Labo d'Adobe CS

La redaction |
Le Mac est la machine des créatifs. Pourtant, sans les logiciels qui l'animent, il ne serait rien. Et dans ce domaine, Adobe, avec sa Creative Suite, propose des solutions dont tout le monde reconnaît sinon l'excellence, au moins la la qualité.

Déballage




La mise à jour en Creative Suite ne nécessite qu'une ancienne version de PhotoShop pour s'installer. Elle est livrée dans une boîte standard contenant une pochette format DVD qui abrite les 3 CD d'installation. Aucun manuel ne l'accompagne, c'est vrai que les logiciels évoluent peu dans l'ensemble, mais le concept Version Cue aurait quand même mérité un traitement différent.
À noter : Adobe a doté sa suite d'un nouveau nom, Creative Suite, mais les numéros de versions des différents logiciels qui la composent continuent selon l'ancienne numérotation, c'est ainsi que dans la version Premium, objet de ce test, on pourra trouver Version Cue 1, Acrobat Pro 6, Acrobat Distiller 6, PhotoShop 8, ImageReady 8, Illustrator 11, InDesign 3 et Golive 7.



Installation

L'installation ne réclame que les CD de la mise à jour et au choix de situer l'ancien dossier de PhotoShop ou d'indiquer son numéro de série original. Un seul numéro de série permet alors l'installation de l'ensemble des logiciels de la suite. Comme pour l'installation de PhotoShop 7, il faudra veiller à ce que les noms de disque et de compte utilisateur soient au format américain (pas d'accents et noms assez courts) pour éviter l'avortement prématuré de l'opération. Un nouveau panneau fait son apparition au lancement de chacun des logiciels de la suite pour guider les nouveaux utilisateurs. Une case cochée suffira ensuite à le faire disparaître.




Version Cue







Version Cue est la nouvelle pièce du puzzle Adobe. La société s'intéresse depuis un moment aux groupes de travail, il en résulte cette application qui se lance au démarrage et tourne ensuite en tâche de fond. Version Cue installe un tableau de bord et un dossier dans "Applications", ce dernier sera la destination par défaut pour le stockage de vos documents et leur partage sur le réseau.
Mais que permet exactement cette application ? Plusieurs choses différentes selon l'utilisateur que vous serez en fait. Les utilisateurs individuels s'en serviront pour stocker différentes étapes de leur travail avec la possibilité de revenir en arrière. Dans ce type d'utilisation, Version Cue est un prolongement de l'historique de PhotoShop par exemple et permettra de retrouver une étape cruciale de votre document sans encombrer vos dossiers, c'est la une force et une faiblesse, les différentes versions sont stockées dans le dossier Version Cue et n'apparaissent que dans le dialogue de récupération d'ancienne version, il faudra faire le ménage de ce dossier régulièrement pour éviter la prise de poids de votre disque dur.




Dans plusieurs applications de la suite, une case à cocher dans les préférences permet d'activer ou pas Version Cue pour ce logiciel. Dans l'affirmative, une icône est ajoutée aux dialogues d'ouverture et d'enregistrement de fichiers pour passer de l'univers "normal" (le Finder) à l'univers "Version Cue" (les dossiers partagés), et en plus "d'enregistrer" et "d'enregistrer sous", on trouve alors "enregistrer une version" et l'on peut alors enregistrer une prévisualisation et un commentaire pour chaque version sauvegardée. Pour les groupes de travail, Version Cue permet en outre de travailler à plusieurs sur un même document, de gérer l'accès à ce document via tout type de réseau et de paramétrer des droits pour les différents utilisateurs potentiels.
Étrangement, Acrobat, fer de lance de la firme ne profite pas de Version Cue, c'est pourtant celui qui était le plus orienté groupe de travail à la base, mais c'est justement la raison pour laquelle il hérite d'un système spécifique de révision.



