machines d'abord et avant tout utilisées par les étudiants. C'est le Macintosh qui est majoritaire avec 52 % de part d'utilisation. Les différentes versions de Windows réalisent au total un score de 47 %. Windows 7 est d'ores et déjà la version de Windows la plus utilisée avec une part d'utilisation de 26 %. Si la part de Linux/Unix était importante sur les stations de travail, elle est confidentielle sur ce type d'appareils (à peine 1 %).
Enfin, dans la section "système d'exploitation pour terminaux mobiles", iOS domine de la tête et des épaules. L'iPhone dispose d'une part d'utilisation de 53 %, l'iPod touch de 21 % et l'iPad de 9 %. Android arrive en troisieme position avec 12 % seulement.
Il est à noter que les terminaux mobiles représentent désormais 22 % du parc informatique se connectant au réseau de l'université. Il va sans dire également que ces appareils ont un impact important sur la consommation totale de bande passante.