Maru OS tente à son tour de marier smartphone et ordinateur de bureau
Un smartphone peut-il se transformer en ordinateur de bureau ? Avec la miniaturisation des composants et des performances qui rapprochent les processeurs mobiles de leurs homologues de bureau, la fameuse convergence devient imaginable. Microsoft tente sa chance avec Windows 10 Mobile, pour un résultat mi figue, mi raisin (lire : Prise en main du PC caché dans Windows 10 Mobile).
Canonical s’est aussi récemment lancé sur ce secteur avec cette fois une tablette, l’Aquaris M10 sous Ubuntu Touch. Une nouvelle initiative a récemment vu le jour, Maru OS. Proposé en version bêta, uniquement pour le Nexus 5 actuellement, cette plateforme est composée de deux systèmes d’exploitation.
Le premier est Android 5.1, et c’est cet OS qui est utilisé par le smartphone. Le second est une distribution Debian, dont on se sert lorsque le téléphone est branché sur un moniteur. Dans ce cadre, il reste possible de continuer à utiliser le smartphone de manière autonome. Les deux systèmes partagent toutefois des éléments en commun : espace de stockage, accès Wi-Fi, … mais pas les applications.
La connexion entre le smartphone et l’écran de l’ordinateur doit être filaire, à l’image du boîtier Continuum de Microsoft. Et au vu de la nature bêta de Maru OS, on n’est jamais à l’abri d’une mauvaise surprise.
j'en ai marre de ces faux os de bureau.
Tu en utilises un ? Sinon y a assez de place non, on verra !
mais de quoi tu parles ??
@le ratiocineur masqué :
J'ai jamais dit que la sardine était dans le seau.
Il y en a qui me font peur...
Petite pensée pour l'Ubuntu Edge, il était tellement parfait ce projet... Au final le premier à avoir pris la convergence au sérieux, c'est vraiment Canonical, il y a 3 ans déjà
Et ms a suivi. Maintenant certains lui offriraient quasi la paternité de l'idée alors que, comme à son habitude, il copie sans vergogne.
Si c'est possible ce serait bien que vous MacG puissiez nous faire un petit article dessus pour savoir si ça fonctionne comme Windows 10.