Acrobat Pro 6 et Acrobat Distiller 6

Inutile de présenter Acrobat, parmi les nouveautés de cette version 6 on peut quand même signaler le système de révision par mail qui permet d'envoyer un fichier à réviser et de n'en recevoir que les corrections alors qu'auparavant, il fallait renvoyer le fichier complet. Le principe séduit, mais lors des tests, les corrections ne retrouvaient plus leur fichier d'origine et il a fallu à plusieurs reprises indiquer manuellement à quel fichier étaient destinées les corrections. Quelques octets gagnés, mais aux prix de quelques risques.



Autre nouveauté, Acrobat installe une palette dans les applications de la suite Office. Cette palette doublonne un peu avec l'imprimante virtuelle (pour laquelle une mise à jour est indispensable) et a la fâcheuse tendance à mal se positionner en créant une seconde barre sous la barre principale de Word par exemple. La seule solution consiste à s'en débarrasser en glissant l'extension coupable à la corbeille (ou dans un autre dossier qu'Office). Et comme la force d'Acrobat, c'est justement l'imprimante virtuelle qui permet à partir de n'importe quelle application de créer un PDF en récupérant les presets d'Acrobat Distiller. Le couple produit ainsi naturellement des PDF qualité presse ou écran de qualité irréprochable, y compris à partir des applications de la suite Office, sans l'énervante mini barre.



La gestion des calques a été ajoutée aussi, permettant non seulement de visualiser les différents calques provenant de fichiers Illustrator et PhotoShop, mais aussi de les déplacer, fusionner, etc.

L'interface s'est encore alourdie de moult fonctions transformant petit à petit la machine à tout lire en machine à tout faire. Le résultat est pourtant très efficace et tout le monde devrait y trouver son compte.



InDesign 3




La fenêtre de création d'un document révèle l'une des nouveautés importantes de cette version : les fonds perdus et lignes-blocs. Les premiers posent des guides à l'extérieur de la page pour délimiter le fond perdu qui peut être différent sur chaque côté, les lignes-blocs contiendront annotations, légendes, etc. et seront imprimés hors format, mais pourront ou non apparaître sur les versions de corrections, PDF et autres sorties de contrôle. Une très bonne idée en vérité. Dans la fenêtre d'InDesign, le menu qui permettait de passer du mode de prévisualisation au mode visualisation s'est logiquement enrichi de la prévisualisation avec ou sans débord, avec ou sans lignes-blocs.













L'interface a été remaniée à la mode Photoshop une barre contextuelle au-dessus de la fenêtre du document et c'est un vrai bonheur à tel point que les palettes rétractables sur le côté de l'écran pourtant très bien conçues en deviennent quelquefois complètement inutiles comme la palette alignement par exemple puisque la sélection de plusieurs blocs fait automatiquement apparaître toutes ses fonctions dans la barre.



Les rédacteurs sont choyés : le texte hérite maintenant d'un éditeur comme Macromedia FreeHand et le texte importé peut conserver le lien avec le fichier original (comme les images). Les glyphes les plus souvent utilisés seront regroupés dans une palette pour les avoirs sous la main dans tous vos documents et les styles imbriqués font leur apparition. Ces derniers permettent d'automatiser la pose de styles différents selon de nombreuses règles du genre "sur 3 mots" ou "jusqu'au caractère x". Les fonctions sont puissantes et feront gagner un temps précieux.









La couleur s'enrichit avec l'introduction historique dans le monde du print de mélanges d'encres en tons directs et quadri ou vernis. Voilà LA raison d'acheter toute la suite quand on travaille souvent en tons directs comme dans le monde de la presse ou du textile par exemple. Les commandes sont instinctives, claires et Adobe a en plus ajouté la possibilité de créer une ou plusieurs nuances par incrémentation automatique.












Enfin, la chaîne graphique dans son ensemble profite d'améliorations conséquentes puisqu'une nouvelle palette fait son apparition, qui permet de prévisualiser les aplatissements, les séparations, et d'intervenir sur les encres. La prévisualisation des aplatissements fait apparaître en rouge les zones qui seront aplaties en impression et qui représentent donc un risque potentiel, on choisit exactement le type d'objet auquel la palette fera référence. Les séparations se visualisent aussi directement dans le document, en cochant ou décochant une couche dans la palette. On peut enfin visualiser dans le document les éléments qui dépasseront une limite d'encre que l'on aura fixée.



