L'article du Los Angeles Times, repris ici par le Sun Sentinel et ainsi accessible sans enregistrement préalable, met les pieds dans le plat. Selon son auteur, l'iTunes Music Store permet d'acheter légalement chansons et albums mais il permet également de partager, illégalement cette fois, les mêmes. Depuis deux semaines que le service existe, nombre de sites permettent déjà de frauder. Pour Cary Ramos, avocat de la National Music Publishers Association, il y a une faille dans le système, faille qu'Apple se doit de combler "immédiatement". Le quotidien évoque l'exemple de Rob Lockstone qui a mis fin à son service de référencement parce qu'il permettait l'échange illégal de titres.