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Embauchez une armée numérique pour faire effacer vos données personnelles du web 📍

Article sponsorisé

Thursday 12 September à 16:45

Logiciels

Qu’il est loin le temps où Internet était un espace d’échanges et de découvertes libre et un peu naïf ! Vingt ans plus tard, c’est devenu une énorme industrie avec des enjeux économiques majeurs. Il n’est pas rare de qualifier les données numériques l’or noir du 21e siècle. Et c’est tout le problème, pour nous, simples internautes, nos données personnelles ont de la valeur et suscitent la convoitise aussi bien des grands groupes que de personnes malintentionnées.

Maintenant sur Internet, il faut sortir couvert : utiliser un navigateur respectueux de la vie privée comme Safari ou Brave ou équiper celui-ci d’extensions qui vont bien, utiliser de préférence un VPN surtout si la connexion utilisée n’est pas sure, avoir son système à jour… Si ces pratiques sont évidemment à encourager, elles sont insuffisantes. On finit toujours par confier (volontairement ou non) des données à des services. Ces données, comme votre nom, prénom, adresse email ou encore numéro de téléphone, suscitent la convoitise de ce qu’on appelle des data brokers (courtiers en données en bon français), qui ne rêvent que d’une chose : pouvoir les exploiter afin de les faire fructifier. Le produit c’est vous, comme dirait l’autre.

Et puis, il arrive que certains services soient piratés, que vos données se retrouvent dans la nature et finissent compilées dans un fichier échangé sous le manteau pour quelques centimes.

Ce SMS de Netflix est une énorme arnaque, protégez-vous dès à présent 📍

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Boulanger, Cultura et d’autres sites victimes de fuites de données

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Se débarrasser des arnaques par SMS et du démarchage abusif : guide complet📍

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Ces situations sont très frustrantes, car on se sent impuissant. Heureusement des solutions existent comme Incogni, la solution de Surfshark qui a été pensée pour bloquer l’activité de ces courtiers en données.

Incogni : une armée de robots pour faire disparaître vos données du web

Le but d’un data broker, c’est d’amasser le plus de données possible et de préférence d’avoir des fichiers extrêmement détaillés sur une personne. Tout est susceptible de les intéresser : identité, adresse mail, adresse postale, centre d’intérêt, historique de navigation, numéro de sécurité sociale… Plus le ficher est complet, plus le courtier pourra le vendre cher.

En fonction de l’acheteur, les conséquences seront différentes pour vous. Cela peut donner lieu à du spam bête et méchant, à des campagnes de mailing ou de SMS très précises, à des appels téléphoniques non désirés… Mais surtout, cela peut donner lieu à des d’arnaques (le phishing étant la plus connue) afin d’accéder à certaines de vos données qui ont encore plus de valeur, à des tentatives de vol de votre identité ou au vol de informations bancaires (carte de crédit…). Une chose est certaine : ces gens ne manquent pas d’imagination.

Comment retrouver sa liberté

La démarche est simple et vous pouvez la faire vous-même : il vous faut contacter un par un tous les brokers, demander la suppression de vos données en faisant jouer les réglementations en vigueur comme le Règlement général sur la protection des données (RGPD) ou le California Consumer Privacy Act (CCPA). Seul souci : comptez 300 heures pour supprimer une seule fois vos informations personnelles des bases de données des data brokers.

Le plus simple est de confier cette tâche à l’armée numérique d’Incogni. Il suffit de s’inscrire, de faire part de vos données personnelles et de donner votre consentement pour qu’Incogni fasse le travail à votre place.

Dès lors, les serveurs d’Incogni vont se mettre en marche, établir une liste de courtiers de données susceptibles d’avoir vos informations, puis les contacter un par un et surtout les relancer sans cesse jusqu’à obtenir gain de cause.