Le problème de la version 2.0.2 d'InDesign était de trouver un prestataire équipé, avec le temps heureusement les choses se sont arrangées et l'on trouve aujourd'hui de nombreux graveurs et imprimeurs acceptant des documents InDesign. Adobe avait annoncé la compatibilité avec la version 2 au travers d'un format de fichier commun, une passerelle appelée InDesign interchange (.inx) et la nouvelle version enregistre bien à ce format. La lecture depuis InDesign 2 nécessite les dernières versions des modules Scripting et XML Reader qui ne sont pas livrées sur les CD de la Creative Suite mais l'aide d'InDesign 3 nous indique qu'ils seront disponibles sur le site de l'éditeur. Ça n'est pas encore le cas au moment ou j'écris ces lignes et les malheureux maquettistes qui comptaient fournir un document compatible pour l'impression en seront peut-être pour leurs frais. Ils pourront alors fort heureusement se rabattre sur l'exportation en PDF qui a été également améliorée dans cette version et permet par exemple d'utiliser les fonds perdus, lignes-blocs et d'enregistrer au format 4 (1.3), 5 (1.4) et 6 (1.5), et autorise le PDF/X-1a et 3. les paramètres créés dans Acrobat Distiller sont également disponibles dans le menu. Le copier-coller entre applications de la suite a aussi été travaillé et entre Illustrator 11 et InDesign 3, le courant ne passe pas trop mal de ce côté.

Une application aussi complexe comporte forcément quelques bogues. L'un d'entre eux concerne les blocs à coins vifs auxquels on applique un effet d'arrondi pour donner l'illusion d'un bloc à coins arrondis, la première opération de pathfinder fera disparaître cet effet alors que la transformation préalable du bloc en bloc libre permet l'opération.



Illustrator 11



Ce qui apparaît immédiatement après l'ouverture d'Illustrator 11, c'est qu'il ne bénéficie pas de l'effort d'interface opéré sur InDesign. Ici, point de barre contextuelle ou de palettes dockables, encore moins de composition d'espaces de travail. Illustrator 11 commence à dater et ça se voit.








Pourtant, le logiciel a lui aussi évolué et Adobe a enfin entendu les utilisateurs qui réclamaient le retour d'Adobe Dimensions. Le nouvel outil 3D pousse en fait un peu plus loin le concept de Dimensions en permettant d'enregistrer l'effet sous forme de style et de l'appliquer ensuite à d'autres objets dans l'illustration ou de modifier après coup la forme qui a servi à le créer. Le texte reste ainsi pleinement éditable, les couleurs et filets aussi. Différents types de 3D coexistent comme l'extrusion avec ou sans biseau et la rotation 3D.








Le module 3d permet également d'effectuer une rotation de forme autour d'un axe. Là encore, les options sont nombreuses et devraient couvrir tous les cas de figure. Ces effets se modifient par la palette "aspect" et peuvent se cumuler, leur temps de calcul commençant alors à se faire sentir. Car c'est là une grande nouveauté par rapport à Dimensions : le module réagit vite, très vite.



Enfin, il est aussi possible de plaquer des illustrations après les avoir enregistrées comme symboles, et on fait alors défiler les faces de l'objet jusqu'à trouver celle qui nous intéresse. Une fois encore, on retrouve l'interface de Dimensions avec ses faces présentées en développement sur lesquelles on ajuste l'illustration.








Un nouvel effet griffonnage vient s'ajouter dans les filtres, le moteur de texte a été revu, c'est le même qu'InDesign, ce qui explique que le copier-coller entre les 2 applications fonctionne aussi bien. Par contre, et pour les mêmes raisons, les fichiers Illustrator 11 ne seront pas récupérés intacts dans les versions précédentes : le texte risque d'être morcelé et c'est pourquoi il faut pour enregistrer un eps au format précédent passer par la commande "exporter". Adobe a aussi ajouté au menu Fichier un enregistrement direct pour Microsoft Office, mais cette commande n'est en fait qu'un banal export en .png alors qu'on aurait pu imaginer que, sensible au contexte, il ait été possible d'enregistrer une portion de texte au format Word ou un graphique en tant que diapositive Powerpoint. Assez décevant donc. Bon point par contre pour l'exportation au format PhotoShop qui propose de conserver le caractère éditable du texte et la disposition des calques. Comme pour InDesign, le copier-coller a aussi été amélioré.


