Apple annonce Safari 5 [maj]
Comme dévoilé ce week-end, Apple annonce Safari 5. Le navigateur n'est pas encore proposé au téléchargement. Un communiqué de presse daté du 7 juin est apparu en ligne chez PRNewswire avant d'être précipitamment retiré… Il n'est pas encore très clair si cette version sera d'abord offerte aux développeurs ou à tout le monde. Le communiqué de presse suggérait la seconde hypothèse.
[maj] Safari 5 est disponible [5.0 - 37,5 Mo Snow Leopard - 46,7 Mo Leopard - VF]
La plupart des nouveautés sont déjà connues et confirmées, par exemple l'ajout de Bing et de Yahoo sur Safari Mac (lire Exclu : Mac OS 10.6.4 et Safari 5 pour la WWDC) mais comme cela nous avait été dit, il restait une ou deux surprises.
Ainsi le support des extensions. À la manière de celles de Chrome, elles devront être écrites en HTML5, JavaScript et CSS3. Leur développement pourra se faire sur Mac avec Extension Builder. Ces extensions évolueront dans un espace cloisonné pour des raisons de sécurité et contiendront une signature numérique émise par Apple.
La fonction Top Site paraît plus réactive dans son affichage. La jauge bleue de chargement d'une page, disparue avec Safari 4, est revenue. Deux boutons bascule permettent de passer de Top Sites à l'historique plus rapidement.
La nouvelle fonction "Lecteur" se présente sous la forme d'un bouton qui apparaît dans le champ d'adresses une fois un article chargé. D'un clic, Safari va afficher uniquement le texte et les images (non publicitaires) de cet article, en surimposition à la page originale.
Avant
Et si le texte coulait sur plusieurs pages, elles sont toutes réunies sur une seule et même longue page que l'on fait défiler. Cette page expurgée peut être imprimée ou envoyée par mail. Et l'on peut varier la taille de sa police.
Après
Les performances du moteur JavaScript Nitro sont données comme 30% plus rapides que celles de Safari 4, un tout petit 3% plus véloce que chez Chrome 5 mais de deux fois plus rapide que Firefox 3.6.
Safari 5 met de côté Tiger et exige désormais Leopard (10.5.8 au minimum) ou le 10.6.2. Côté Windows il faudra XP SP2 minimum. Apple en a profité pour indiquer que Safari était en fonction sur 200 appareils (Mac, PC ou famille iPhone) et que les déclinaisons du WebKit, le moteur de rendu de pages, l'était sur 500 millions de machines diverses et variées.
[maj] Safari 5 est disponible [5.0 - 37,5 Mo Snow Leopard - 46,7 Mo Leopard - VF]
La plupart des nouveautés sont déjà connues et confirmées, par exemple l'ajout de Bing et de Yahoo sur Safari Mac (lire Exclu : Mac OS 10.6.4 et Safari 5 pour la WWDC) mais comme cela nous avait été dit, il restait une ou deux surprises.
Ainsi le support des extensions. À la manière de celles de Chrome, elles devront être écrites en HTML5, JavaScript et CSS3. Leur développement pourra se faire sur Mac avec Extension Builder. Ces extensions évolueront dans un espace cloisonné pour des raisons de sécurité et contiendront une signature numérique émise par Apple.
La fonction Top Site paraît plus réactive dans son affichage. La jauge bleue de chargement d'une page, disparue avec Safari 4, est revenue. Deux boutons bascule permettent de passer de Top Sites à l'historique plus rapidement.
La nouvelle fonction "Lecteur" se présente sous la forme d'un bouton qui apparaît dans le champ d'adresses une fois un article chargé. D'un clic, Safari va afficher uniquement le texte et les images (non publicitaires) de cet article, en surimposition à la page originale.
Avant
Et si le texte coulait sur plusieurs pages, elles sont toutes réunies sur une seule et même longue page que l'on fait défiler. Cette page expurgée peut être imprimée ou envoyée par mail. Et l'on peut varier la taille de sa police.
Après
Les performances du moteur JavaScript Nitro sont données comme 30% plus rapides que celles de Safari 4, un tout petit 3% plus véloce que chez Chrome 5 mais de deux fois plus rapide que Firefox 3.6.
Safari 5 met de côté Tiger et exige désormais Leopard (10.5.8 au minimum) ou le 10.6.2. Côté Windows il faudra XP SP2 minimum. Apple en a profité pour indiquer que Safari était en fonction sur 200 appareils (Mac, PC ou famille iPhone) et que les déclinaisons du WebKit, le moteur de rendu de pages, l'était sur 500 millions de machines diverses et variées.
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