iCompta 5.1 : nouvelle interface et prix divisé par deux pour la rentrée

Stéphane Moussie |

Un an après un gros ravalement de façade, le gestionnaire de comptabilité iCompta 5 [5.1 – Français – 14,99 € – OS X 10.8 – LyricApps] change à nouveau d'apparence. La version 5.1 qui vient de sortir délaisse le thème sombre pour une interface claire qui correspond mieux aux canons d'OS X et de Yosemite en particulier.

La mise à jour intègre également un nouveau panneau de navigation qui permet d'observer l'ensemble des périodes d'un budget de naviguer facilement de l'une à l'autre.

iCompta 5.1 contient aussi son lot d'améliorations et de corrections. La synchronisation Dropbox est maintenant basée sur l'API du service pour plus d'efficacité et les modifications dans les opérations sont dorénavant automatiquement appliquées, entre autres.

L'application iOS iCompta 3 [3.1 – Français – 2,69 € – iPhone/iPad – iOS 7 – LyricApps] a elle aussi été mise à jour avec les mêmes nouveautés.

La mise à jour est gratuite pour les utilisateurs de la version 5 sur OS X et 3 sur iOS. Pour les autres, une promotion est mise en place jusqu'au 30 septembre. Le logiciel est à moitié prix, soit 14,99 € sur Mac et 2,69 € sur iOS. Une version d'essai utilisable 30 jours est disponible sur Mac.

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L'éditeur de texte Byword un peu plus à l'aise avec les images

Stéphane Moussie |

Depuis sa version 2.0 sortie l'année dernière, l'éditeur de texte Byword [Français – 8,99 € (achats in-app) – OS X 10.8 – Metaclassy, Lda.] sait publier directement un article sur un blog (WordPress, Tumblr, Blogger, Scriptogram et Evernote). Une fonction appréciable mais payante (achat in-app de 4,49 €) et encore incomplète.

La mise à jour de Byword parue hier rend cette fonction un peu plus utile puisqu'elle permet enfin de mettre en ligne sur le serveur une image — uniquement sur WordPress pour le moment. Cela évite d'avoir à uploader les images à part puis de les insérer dans l'article, tout se fait dans l'éditeur de texte. Une bonne idée gâchée par le sandboxing imposé par Apple. Il faut plusieurs étapes et confirmations pour ajouter une seule image. Il manque aussi toujours l'autocomplétion pour les tags.

La version iOS de Byword [2.2 – US – 4,49 € (achats in-app) – iPhone/iPad – iOS 7 – Metaclassy, Lda.] a elle aussi été mise à jour avec la même nouveauté. Elle permet en outre d'insérer des images à partir du presse-papier, de la Pellicule, d'iCloud et de Dropbox. Concrètement, un lien au format Markdown est ajouté et les images sont copiées dans le même dossier que le document texte (dans le cas de Dropbox, l'image doit déjà se trouver dans le même dossier que le texte).

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Des stickers pour personnaliser intégralement son MacBook

Stéphane Moussie |

Des possesseurs de MacBook n'ont pas attendu la récente publicité mettant en scène un MacBook Air décoré de multiples stickers pour personnaliser leur machine. Dans nos forums, ness_Du_frat donne une bonne adresse et des conseils pour customiser son Mac. Le site Stickerboy commercialise des stickers qui recouvrent l'intégralité de l'ordinateur.

ness_Du_frat a opté pour la version kyrobe wood pour son MacBook Air 11". Son MacBook Pro 17 a eu droit à « du brown leather pour la coque extérieure et le tour du clavier, et du rustic gold scratched pour les côtés et l'intérieur du clavier, pour un petit effet steampunk. »

Des autocollants similaires sont disponibles pour iPhone et iPad. Vous retrouverez plus de photos et d'informations sur le fil de discussion dans nos forums.

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Civilization: Beyond Earth, lancement retardé sur Mac

Mickaël Bazoge |

Voilà une bien mauvaise nouvelle pour les joueurs Mac, qui une fois de plus font figure de cinquième roue du carrosse. Après Electronic Arts qui n'a pas donné de date de sortie précise pour Les Sims 4 (alors que le jeu est prévu pour le 4 septembre sur PC), c'est Firaxis qui repousse la sortie du très attendu Civilization: Beyond Earth. Le jeu, édité par 2K Games, devait sortir le même jour sur Windows, OS X et Linux.