Photohop et ImageReady 8











Photoshop 8 pousse plus loin le concept de son navigateur de fichiers qui est accessible plus facilement grâce à un bouton dans la barre contextuelle et affiche le contenu de dossiers d'images avec une rapidité bluffante. En cela, on peut envisager sereinement l'utilisation de PhotoShop comme catalogueur d'images surtout que les fonctions d'automatisation qui s'appliquent soit à un dossier complet soit à une sélection du navigateur sont très complètes. Parmi les nouveautés de cette version figure aussi la palette composition de calques qui permet de mémoriser des états différents du document en cours : la position des calques, leur visibilité et/ou les styles de calques. C'est là une très bonne idée qui évitera d'enregistrer plusieurs fois le même fichier en ne changeant que l'un de ces paramètres. Par la suite, on pourra mettre à jour une composition d'un simple clic sur le bouton adéquat de la palette et passer aussi facilement d'une composition à l'autre. Ces états sont enregistrés dans tous les types de fichiers acceptant les calques comme psd, tiff ou pdf.



La galerie de filtres donne accès à de nombreux filtres, permet de régler l'effet et de visualiser le cumul de plusieurs filtres. Ce qui en découle, c'est un gain de temps assuré et probablement aussi une plus grande facilité d'utilisation des filtres du fait de l'anticipation des résultats. On regrette seulement que tous les filtres ne puissent y participer comme les flous et les bruits par exemple.



Dans les réglages, la nouveauté est constituée par la commande "tons foncés/tons clairs". Cette palette rendra service à tous ceux qui ont un jour voulu éclaircir une zone d'image trop sombre et se sont aperçus que ça n'était pas simple. Maintenant ça l'est. En fait, le module permet d'éclaircir tout en corrigeant les couleurs et le résultat est magique. Après quelques tâtonnements (il y a quand même 8 curseurs), on finit par trouver ses repères, et la lumière arrive.



On peut maintenant conserver une trace de l'utilisation d'un fichier, ouverture, fermeture et enregistrements et décider d'enregistrer ce fichier log directement dans les métadonnées du fichier ou dans un fichier externe.
Une commande "Rogner et désincliner" a été ajoutée au menu "automatisation", elle analyse votre image, un scan de plusieurs images par exemple, détermine des zones inclinées ou pas, les redresse et ouvre autant de fenêtres que de zones trouvées. Un bon outil de production supplémentaire.

On se demande toujours ce qu'Adobe pourrait bien ajouter à Photoshop qui en plus d'être bien né a su bien évoluer avec le temps. Il faut reconnaître que les nouveautés de cette mouture sont fort réjouissantes et inattendues pour la plupart. La commande tons foncés est une vraie avancée dans la gestion des photos.



ImageReady évolue peu si ce n'est la disposition plus pratique des cartes images et autres états de transformation par souris, là encore on se rapproche de ce qui se fait chez la concurrence. À noter qu'en plus des rectangles et ellipses traditionnels, Adobe a ajouté un objet "onglet" qui a exactement la forme que son nom laisse deviner.


Golive 7








Peu de nouveautés pour Golive 7. Un enregistrement de lots dans InDesign permet de créer un contenu dynamique pour chaque élément de page InDesign en glissant simplement l'élément depuis une palette prévue à cet effet. La modification d'un élément dans InDesign sera répercutée dans la composition (image, texte, ...), par contre la mise en page elle-même ne peut pas être reprise dans Golive. Même si les formats Web et print sont différents à la base, on regrettera quand même que la possibilité d'exporter telles quelles les pages InDesign ne soit pas possible et qu'il faille le faire à la main, ce qui exclut les longs documents catalogues et brochures complexes s'abstenir. La même palette permet par contre d'exporter les styles InDesign vers des CSS Golive mais là encore, ça n'est pas automatique. On aurait aimé pouvoir exporter depuis InDesign en HTML comme le fait très bien XPress 6, quitte à perdre le côté dynamique.

