Pourquoi Apple devrait racheter Electronics Arts
C'est avec les vieilles rumeurs que l'on fait les meilleures analyses : pour Jim Goldman de CNBC, Apple devrait racheter le concepteur de jeux vidéos Electronic Arts.
Alors que les rumeurs de rachat d'EA ont mentionné plusieurs sociétés comme Microsoft ou Disney, ce serait Apple qui serait le choix le plus logique, et le timing serait parfait : EA a publié des résultats moyens, sa capitalisation boursière est raisonnable (5,7 milliards de dollars), avec une action à la baisse, et Apple a souvent sorti le carnet de chèques ces derniers mois.
Apple est de fait un acteur du marché du jeu vidéo, son App Store distribuant plus de 50.000 jeux, dont une cinquantaine de titres d'Electronics Arts, qui se classent régulièrement parmi les meilleures ventes. Avec l'iPad, le jeu mobile se rapproche de plus en plus de l'expérience du jeu sur consoles de salon.
Alors que les ventes de consoles se tassent, selon la dernière étude NPD, Apple pourrait profiter de son savoir-faire pour transformer son Apple TV en console de jeu en y apportant l'App Store et en l'intégrant avec l'iPhone et l'iPad (par exemple comme contrôleurs). Elle deviendrait une alternative beaucoup plus sérieuse à la Wii, la PlayStation ou la XBox 360. Des plateformes pour lesquelles EA développe aussi (sans oublier le PC), aspect qui pourrait rebuter Apple.
« Apple n'a pas tendance à inventer, mais [plutôt] à réinventer », explique Goldman, qui poursuit : « On l'a vu avec l'ordinateur personnel. On l'a vu avec la musique en mobilité, avec iTunes, avec l'industrie de la musique elle-même. On l'a vu avec les smartphones. Et on est en train de le voir avec les tablettes. Tout le monde semble voir la télévision comme le prochain défi qu'Apple devrait se lancer. […] Mais […] l'écosystème […] du jeu vidéo est mûr pour une révolution ». Alors qu'« Apple est la mieux placée pour transformer » ce marché, un rachat d'EA serait un pas de plus dans la (bonne) direction, conclut l'éditorialiste.
Alors que les rumeurs de rachat d'EA ont mentionné plusieurs sociétés comme Microsoft ou Disney, ce serait Apple qui serait le choix le plus logique, et le timing serait parfait : EA a publié des résultats moyens, sa capitalisation boursière est raisonnable (5,7 milliards de dollars), avec une action à la baisse, et Apple a souvent sorti le carnet de chèques ces derniers mois.
Apple est de fait un acteur du marché du jeu vidéo, son App Store distribuant plus de 50.000 jeux, dont une cinquantaine de titres d'Electronics Arts, qui se classent régulièrement parmi les meilleures ventes. Avec l'iPad, le jeu mobile se rapproche de plus en plus de l'expérience du jeu sur consoles de salon.
Alors que les ventes de consoles se tassent, selon la dernière étude NPD, Apple pourrait profiter de son savoir-faire pour transformer son Apple TV en console de jeu en y apportant l'App Store et en l'intégrant avec l'iPhone et l'iPad (par exemple comme contrôleurs). Elle deviendrait une alternative beaucoup plus sérieuse à la Wii, la PlayStation ou la XBox 360. Des plateformes pour lesquelles EA développe aussi (sans oublier le PC), aspect qui pourrait rebuter Apple.
« Apple n'a pas tendance à inventer, mais [plutôt] à réinventer », explique Goldman, qui poursuit : « On l'a vu avec l'ordinateur personnel. On l'a vu avec la musique en mobilité, avec iTunes, avec l'industrie de la musique elle-même. On l'a vu avec les smartphones. Et on est en train de le voir avec les tablettes. Tout le monde semble voir la télévision comme le prochain défi qu'Apple devrait se lancer. […] Mais […] l'écosystème […] du jeu vidéo est mûr pour une révolution ». Alors qu'« Apple est la mieux placée pour transformer » ce marché, un rachat d'EA serait un pas de plus dans la (bonne) direction, conclut l'éditorialiste.
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