Incogni : on l

Incogni : on l'a testé, que vaut le service de suppression de vos données en ligne ? 📍

Malheureusement, c’est un travail sans fin. Vos données peuvent réapparaître à tout moment chez un broker. Et c’est pour cela que nous vous recommandons de prendre d’ailleurs la formule annuelle chez Incogni qui présente également l’avantage d’être plus économique sur le plan financier. Plus vite vos données seront repérées chez un broker, moins ce dernier aura le temps de les exploiter !

En tant qu’utilisateur, vous avez accès à une interface simple qui vous permet de suivre les avancées d’Incogni en temps réel. Vous pouvez savoir par exemple quel broker a des données sur vous et à quels points ces dernières sont sensibles… Le service en cesse de s’améliorer. Il gère plus de 175 data brokers, soit 30 de plus qu’il y a un an.

Dites non à la collecte de données et inscrivez-vous ! Les demandes de suppression de données sont envoyées à tous les courtiers concernés dès le premier jour. Les premières suppressions interviennent normalement au bout de quelques semaines.

Reprenez vraiment le contrôle de vos données. Vous pouvez opter soit pour une formule mensuelle soit pour une formule annuelle. Cette dernière que nous vous recommandons est actuellement en promotion à -50 %.

👉 Testez Incogni et reprenez le contrôle de votre vie numérique !

Kernel Panic : l’équipe de MacG débriefe le keynote iPhone 16

Félix Cattafesta

Thursday 12 September à 15:00

Podcast

‌Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Publié deux fois par mois, il entre en détail sur un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.

C’est la rentrée pour tout le monde, y compris pour Apple ! La marque était sur le devant de la scène ce lundi à l’occasion de son traditionnel keynote de présentation des nouveaux iPhone. L’iPhone 16 gagne cette année deux nouveaux boutons, là où l’appareil photo du Pro s’améliore et s’enrichit d’une puce plus puissante.

Les Apple Watch étaient aussi de la fête, la Series 10 changeant de look pour gagner un écran encore plus imposant. Pas de vraie Ultra 3 mais une nouvelle robe noire pour l'Ultra 2, qui arrive accompagnée d’un bracelet milanais en titane. Enfin, les AirPods 4 sont venus rebattre les cartes dans l’entrée de gamme grâce à deux modèles avec ou sans réduction de bruit active.

Ce keynote a duré plus d’1h30 et a apporté beaucoup de nouveautés. Qu’en a pensé l’équipe de MacG ? C’est ce que nous allons voir dans ce nouvel épisode de Kernel Panic en compagnie d’Anthony et Nicolas.

Pour aller plus loin

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Un iPhone 16 Pro Max déjà vendu sur eBay, qu'il ne fallait surtout pas perdre dans un bar ou tester avec Geekbench

Pierre Dandumont

Thursday 12 September à 12:30

Image

Sur eBay, certains vendent des prototypes ou des smartphones obtenus parfois par des moyens détournés. Et un iPhone 16 Pro Max 256 Go sous iOS 18.1 a déjà été proposé sur le site.

Il était sous iOS 18.1.

Comme souvent avec ce type de vente, tant le vendeur que l'acheteur risquent de recevoir des messages des avocats d'une certaine firme de Cupertino, au vu des messages indiqués sur les stickers. Il s'agit en effet d'un modèle de test et nous pouvons par ailleurs noter qu'Apple interdit aux testeurs de faire des benchmarks en citant spécifiquement Geekbench, et recommande de ne pas l'oublier dans les lieux publics (un bar ?).

La provenance n'est pas cachée : c'est un prototype.
Le sticker.

Le prix indiqué est de 2 000 $, mais comme le vendeur acceptait les offres, il est peut-être parti pour un prix moins élevé… ou plus élevé.

Craig Federighi empAIe son chien avec Image Playground

Stéphane Moussie

Thursday 12 September à 10:45

Logiciels

Vous croyiez avoir tout vu ? Vous n’aviez encore rien vu. Apple a envoyé à Wired une image inédite créée avec Image Playground, le générateur d’images intégré à Apple Intelligence. Le sujet n’a pas été choisi au hasard : cet adorable petit chien prêt à souffler des bougies est inspiré de Bailey, la chienne de Craig Federighi.