Malheureusement, seuls les joueurs équipés de Windows pourront explorer le nouveau monde de cet épisode de Civilization le 24 octobre. Très discrètement, la fiche du jeu a été mise à jour sur le site du studio de développement :

On peut y lire que si le jeu sortira bien sur Mac et Linux, ce sera à une date ultérieure.

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Les Sims 4 : une configuration et une sortie plus tardive sur Mac

Stéphane Moussie |

La sortie des Sims 4 se précise, du moins sur PC. Le simulateur de vie sera disponible dans une semaine sur Windows, le 4 septembre, et plus tard sur Mac, sans plus de précision. « Nous nous concentrons actuellement sur la version PC. Nous n'avons pas de mises à jour pour Mac pour le moment », indique EA, qui a donné d'autres informations sur le jeu.

L'éditeur n'a pas répété l'erreur de SimCity : on pourra jouer aux Sims 4 sans connexion internet... mais il faudra tout de même être en ligne lors du tout premier lancement pour l'activer. Une fois cette opération effectuée, on pourra couper le Wi-Fi ou jouer dans le train sans problème.

La configuration minimale sur PC est la suivante (elle devrait être comparable sur Mac) :

  • processeur 1,8 GHz Intel Core 2 Duo, AMD Athlon 64 Dual-Core 4000+ ou équivalent (Pour les ordinateurs utilisant des chipsets graphiques intégrés, le jeu requiert 2,0 GHz Intel Core 2 Duo, 2,0 GHz AMD Turion 64 X2 TL-62 ou équivalent)
  • 2 Go de RAM
  • 9 Go de stockage
  • carte graphique 128 Mo et compatibilité avec Pixel Shader 3.0. Cartes graphiques compatibles : NVIDIA GeForce 6600 ou supérieure, ATI Radeon X1300 ou supérieure, Intel GMA X4500 ou supérieure.

C'est moins que ce qu'il n'en faut pour faire tourner la réédition des Sims 2 sur Mac...

Les Sims 4 est d'ores et déjà disponible en précommande sur Origin à 59,99 € en édition limitée ou 69,99 € en édition Digitale Deluxe (cette dernière renferme quelques contenus en plus).

Le jeu comprend un nouvel outil de création de Sims qui permet de modifier le corps directement avec le pointeur de la souris, sans passer par des réglettes. EA promet aussi des Sims « plus intelligents, plus réalistes et émotionnellement plus complets » pour des histoires plus folles.

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OS X Yosemite : bilan d'étape après six bêtas

Stéphane Moussie |

OS X Yosemite est disponible en version préliminaire depuis presque trois mois maintenant. À la première Developer Preview sortie lors de l'ouverture de la WWDC, le 2 juin, ont succédé cinq autres DP et deux bêtas publiques. Mavericks avait pour sa part connu huit DP et deux Golden Master avant de sortir en version finale fin octobre 2013. Le développement de Yosemite est donc bien avancé.

Le système est-il stable ? Les nouveautés fonctionnent-elles bien ? Premier bilan d'étape d'OS X Yosemite avant sa disponibilité en version finale dans quelques semaines.

Ce qui fonctionne

De l'avis général, OS X Yosemite est assez stable, comme en témoigne par exemple Fabeme dans le forum :

Globalement, pour l'utiliser en DP depuis sa sortie, les bugs se sont beaucoup réduits, ils sont principalement d'ordre graphique maintenant, les plantages sont peu nombreux, et on retrouve quelques bugs classiques de Mavericks et ses prédécesseurs à plusieurs endroits (des petits bugs dans le Dock, dans le Finder, etc).

D'une manière générale j'avais trouvé Mavericks meilleur que Mountain Lion d'un point de vue performances et batterie (Lion était très très problématique à ces niveaux, surtout après Snow Leopard). Yosemite continue dans cette lignée pour moi, je le trouve progressivement plus réactif que Mavericks, des lourdeurs que nous avions dans les premières DP sont maintenant absentes (sur des opérations basiques de gestion de fichiers ou de switch d'une app à l'autre).

Je suis un peu sceptique encore sur les délais que mettent certaines app système (Safari) à passer en plein écran parfois, ou des choses comme ça, mais c'est une Beta ou une DP suivant le programme sur lequel nous sommes, et cela reste assez prometteur d'une manière générale pour la Golden Master.

