La prochaine version 3.1 de Safari, prévue semble t-il en même temps que la mise à jour 10.5.2 (précédent article) sera-t-elle beaucoup plus rapide que la 3.0.4 actuellement disponible ?
C'est ce que laissent supposer les dernières versions de développement du moteur du navigateur : le Webkit. Seith Weintraub chez Computerworld a lancé quelques tests JavaScript pour remarquer de gros écarts de performances, le Webkit dernière génération étant jusqu'à 2,5 fois plus rapide que celui utilisé par Safari 3.0.4.
On peut soi-même mener quelques tests et aussi utiliser ces moteurs plus récents au quotidien. Il suffit de télécharger les nightly builds, ces versions de développement du moteur Webkit, régulièrement mises à jour et qui servent de base, une fois optimisées et débarrassées de leurs bugs, aux versions publiques de Safari.
Elles sont disponibles au téléchargement sur cette page. On récupère une application dont l'icône se distingue de celle de Safari par un pourtour doré. Et une fois lancée, rien ne la distingue de Safari, l'historique de navigation ou encore les signets étant repris. Seule la page de démarrage est différente, mais un lien renvoie vers deux commandes à copier coller dans le Terminal pour forcer le Webkit à utiliser plutôt la page de démarrage de l'utilisateur.
S'agissant de tester les performances en JavaScript, nous avons utilisé le test en ligne proposé par l'équipe d'Apple, le SunSpider (précédent article), qui enchaine pendant quelques minutes une série de calculs et d'opérations représentatives de ce à quoi font face en général les navigateurs web.
La version r30123 du Webkit (datée du 10 février) a obtenu un score de 3571.6 ms.
La version 3.0.4 de Safari a affiché un score de 9918.4 ms.
La version de développement 3.0 beta 3 de Firefox a obtenu 8779.8 ms.
Les performances d'un navigateur Web ne se réduisent évidemment pas à sa vitesse d'exécution de scripts en JavaScript, mais sur cet aspect au moins les progrès sont là.
C'est ce que laissent supposer les dernières versions de développement du moteur du navigateur : le Webkit. Seith Weintraub chez Computerworld a lancé quelques tests JavaScript pour remarquer de gros écarts de performances, le Webkit dernière génération étant jusqu'à 2,5 fois plus rapide que celui utilisé par Safari 3.0.4.
On peut soi-même mener quelques tests et aussi utiliser ces moteurs plus récents au quotidien. Il suffit de télécharger les nightly builds, ces versions de développement du moteur Webkit, régulièrement mises à jour et qui servent de base, une fois optimisées et débarrassées de leurs bugs, aux versions publiques de Safari.
Elles sont disponibles au téléchargement sur cette page. On récupère une application dont l'icône se distingue de celle de Safari par un pourtour doré. Et une fois lancée, rien ne la distingue de Safari, l'historique de navigation ou encore les signets étant repris. Seule la page de démarrage est différente, mais un lien renvoie vers deux commandes à copier coller dans le Terminal pour forcer le Webkit à utiliser plutôt la page de démarrage de l'utilisateur.
S'agissant de tester les performances en JavaScript, nous avons utilisé le test en ligne proposé par l'équipe d'Apple, le SunSpider (précédent article), qui enchaine pendant quelques minutes une série de calculs et d'opérations représentatives de ce à quoi font face en général les navigateurs web.
La version r30123 du Webkit (datée du 10 février) a obtenu un score de 3571.6 ms.
La version 3.0.4 de Safari a affiché un score de 9918.4 ms.
La version de développement 3.0 beta 3 de Firefox a obtenu 8779.8 ms.
Les performances d'un navigateur Web ne se réduisent évidemment pas à sa vitesse d'exécution de scripts en JavaScript, mais sur cet aspect au moins les progrès sont là.