Geekbench 3 plus réaliste dans ses mesures
La troisième version de Geekbench est désormais disponible sur toutes les plateformes. Cet outil dédié à la mesure des performances d’un ordinateur ou d’un appareil mobile reçoit ainsi sa première mise à jour majeure depuis six ans. Son objectif est clair : proposer des résultats plus proches de la réalité avec des tests supplémentaires et des tests revus et corrigés pour l’occasion.
L’éditeur annonce ainsi 15 nouveaux benchs chargés de mesurer l’utilisation réelle d’un processeur. Plusieurs domaines ont été utilisés pour ces tests, dont le chiffrage des données, le traitement d’images ou encore des simulations physiques. Le but étant bien sûr de solliciter le processeur au maximum. Geekbench 3 a aussi droit à douze tests de la version précédente entièrement réécrits pour être plus représentatifs d’une utilisation réelle.
C’est toujours dans cet état d’esprit de mieux refléter la réalité que les résultats ont été modifiés. Désormais, Geekbench présente non pas un, mais deux chiffres différents : le premier mesure les performances de la machine avec un seul cœur, le second avec tous les cœurs activés. À l’heure où les processeurs multiplient le nombre de cœurs pour augmenter les performances, réaliser un benchmark sur un seul cœur permet de mesurer les performances pour toutes les applications qui ne sont pas optimisées. Dans la plupart des cas en effet, un logiciel ne gère qu’un seul cœur, car c’est beaucoup plus simple.
Tous ces changements expliquent que l’on ne peut pas directement comparer les résultats obtenus avec la version 2 et Geekbench 3. Le logiciel est gratuit, mais limité au 32 bits : pour exploiter au mieux votre machine, il faudra acheter une licence à 14 € pour un système, ou 22 € pour une licence valable sur Windows et Linux, en plus d’OS X. Jusqu’à la fin du mois, vous pouvez ne payer que 9 € et 14 € respectivement.
Geekbench 3 [3.0.0 – US – 0,89 € – iPhone/iPad – iOS 6 – Primate Labs Inc.] est également disponible sur l’App Store. Il s’agit d’une toute nouvelle version et d’une nouvelle application qu’il faudra racheter. La version mobile gagne aussi quelques tests supplémentaires et les résultats sont séparés en fonction du nombre de cœurs sollicités. Au passage, l’interface de l’application a été totalement revue (et aplatie) et les benchs sont automatiquement archivés. On peut également lier l’application à Dropbox pour les stocker et les transférer d’un appareil à l’autre.
L’éditeur annonce ainsi 15 nouveaux benchs chargés de mesurer l’utilisation réelle d’un processeur. Plusieurs domaines ont été utilisés pour ces tests, dont le chiffrage des données, le traitement d’images ou encore des simulations physiques. Le but étant bien sûr de solliciter le processeur au maximum. Geekbench 3 a aussi droit à douze tests de la version précédente entièrement réécrits pour être plus représentatifs d’une utilisation réelle.
C’est toujours dans cet état d’esprit de mieux refléter la réalité que les résultats ont été modifiés. Désormais, Geekbench présente non pas un, mais deux chiffres différents : le premier mesure les performances de la machine avec un seul cœur, le second avec tous les cœurs activés. À l’heure où les processeurs multiplient le nombre de cœurs pour augmenter les performances, réaliser un benchmark sur un seul cœur permet de mesurer les performances pour toutes les applications qui ne sont pas optimisées. Dans la plupart des cas en effet, un logiciel ne gère qu’un seul cœur, car c’est beaucoup plus simple.
Tous ces changements expliquent que l’on ne peut pas directement comparer les résultats obtenus avec la version 2 et Geekbench 3. Le logiciel est gratuit, mais limité au 32 bits : pour exploiter au mieux votre machine, il faudra acheter une licence à 14 € pour un système, ou 22 € pour une licence valable sur Windows et Linux, en plus d’OS X. Jusqu’à la fin du mois, vous pouvez ne payer que 9 € et 14 € respectivement.
Geekbench 3 [3.0.0 – US – 0,89 € – iPhone/iPad – iOS 6 – Primate Labs Inc.] est également disponible sur l’App Store. Il s’agit d’une toute nouvelle version et d’une nouvelle application qu’il faudra racheter. La version mobile gagne aussi quelques tests supplémentaires et les résultats sont séparés en fonction du nombre de cœurs sollicités. Au passage, l’interface de l’application a été totalement revue (et aplatie) et les benchs sont automatiquement archivés. On peut également lier l’application à Dropbox pour les stocker et les transférer d’un appareil à l’autre.