Les chats, on les connait : ça fume des pétards, ça joue au baby-foot, ça s'éclate contre les murs¹. Mais pour sauver le monde, ça, walou, y'a plus personne… ou presque. Le développeur Eric Blumrich travaille depuis quelques mois sur Peace Island, un jeu dans lequel on incarne de sympathiques greffiers évoluant sur une petite île au large de l'État américain du Maine. La bande de neuf chats devra découvrir la raison pour laquelle les humains ont soudainement disparu et trouver la réponse à cette douloureuse question : « Est-ce que les humains valent le coup de les faire revenir ? » (autrement que pour fournir des croquettes, s'entend).

Le jeu se place véritablement au niveau des chats, et même juste derrière en fait puisque l'on suit les tribulations des minous à la troisième personne, façon GTA. Mais les aventures de la petite bande (on incarne les chats en fonction de leurs aptitudes) seront bien plus reposantes. Le développeur promet en effet une histoire interactive basée sur l'exploration et la découverte (et la sieste ?), plutôt que la baston.

Des dizaines de maisons et de bâtiments pourront être explorées, ainsi que des environnements variés (forêt, plage, milieu urbain…) dans un open-world prometteur. Pour aller à l'autre bout de l'île, chaque chat dispose de portails de téléportation, ce qui prouve que tout de même, cette espèce n'est pas si demeurée. Une démo en bêta sera livrée le mois prochain à tous ceux qui ont participé au Kickstarter du projet.

Le jeu sera disponible sur macOS, Windows ainsi qu'en réalité virtuelle (Oculus) en version finale quand elle sera terminée. L'histoire ne dit pas s'il faudra aussi fouler de la litière virtuelle avec ses délicates petites pattes.