Les kernel panic (plantage complet du système) sont rares. Cette stabilité peut s'expliquer par le fait qu'il n'y a eu que des changements mineurs sous le capot. Alors que Mavericks a inauguré de nouvelles « technologies avancées » (timer coalescing, App Nap et compression de la mémoire), Apple s'est contentée de resserrer quelques boulons dans Yosemite. App Nap, qui « ralentit » les applications inactives à l’arrière-plan, avait par exemple été la source de quelques problèmes à ses débuts.

Yosemite ne dispose donc pas de ce genre d'optimisations, mais il n'en reste pas moins une évolution majeure d'OS X, de par son nouveau design notamment. Sur ce point, le gros du travail a été fait, mais il reste encore des icônes à revoir et des ajustements à apporter. Chaque Developer Preview contient son lot d'icônes redessinées et de petites modifications qui visent à améliorer la lisibilité du système.

La fonction Versions est toujours bloquée sur l'ancien design. Time Machine ne l'a pas attendu et a perdu depuis la DP2 son fond étoilé.

Quant au fameux thème sombre, on peut maintenant déclarer qu'il est achevé. Craig Federighi était resté flou sur l'étendue de ce mode nuit à travers le système et certains s'étaient pris à espérer que les fenêtres du Finder en bénéficient. Il n'en sera rien, comme l'indique un petit changement intervenu en cours de développement.

Dans la DP3, la première à permettre d'activer ce mode sans passer par le Terminal, il fallait choisir l'option « thème sombre » dans le panneau Général des Préférences Système. Depuis, l'intitulé a changé et ne laisse aucun doute sur les éléments d'interface affectés : « Utiliser une barre des menus et un Dock foncés ».

L'option est maintenant explicite : le thème sombre s'applique uniquement à la barre des menus et au Dock.

Les icônes du système sont devenues lisibles dans la barre des menus foncée avec la DP5. C'est maintenant au tour des développeurs tiers de proposer des icônes claires, faute de quoi leur menulet est méconnaissable.

Mais est-ce que ce design « fonctionne », est-ce qu'il est plus agréable que l'ancien ? Il n'y a pas de réponse qui puisse faire office de vérité générale, les goûts et les couleurs (et la transparence) ne se discutant pas. Toutefois, d'après un de nos sondages, vous êtes une majorité à apprécier cette interface. Rappelons que ce design est plus harmonieux sur les écrans Retina (lire : OS X Yosemite, le système pensé pour les écrans Retina).

Ce qui ne fonctionne pas encore bien

L'autre gros morceau de Yosemite, c'est sa bonne entente avec iOS grâce à l'idée générale de « continuité ». Ce terme regroupe différentes fonctions qui permettent de passer plus facilement de son appareil mobile à son Mac et réciproquement (lire : OS X Yosemite et iOS 8 connectés comme jamais).

Pour mémoire, quand son iPhone/iPod touch/iPad est à proximité de son Mac, avec ce dernier, on peut passer des appels ; envoyer des SMS ; reprendre l'action en cours d'exécution sur le terminal iOS (Handoff) ; basculer automatiquement sur le partage de connexion de l'iPhone ; et envoyer des fichiers via AirDrop. Rappelons aussi que les utilisateurs de la bêta publique sont potentiellement privés de ces fonctions puisqu'iOS 8 est nécessaire et que l'accès à sa bêta est réservé aux développeurs.

Handoff : une icône vient s’ajouter à la gauche du Dock quand on peut reprendre, sur le Mac, ce que l’on faisait sur son iPhone ou iPad.

Toutes ces nouveautés ont fonctionné plus ou moins bien dans les premières DP. Handoff manquait un peu de réactivité. Un bug pouvait empêcher de prendre un appel téléphonique sur son Mac et son iPhone. Le partage de connexion automatique demandait le mot de passe iCloud alors que la bascule devrait se faire de manière transparente. La DP6 (et la bêta publique 2) ont cessé de faire fonctionner Handoff pour tous les utilisateurs apparemment, la faute à l'absence de la bêta 6 d'iOS 8 semble-t-il. Des utilisateurs disent tout de même toujours pouvoir envoyer des SMS et prendre des appels avec leur Mac. Quoi qu'il en soit, cette continuité entre OS X et iOS est encore en plein chantier.

Autre élément qui nécessite du travail, Mail. Conscient des couacs de ce logiciel dans Mavericks, Federighi a promis lors du keynote qu'il fonctionnera enfin correctement dans Yosemite. Une promesse qui ne s'est pas encore concrétisée dans les DP puisque le client mail perd toujours autant la tête : il s'arrête parfois de relever le courrier d'un compte Gmail et monopolise le processeur, entre autres.

