Le ver dont on parlait hier était à peine "présenté" par Sophos, que les éditeurs de logiciels antivirus annonçaient des solutions contre ce qui pourrait être un cheval de Troie. Symantec et Intego n'ont ainsi pas tardé à communiquer sur le sujet. Rappelons une évidence : il faut relativiser. Ainsi, Apple elle-même, explique, dans le Wall Street Journal, que Leap-A n'est finalement pas un virus, mais un code malicieux qui nécessite que l'utilisateur télécharge un fichier et le lance ensuite.