Apple a fini l’année 2007 en fanfare. Pour la première fois depuis bien longtemps, le Macintosh a frôlé la barre des 4 % (3,997% très exactement…) de part de marché en France sur les trois derniers mois de l’année selon Gartner. À la même époque l’année précédente, la part de marché d’Apple était de 3,25 %. En Europe de l’ouest également, la société californienne progresse à une cadence nettement plus élevée que la moyenne.
Cette performance est d’autant plus intéressante que le grand public ne s’est pas rué sur les ordinateurs à l’occasion des fêtes de fin de l’année. Selon l’institut d’études, la croissance a été tirée par les professionnels (+10 %) alors qu’elle n’était que de 3,8 % sur le grand public. Les ventes de Macintosh d’une année sur l’autre ont crû de 30 %, soit six fois plus vite que le reste de l’industrie, une statistique qui devrait faire plaisir au management d’Apple.
Cette percée du Macintosh dans l’Hexagone concerne aussi bien les ordinateurs de bureau estampillés d’une pomme (+29 %) que les portables (+31 %). Cette embellie n’est pas saisonnière, puisque sur l’ensemble de l’année 2007, Apple a livré en France un peu plus de 316 000 Mac, un chiffre en progression de 31,8 % par rapport à 2006.
Comment expliquer ces bons résultats ? Les raisons ne manquent pas. On pense à l’effet halo, à la sortie de Leopard, à la commercialisation des nouveaux iMac cet été ou encore à l’arrivée de logiciels au format Universal Binary comme la Creative Suite qui a permit aux professionnels de passer sur Mac Intel.
Mais il y a également des raisons structurelles. À défaut d’Apple Store, Apple a ouvert dans près de vingt Fnac des Apple Shop qui mettent mieux en valeur ses solutions. D’autre part, le réseau d’Apple Premium Reseller s’est densifié récemment. Bref, Apple a mis les bouchées doubles concernant la distribution de ses produits et cela se voit.
Il n’y a pas qu’en France où Apple est sur la bonne voie. Selon Gartner, la firme de Cupertino a vendu au dernier trimestre 2007, 668 000 ordinateurs, soit une croissance de 37 % par rapport à la même époque l’année précédente. Apple a progressé quatre fois plus vite que le reste de l’industrie et possède sur cette période une part de marché de l’ordre de 3,7 %. Espérons que tous ces bons chiffres poussent Apple à davantage investir en Europe à l’heure où l’économie américaine connaît d’importantes difficultés.
Cette performance est d’autant plus intéressante que le grand public ne s’est pas rué sur les ordinateurs à l’occasion des fêtes de fin de l’année. Selon l’institut d’études, la croissance a été tirée par les professionnels (+10 %) alors qu’elle n’était que de 3,8 % sur le grand public. Les ventes de Macintosh d’une année sur l’autre ont crû de 30 %, soit six fois plus vite que le reste de l’industrie, une statistique qui devrait faire plaisir au management d’Apple.
Cette percée du Macintosh dans l’Hexagone concerne aussi bien les ordinateurs de bureau estampillés d’une pomme (+29 %) que les portables (+31 %). Cette embellie n’est pas saisonnière, puisque sur l’ensemble de l’année 2007, Apple a livré en France un peu plus de 316 000 Mac, un chiffre en progression de 31,8 % par rapport à 2006.
Comment expliquer ces bons résultats ? Les raisons ne manquent pas. On pense à l’effet halo, à la sortie de Leopard, à la commercialisation des nouveaux iMac cet été ou encore à l’arrivée de logiciels au format Universal Binary comme la Creative Suite qui a permit aux professionnels de passer sur Mac Intel.
Mais il y a également des raisons structurelles. À défaut d’Apple Store, Apple a ouvert dans près de vingt Fnac des Apple Shop qui mettent mieux en valeur ses solutions. D’autre part, le réseau d’Apple Premium Reseller s’est densifié récemment. Bref, Apple a mis les bouchées doubles concernant la distribution de ses produits et cela se voit.
Il n’y a pas qu’en France où Apple est sur la bonne voie. Selon Gartner, la firme de Cupertino a vendu au dernier trimestre 2007, 668 000 ordinateurs, soit une croissance de 37 % par rapport à la même époque l’année précédente. Apple a progressé quatre fois plus vite que le reste de l’industrie et possède sur cette période une part de marché de l’ordre de 3,7 %. Espérons que tous ces bons chiffres poussent Apple à davantage investir en Europe à l’heure où l’économie américaine connaît d’importantes difficultés.