En plus de la prise en charge de l'écran du MacBook Pro Retina, Aperture 3.3 apporte de nombreuses nouveautés qui en font plus qu'une simple mise à jour mineure. Aperçu.
Une interface monochrome
En plus d'être compatible avec le mode HiDPI, l'interface d'Aperture a été modifiée ici ou là et est désormais sensiblement moins colorée que les précédentes versions. On retrouve l'uniformisation qui a cours dans le reste de l'OS et qui préfère aux couleurs des effets d'ombres et d'estampages. Seules les préférences du logiciel font encore de la résistance.
Une bibliothèque unifiée avec iPhoto
Aperture et iPhoto sont désormais capables de se partager une même photothèque sans importation, exportation ou traitement : les albums, albums intelligents, visages et lieux sont lus indisctinctement par l'un ou l'autre des applications. On peut commencer à retoucher une photo dans iPhoto et finir dans Aperture, ou inversement — les utilisateurs d'Aperture peuvent par exemple imaginer ouvrir leur bibliothèque dans iPhoto pour bénéficier du choix plus large de calendriers et cartes.
Si vous utilisez les deux logiciels, sachez que vous pouvez importer une bibliothèque iPhoto dans Aperture avec le menu Fichier > Importer > Bibliothèque. La bibliothèque fusionnée ainsi obtenue pourra par la suite être ouverte soit avec iPhoto 9.3, soit avec Aperture 3.3.
Balance des blancs, tons clairs et tons foncés
Aperture dispose d'un nouvel outil de balance des blancs, issu des travaux sur le moteur d'iPhoto pour iOS. Le mode « température et tons » est le plus classique et rappelle celui qui était disponible jusqu'ici. Les deux autres modes ne permettent que d'agir sur la température, en préservant des tons : les tons chair pour le mode « ton chair », les couleurs neutres avec le mode « gris neutre » à la manière de la mesure sur charte 18 %.
L'outil de retouche des tons clairs et tons foncés a lui aussi été revu et permet désormais d'agir sur les tons intermédiaires, en plus d'être globalement meilleur.
Enfin, l'outil de correction automatique se veut désormais plus subtil et plus adapté aux usages professionnels : Apple tient à ce qu'il puisse devenir un réel point de départ pour accélérer les traitements.
Une interface monochrome
En plus d'être compatible avec le mode HiDPI, l'interface d'Aperture a été modifiée ici ou là et est désormais sensiblement moins colorée que les précédentes versions. On retrouve l'uniformisation qui a cours dans le reste de l'OS et qui préfère aux couleurs des effets d'ombres et d'estampages. Seules les préférences du logiciel font encore de la résistance.
Une bibliothèque unifiée avec iPhoto
Aperture et iPhoto sont désormais capables de se partager une même photothèque sans importation, exportation ou traitement : les albums, albums intelligents, visages et lieux sont lus indisctinctement par l'un ou l'autre des applications. On peut commencer à retoucher une photo dans iPhoto et finir dans Aperture, ou inversement — les utilisateurs d'Aperture peuvent par exemple imaginer ouvrir leur bibliothèque dans iPhoto pour bénéficier du choix plus large de calendriers et cartes.
La nouvelle icône des bibliothèques Aperture.
Si vous utilisez les deux logiciels, sachez que vous pouvez importer une bibliothèque iPhoto dans Aperture avec le menu Fichier > Importer > Bibliothèque. La bibliothèque fusionnée ainsi obtenue pourra par la suite être ouverte soit avec iPhoto 9.3, soit avec Aperture 3.3.
Balance des blancs, tons clairs et tons foncés
Aperture dispose d'un nouvel outil de balance des blancs, issu des travaux sur le moteur d'iPhoto pour iOS. Le mode « température et tons » est le plus classique et rappelle celui qui était disponible jusqu'ici. Les deux autres modes ne permettent que d'agir sur la température, en préservant des tons : les tons chair pour le mode « ton chair », les couleurs neutres avec le mode « gris neutre » à la manière de la mesure sur charte 18 %.
L'outil de retouche des tons clairs et tons foncés a lui aussi été revu et permet désormais d'agir sur les tons intermédiaires, en plus d'être globalement meilleur.
Enfin, l'outil de correction automatique se veut désormais plus subtil et plus adapté aux usages professionnels : Apple tient à ce qu'il puisse devenir un réel point de départ pour accélérer les traitements.