Mike Nelson, qui détient 8 % de Palm, aurait déclaré que Palm serait à vendre. La société n’aurait pas, selon lui, ni la taille ni les moyens pour s’imposer sur le marché des smartphones. Fin 2005, un autre actionnaire détenant 5 % du capital a tenu des propos similaires. Parmi les éventuels repreneurs, on pense bien évidemment à Apple. Cependant si sur le papier, une telle transaction aurait du sens du fait que de nombreux dirigeants ont travaillé pour les deux sociétés et que leurs produits sont complémentaires, il n’y a pour l’heure aucun signe tangible laissant entendre que...