Mail, c'est pas encore ça.

Dans un autre registre, OS X 10.10 complique l'activation du TRIM. Par mesure de sécurité, le système empêche qu'une extension de son noyau qui a été modifiée ne se charge au démarrage. Or, la commande TRIM, utile pour les SSD, altère justement une de ces extensions et se voit empêchée par le système. On ne sait pas si cette mesure perdurera dans la version finale de Yosemite.

Concernant les incompatibilités logicielles, elles existent évidemment, mais les développeurs se mettent actuellement à jour pour que tout se passe bien au moment de la sortie de la version finale. Le site RoaringApps tient une liste de compatibilité assez complète.

Yosemite sur un MacBook Pro 2007

Si ce bilan d'étape est globalement positif, nous avons aussi voulu voir comment tournait Yosemite sur la plus ancienne machine compatible, un MacBook Pro mi-2007. Rappelons que tous les ordinateurs compatibles avec Mavericks peuvent passer à son successeur :

  • MacBook et MacBook Air depuis les modèles fin 2008 ;
  • MacBook Pro depuis les modèles mi-2007 ;
  • Mac mini depuis les modèles début 2009 ;
  • iMac depuis les modèles mi-2007 ;
  • Mac Pro depuis les modèles début 2008 ;
  • et les Xserve depuis les modèles début 2009.

Le MacBook Pro mi-2007 que nous avons utilisé pour le test est équipé d'un processeur Core 2 Duo 2,2 GHz, d'un disque dur 7 200 t/m qui n'est pas d'origine et de 4 Go de RAM (2 Go ont été ajoutés après l'achat). Pour la petite histoire, la carte mère a été remplacée une fois à la suite du fameux problème avec la Nvidia GeForce 8600M GT.

Cette machine (régulièrement entretenue) était très lente sous Mavericks, et Yosemite ne fait évidemment pas de miracle, même s'il ne dégrade pas la situation — il faut aussi garder en tête que le système est encore en développement. OS X 10.10 est utilisable, à condition d'être vraiment patient. Le démarrage prend plusieurs minutes, les applications prennent plus de 10 secondes pour se lancer, Mission Control n'est pas fluide du tout, la roue multicolore apparait régulièrement, etc.

Pour donner un coup de fouet à ce vénérable MacBook Pro, nous avons remplacé son disque dur par un SSD (un Crucial MX100 256 Go acheté autour de 100 €). L'opération n'est pas compliquée, il suffit de suivre attentivement ce tutoriel et d'avoir les tournevis adaptés.

Le tableau ci-dessous permet de constater le gain de performances. Le démarrage n'est toujours pas très rapide, mais on gagne quand même une trentaine de secondes. Les tâches directement liées au support de stockage (duplication, compression...) sont également sensiblement accélérées.

Ce que le tableau ne montre pas, c'est la réactivité vraiment accrue de la machine en usage courant. Les fenêtres du Finder s'ouvrent immédiatement, Mission Control est fluide, il n'y a pas de délai pour passer d'une application à une autre... On est toujours loin de la rapidité d'un Mac récent, mais pour une centaine d'euros (voire moins pour une capacité de stockage inférieure), il s'agit d'un excellent investissement afin de redonner de l'élan à une ancienne machine.

Le MacBook Pro mi-2007 est toutefois privé de certaines nouveautés de Yosemite. Certaines fonctions de Continuité (Handoff, Instant Hotspot et le nouvel AirDrop) ne sont pas prises en charge, la faute à une version trop ancienne de sa puce Bluetooth (2.1 alors que le 4.0 est nécessaire). Mais il ne faut pas bouder son plaisir de voir tourner convenablement Yosemite (10.10) sur un Mac qui était équipé à ses débuts… de Tiger (10.4).

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OS X 10.9.5 : la cinquième beta disponible

Mickaël Bazoge |

Apple propose aux développeurs de télécharger une nouvelle build pour OS X 10.9.5. Cette cinquième préversion, numérotée 13F24, intervient une semaine après la précédente (au numéro de version 13F18). Le développement de la cinquième mouture majeure de Mavericks suit donc son bonhomme de chemin à bon rythme. D'après les maigres informations laissées par Apple, OS X 10.9.5 va surtout se concentrer sur des correctifs et des améliorations de stabilité. Apple demande à ses testeurs de concentrer leurs efforts sur l'USB, les lecteurs de cartes USB, les pilotes graphiques, Safari et Thunderbolt. La beta est à récupérer depuis le Mac App Store.

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