Image générée avec Image Playground (Apple Intelligence) par Craig Federighi.

Le responsable de l’ingénierie logicielle d’Apple a généré lui-même cette image à l’occasion de l’anniversaire de son animal de compagnie. Si Wired se félicite de publier la première image générée avec Image Playground qui ne fasse pas partie des ressources marketing d’Apple, cet exemple ne permet pas pour autant d’évaluer la technologie. Quelle instruction textuelle exacte a été utilisée ? Cette image a-t-elle générée du premier coup ou après plusieurs essais ? Le chiot ressemble-t-il vraiment à Bailey ?

Le texte « AI-GENERATED IMAGE » en plein milieu de l’image n’est pas d’origine, il a été ajouté par Wired, qui identifie systématiquement les images générées par des IA. Les images créées avec Image Playground ne comprendront pas de logo ni de texte soulignant leur caractère « artificiel », seules leurs métadonnées comprendront une trace de leur provenance.

Application Image Playground. Image Apple.

Le générateur d’images ne fait pas partie des premières fonctionnalités d’Apple Intelligence en bêta dans iOS 18.1 et macOS 15.1. Il pourrait arriver dans iOS 18.2 et macOS 15.2 à la fin de l’année. Il va donc permettre de créer des images à partir de commandes textuelles ou bien en se basant sur la photo d’une personne. Il sera accessible via une application autonome ainsi qu’à l’intérieur de diverses apps (Messages, Pages, Keynote, Freeform et apps tierces compatibles avec la nouvelle API Image Playground).

Les images générées par Apple Intelligence ne peuvent appartenir qu’à trois styles graphiques (animation, illustration ou esquisse), une limitation justifiée par Apple par la volonté de ne pas produire de deep fake.

Le générateur de vidéos par IA d’Adobe sera lancé d’ici la fin de l’année

Félix Cattafesta

Thursday 12 September à 07:00

Logiciels

Après les images, les IA génératives s’attaquent aux vidéos. Si la présentation du Sora d’OpenAI a fait grand bruit en début d’année, Adobe ne compte pas rester sur le côté et a dévoilé un nouvel outil bien pratique pouvant créer un clip vidéo à partir d’images fixes ou d’une description textuelle. Ce modèle sous la bannière Firefly avait été brièvement aperçu au mois d’avril dernier, mais on a désormais une vague idée des résultats proposés.

En pratique, l’utilisateur peut entrer la description d’une scène et demander à l’affiner grâce à différents paramètres : ratio de l’image, nombre d’images par secondes, mouvement et angle de caméra, vitesse, etc. On peut aussi y voir comment l’IA pourra générer des plans en se basant sur une image fixe, ce qui pourrait permettre aux monteurs en mal de plans de meubler grâce à du B-roll. La démo montre également une fonction pour Premiere permettant à l’IA de créer une scène manquante en cas de plan un poil trop court dans la timeline.

Les vidéos générées sont convaincantes, mais pas vraiment représentatives étant donné qu’Adobe a sélectionné les meilleurs résultats. Le spectateur n’aura sans doute pas le temps de remarquer les défauts vu que les vidéos générées sont limitées à 5 secondes, ce qui peut paraître peu face à un Sora pouvant monter jusqu’à une minute. Adobe garde l’avantage d’avoir un modèle uniquement entraîné sur du contenu libre de droits ou sous licence, ce qui devrait permettre aux vidéos de Firefly d’être commercialisables. Ce n’est pas le cas de Sora : on se souvient de la grimace de la CTO d’OpenAI quand on lui a demandé si son modèle avait été entraîné sur des vidéos YouTube.

On notera que l’entreprise insiste sur le fait que le modèle n’a pas été formé sur les contenus des utilisateurs de ses services, ce qui vient répondre à une polémique ayant éclaté au début de l’été. Ce modèle vidéo sera lancé en bêta plus tard dans l’année en tant qu’application Firefly. Adobe voudrait par la suite l’intégrer à son Creative Cloud, Experience Cloud et Adobe Express.

Source : The Verge