L'impression d'ensemble est un manque de finition et comme en plus Golive est le logiciel de la suite qui présente le moins de documentation (le strict minimum dans le menu aide et rien d'autre) on a une impression de travail bâclé qui rappelle douloureusement les derniers moments de LiveMotion. On est loin du menu aide pléthorique de Photoshop ou InDesign ! Le menu Importer par exemple propose de récupérer des calques Photoshop ou du contenu InDesign. Le choix calques Photoshop lance ImageReady qui, pour chaque calque de l'image sélectionnée permet de l'enregistrer séparément dans l'un des dossiers du site, mais le choix InDesign n'autorise pas à ouvrir un document dans InDesign pour l'exporter vers Golive mais ne permet en fait que de choisir un lot InDesign déjà exporté à partir de l'application. C'est totalement incohérent.

Une prévisualisation de la page en PDF a été ajoutée à la barre de page, mais l'affichage n'est pas dynamique et à chaque modification dans la fenêtre d'infos, il faut appuyer sur un bouton pour recréer le PDF, ça en dit long sur les temps de traitement potentiels de l'opération.



Conclusion

InDesign, Illustrator et PhotoShop reçoivent une mise à jour majeure justifiant pleinement l'achat de la Creative Suite. Acrobat reste incontournable, mais évolue finalement assez peu, Version Cue pourrait tenter les groupes de travail et Golive a pour l'instant été mis un peu en réserve. Le côté "Suite" a été travaillé, notamment au niveau des relations entre logiciels, les raccourcis claviers sont complètement éditables sur plusieurs applications, le copier-coller fonctionne bien dans le groupe des graphiques, un seul installeur et un seul numéro de série faciliteront la gestion d'un grand parc et des efforts d'harmonisation ont été faits au niveau de l'interface et de l'aide (même si des progrès restent à faire). À noter le rapport qualité/prix exceptionnel, surtout quand on prend en compte le fait qu'une simple version de PhotoShop même ancienne permet d'accéder à la mise à jour de l'ensemble.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
CS est tres agréable à utiliser en effet... Question : comment faire pour pour effacer la barre d'outil acrobat qui apparait ds Word ? j'y arrive pas....
avatar chamo | 
>Frunk : c'est marqué au début de l'article... Mais contrairement à ce qui est dit je ne crois pas qu'elle soit inutile : si ma mémoire est bonne, cette barre d'outils permet d'exporter les signets et les hyperliens, contrairement à l'imprimante virtuelle. Sinon, dans les avantages de Creative Suite, j'aurais aussi cité l'excellence de l'itégration du moteur de transparence, y compris dans les imports et dans les imports en cascade (PSD avec effets de transparence importé dans AI, dans lequel on ajoute des tracés avec effets de transparence, et importation de l'AI dans ID et... ça marche, même avec des tons directs !)
avatar f-factor | 
Peut-être serait-il intéressant de préciser la config minimale au dessous de laquelle la CS patine dans la choucroute (G4/450 avec carte graphique denrier cri : inutilisable en production...) ? Sans parler de la place disque monstrueuse occupée à l'install !
avatar Anonyme (non vérifié) | 
L'option imprimer la surimp. du noir est zappée merci beaucoup adobe. (info vennant de la hot line adobe)
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Vwoui, plus ces programmes evoluent et plus adobe en fout de moins en moins... J'ai rien contre mais le jour ou il prendrons la peine de faire un code vraiment optimisé, qui tourne vraiment bien, ce sera pas du luxe. Parce que s'il faut a chaque mise a jour en faire de meme avec son mac, ca va commencer a faire cher.
avatar chamo | 
