Reste à savoir ce que la « libération » du code de Presto pourra apporter, alors que les moteurs de rendu libres ne manquent pas (WebKit, Gecko…). Ce geste éventuel serait donc purement symbolique, d’autant que la maintenance d’un moteur de rendu requiert une équipe solide de développeurs expérimentés — mais puisque quelques-uns des anciens développeurs de Presto ne travaillent désormais plus pour Opera…