>f-factor : on arrête de raconter n'importe quoi. J'utilise CS (entre autres) sur un iBook G3 500 avec 256 Mo de RAM et ATI RageMobility 8 Mo. OK, ça rame un peu, mais laaaaargement moins que Keynote par exemple. >Hdidane : "imprimer la surimpression du noir" ? Ça ne veut pas dire grand chose... Tu voudrais pas dire "ignorer la surimpression", ou encore "afficher la surimpression" ?
avatar chamo | 
... et pour ceux qui trouvent donc que CS est trop lourd, qu'ils utilisent donc MacPaint ;-) On ne me fera pas croire qu'on fait la même chose avec ID et avec XPress, en tout cas pas en des délais comparables. Mac OS X est plus lourd que OS 9, et personne ne s'en plaint. On ne peut pas faire beaucoup mieux avec beaucoup moins de ressources.
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Concernant Golive CS, il y a bien trop peu de gens qui parlent d'un oubli MAJEUR, qui est l'abandon complet, intégral, peut-être définitif, de tout l'aspect dynamique. Et c'est absolument INTOLÉRABLE, quand on a fait confiance à une société, qu'on a patiemment élaboré des process de travail, et qu'on se retrouve avec un vrai DOWNGRADE de Golive à ce niveau. Pour le reste, tout est nickel, mis à part la lourdeur globale...
avatar stephane | 
je suis de l'avis de Jacques. j'utilise Golive depuis qu'il s'appelait Golive Cyberstudio : depuis qu'Adobe l'a racheté, il n'a quasiment plus évolué, à part pour rendre l'interface plus Adobe-like. Pour 2 nouvelles fonctionnalités d'ordre ergonomique, Adobe retire à chaque fois au moins une fonction technique majeure. La gestion des CSS est bancale et peu claire, et la gestion des sites dynamiques inexistante. Ajouté au fait que les javascripts d'Adobe ont toujours été atroces, il ne reste finalement que l'html pur... qu'on peut taper à la main ! Documentation minimale etc. Incroyable ce qu'adobe a pu faire d'un bon soft. Heureusement qu'il reste la gestion de site assez ergonomique et que Golive est moins lourd et lent que Dreamweaver... Et surtout heureusement que Golive est donné qd on veut la Creative Suite avec Acrobat et V Cue...
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Qu'entendez-vous par inferiorité d'ID sur Xpress ? Ce que je vois c'est que le dernier ne fait pas ppar exemple d'ombres portées, que la dernière fois que jue l'avais utilisé c'était en version 3 et que la test drive 6 ne m'a pas dépaysé... ID possède en standard ce qu'il faut payer en Plugs-in Xpress qui est déjà à plus de 200 euros...
avatar Anonyme (non vérifié) | 
Fred, tu as oublié un zéro sur le prix d'Xpress..!
avatar Anonyme (non vérifié) | 
D'accord avec vous, la gestion de site de Golive est au point (comparé a Dreamw) par contre beaucoup de manque comparé à Dreamw Reproche aussi bien que la suite soit intéressante financièrement, Adobe aurait pu faire un effort sur la documentation, bien que fournie sur le dvd au format pdf, mais bonjour pour l'imprimer, a moins d'avoir ce qu'il faut au boulot parce que imprimer photoshop + illustrator + imageready + indesign + acrobat + golive il vaut mieux avoir une imprimante rapide recto verso et couleur. En tout cas j'ai switche de Dreamweaver vers Adobe et à part quelques manques agacants, dans l'ensemble je ne regrette pas de plus on retrouve une interface commune sur toutes les applis ce qui facilite quand même l'apprentissage du produit.
avatar Kartof | 
Je trouve pas ça génial. Golive n'a pas changé beaucoup mais pouvez vous me dire comment on fait pour avoir la palette Actions dans GoLive. Sinon quand j'ai lancé InDesigne pour la première fois il me demande de tout réinstaller, puis pour la seconde fois il me dit qu'il n'arrive pas à trouver mon n° de série sur l'ordi. Franchement InDesigne et GoLive me donnaient envie mais là… Je trouve qu' illustrator aurait besoin d'une vraie mise à jour.

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